Restons équilibrés quant aux questions de santé !!

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Texte pour le mercredi 14 juillet 2010

Vérifie[z] les choses les plus importantes, afin que vous soyez purs et ne fassiez trébucher personne jusqu’au jour de Christ. — Phil. 1:10.

Nous soucier à l’excès de notre santé pourrait nous amener à ne nous occuper que de notre personne. Paul a signalé ce danger quand il a recommandé aux Philippiens d’avoir “ l’œil non pas uniquement sur [leurs] propres affaires, par intérêt personnel, mais aussi, par intérêt personnel, sur celles des autres ”. (Phil. 2:4.) Il est légitime de prendre soin de notre personne dans une mesure raisonnable, mais si nous portons un intérêt sincère à nos frères et sœurs ainsi qu’aux gens à qui nous annonçons “ cette bonne nouvelle du royaume ”, nous serons moins enclins à nous soucier outre mesure de notre bien-être physique (Mat. 24:14). Il existe pour le chrétien le risque de se soucier de sa santé au point que les intérêts du Royaume deviennent secondaires. Par ailleurs, quelqu’un qui fait une fixation sur les questions de santé pourrait avoir tendance à vouloir imposer aux autres son point de vue sur l’utilité de tel ou tel régime diététique, traitement ou complément alimentaire. w08 15/11 3:7, 8.

[Invité]

Nous abonderons en discernement spirituel si nous conformons constamment nos actes et nos pensées à la Parole de Dieu (2 Corinthiens 13:5). Faire cela avec un esprit constructif favorise l’humilité et nous évite de nous accrocher à notre opinion ou d’être critiques envers les autres. Le discernement nous permet également de tirer profit de la correction et de vérifier les choses les plus importantes (Proverbes 3:7). Ayant le désir d’être agréables à Jéhovah, faisons donc en sorte d’être remplis de la connaissance exacte de sa Parole. De cette façon, nous serons à même de discerner le bien du mal, de déterminer ce qui compte vraiment et de préserver fidèlement les relations précieuses qui nous unissent à Jéhovah. Tout cela sera possible si nous inclinons notre cœur vers le discernement. Mais le discernement doit encore nous servir à autre chose : il doit nous préserver.