Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
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Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
Le Vatican demande conseil à KPMG et à McKinsey
FRANCE | 19/12/2013 - 14:45 | Jean Michel GRADT
Le Vatican a sélectionné jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, KPMG pour moderniser ses procédures comptables et financières. Le second, le cabinet de conseil américain McKinsey l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.
le Vatican a confié une mission d’audit à KPMG et une mission de conseil à McKinsey - AFP
Le pape François veut accélérer la réforme des institutions administratives et financières du Vatican, engagee par son predecesseur Benoit XVI , notamment pour les adapter aux normes internationales anticorruption et antiblanchiment. Et surtout, s’assurer que ses activités sont « en harmonie » avec la mission de l’Eglise catholique. Pour l’aider dans cette quête, le Vatican a retenu à nouveau jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, le cabinet d’audit KPMG, l’assistera pour adapter ses procédures comptables et financières; le second, McKinsey, l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.
KPMG a remporté l’appel d’offres attribué par une commission internationale de sept experts laïcs, formé en juillet par le nouveau pape pour l’aider réparer de fâcheuses erreurs apparues sous Benoît XVI. Ses équipes sont chargées « d’élaborer les réformes des institutions du Saint-siège pour simplifier la façon dont ils travaillent, améliorer la gestion des finances et améliorer la transparence dans l’achat de bien et de services (...) et de mettre les procédures comptables de tous les organismes du Saint-Siège aux normes internationales », a annoncé jeudi un communiqué officiel.
De son côté, un second cabinet de conseil, celui de l’américain McKinsey (voir encadré) aura la charge d’élaborer « en stricte collaboration avec les organismes intéressés, un plan intégré pour rendre l’organisation des moyens de communication fonctionnelle, moderne et efficace », précise le communiqué.
Quatre grands cabinets
Ces deux nouveaux contrats portent à quatre le nombre de cabinets d’audit et de consulting qui oeuvrent pour le Vatican. Jusqu’ici le micro-Etat se surveillait lui-même, mais cette pratique a conduit à une série de dérives. C’est pourquoi en novembre, une équipe internationale du cabinet Ernst&Young, a été chargée d’un audit dans le Gouvernorat de l’Etat de la Cité du Vatican pour vérifier ses processus de gestion.
Un mois plus tôt, en octobre, un autre audit avait débuté au sein de l’Administration du patrimoine du Siege apostolique (APSA). Il a été confié au cabinet de consulting américain Promontory Financial Group qui contrôle aussi les 19.000 comptes de l’IOR, surnommé la « banque du pape ». Cet audit resulte d’une demande de la commission speciale d’enquete sur la banque du Vatican creee fin juin. pour mieux connaître la position juridique et les activités de l’IOR.
Début octobre, l’établissement a fermé quelque 900 comptes, notamment ceux détenus par trois ambassades (Iran, Indonésie et Irak). Depuis des lustres _ de son implication dans la banqueroute du Banco Ambrosiano en 1982 aux six tentatives de recyclage d’argent sale au Vatican mis à jour par une enquête de la police italienne en 2012 _ cette banque s’est en effet retrouvée au centre de nombreux scandales financiers . Sources d’autant d’embarras pour l’Eglise. On note toutefois du mieux. La semaine dernière, les experts européens de Moneyval ont salue les progres realises .
FRANCE | 19/12/2013 - 14:45 | Jean Michel GRADT
Le Vatican a sélectionné jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, KPMG pour moderniser ses procédures comptables et financières. Le second, le cabinet de conseil américain McKinsey l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.
le Vatican a confié une mission d’audit à KPMG et une mission de conseil à McKinsey - AFP
Le pape François veut accélérer la réforme des institutions administratives et financières du Vatican, engagee par son predecesseur Benoit XVI , notamment pour les adapter aux normes internationales anticorruption et antiblanchiment. Et surtout, s’assurer que ses activités sont « en harmonie » avec la mission de l’Eglise catholique. Pour l’aider dans cette quête, le Vatican a retenu à nouveau jeudi deux grands cabinets internationaux. Le premier, le cabinet d’audit KPMG, l’assistera pour adapter ses procédures comptables et financières; le second, McKinsey, l’aidera à moderniser sa communication et ses relations médias.
KPMG a remporté l’appel d’offres attribué par une commission internationale de sept experts laïcs, formé en juillet par le nouveau pape pour l’aider réparer de fâcheuses erreurs apparues sous Benoît XVI. Ses équipes sont chargées « d’élaborer les réformes des institutions du Saint-siège pour simplifier la façon dont ils travaillent, améliorer la gestion des finances et améliorer la transparence dans l’achat de bien et de services (...) et de mettre les procédures comptables de tous les organismes du Saint-Siège aux normes internationales », a annoncé jeudi un communiqué officiel.
De son côté, un second cabinet de conseil, celui de l’américain McKinsey (voir encadré) aura la charge d’élaborer « en stricte collaboration avec les organismes intéressés, un plan intégré pour rendre l’organisation des moyens de communication fonctionnelle, moderne et efficace », précise le communiqué.
Quatre grands cabinets
Ces deux nouveaux contrats portent à quatre le nombre de cabinets d’audit et de consulting qui oeuvrent pour le Vatican. Jusqu’ici le micro-Etat se surveillait lui-même, mais cette pratique a conduit à une série de dérives. C’est pourquoi en novembre, une équipe internationale du cabinet Ernst&Young, a été chargée d’un audit dans le Gouvernorat de l’Etat de la Cité du Vatican pour vérifier ses processus de gestion.
Un mois plus tôt, en octobre, un autre audit avait débuté au sein de l’Administration du patrimoine du Siege apostolique (APSA). Il a été confié au cabinet de consulting américain Promontory Financial Group qui contrôle aussi les 19.000 comptes de l’IOR, surnommé la « banque du pape ». Cet audit resulte d’une demande de la commission speciale d’enquete sur la banque du Vatican creee fin juin. pour mieux connaître la position juridique et les activités de l’IOR.
Début octobre, l’établissement a fermé quelque 900 comptes, notamment ceux détenus par trois ambassades (Iran, Indonésie et Irak). Depuis des lustres _ de son implication dans la banqueroute du Banco Ambrosiano en 1982 aux six tentatives de recyclage d’argent sale au Vatican mis à jour par une enquête de la police italienne en 2012 _ cette banque s’est en effet retrouvée au centre de nombreux scandales financiers . Sources d’autant d’embarras pour l’Eglise. On note toutefois du mieux. La semaine dernière, les experts européens de Moneyval ont salue les progres realises .
Re: Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
C ,est rigolo que le Vaican demande conseil concernant son argent.
Re: Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
Bien oui, mais aujourd'hui qui fait confiance en la bourse?gédéon22 a écrit:C ,est rigolo que le Vaican demande conseil concernant son argent.
La bourse ça change tout le temps, donc
Re: Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
Le pape François condamne "l'inquisition" de la Curie romaine
Une "pesante douane bureaucratique", un esprit "d'inquisition et d'inspection" : le diagnostic du pape est sans appel face à la bureaucratie du Vatican.
Présenter ses voeux aux collaborateurs de la Curie : l’exercice, pour un pape, pourrait n’être qu’une simple formalité, une occasion de paroles aimables et lénifiantes. Pourtant, dès son premier Noël de 2005, Benoît XVI avait fait de ce moment un rendez-vous très politique, en évoquant son “herméneutique” du Concile Vatican II (celle de la continuité, contre celle de la rupture). Une préoccupation très personnelle. Huit ans plus tard, le 21 décembre 2013, François a aussi parlé du fond du coeur, centrant aussi son message sur un souci primordial. Même s’il n’a pas évoqué directement le dossier de la réforme de la Curie, placée sous la responsabilité d’un groupe de huit cardinaux, c’est bien elle qui était dans toutes les têtes.
Le pape n’a pas mâché ses mots face à ses collaborateurs. Certes, il a loué ceux qui travaillent “avec compétence, avec précision, avec abnégation, accomplissant avec soin leur devoir quotidien” en suivant “le modèle des vieux curialistes, personnes exemplaires.” Mais il a étrillé les fonctionnaires qui manquent de professionnalisme et d’esprit de service : “Quand il n’y pas de professionnalisme, lentement on glisse vers le terrain de la médiocrité. Les dossiers deviennent des "clichés" et des communications sans levain de vie, incapables de produire de larges horizons. D’autre part, quand on n'a pas une attitude de service des Églises particulières et de leurs Évêques, alors la structure de la Curie grandit comme une pesante douane bureaucratique, d’inspection et d’inquisition et qui ne permet pas l’action du Saint Esprit et la croissance du peuple de Dieu”.
La Curie, une lourde bureaucratie inquisitoriale qui entrave la mission de la base et l’action du Saint Esprit ? La critique est virulente. Elle rejoint la plainte souvent émise en “off” par des évêques ou des responsables d’ordre religieux, qui critiquent l’incompétence, la lenteur ou l’arrogance des apparatchiks romains, même si d’autres se félicitent parfois qu’une instance tierce impose des décisions difficiles qu’ils peinent à assumer par eux-mêmes. Cette critique, François la verbalise d’autant plus clairement qu’il la partage. Du temps où Jorge Mario Bergoglio était archevêque de Buenos Aires, il a eu maille à partir avec les instances de la Curie, par exemple pour des nominations relevant de sa compétence mais nécessitant l’aval préalable du Vatican. On retrouve une fois de plus, dans sa bouche, l’image de la “douane” pastorale, récurrente pour fustiger l’abus de pouvoir des clercs.
Soucieux d’équilibrer cette critique avec un regard plus bienveillant, le pape a loué la “sainteté de vie” de ses collaborateurs : “ Je voudrais dire ici que dans la Curie romaine il y a eu et il y a des saints. Je l’ai dit publiquement plus d’une fois, pour remercier le Seigneur. Sainteté signifie vie immergée dans l’Esprit, ouverture du cœur à Dieu, prière constante, humilité profonde, charité fraternelle dans les relations avec les collègues. Elle signifie aussi apostolat, service pastoral discret, fidèle, accompli avec zèle au contact direct du peuple de Dieu.”
Mais, dans la foulée, le pape a dénoncé une attitude négative : “La sainteté dans la Curie signifie aussi objection de conscience. Oui, objection de conscience aux bavardages ! Nous insistons beaucoup à juste titre sur la valeur de l’objection de conscience, mais peut-être devons-nous l’exercer aussi pour nous défendre d’une loi non écrite de notre environnement, qui est malheureusement celle des bavardages. Alors faisons tous objection de conscience ; mais attention je ne veux pas faire seulement un discours moral ! Parce que les bavardages abîment la qualité des personnes, abîment la qualité du travail et de l’environnement.”
L’allusion est claire aux “murmures” qui hantent les couloirs du Vatican, face aux rumeurs d’évolutions possibles, comme la fusion de dicastères, les réductions d'équipes, l’exil de certains mandarins ecclésiastiques. Et la crainte ressentie suite au lancement d’audits sous la férule de professionnels. Le 19 décembre, le Vatican a fait savoir qu’il demandait au cabinet KPMG un audit de ses rouages financiers, et chargeait le groupe américain McKinsey d’une mise à plat de sa communication médiatique. Deux autres cabinets internationaux, Ernst & Young, Promontory Financial Group, sont en train d’éplucher les comptes du gouvernorat du Vatican et de la banque du Saint-Siège, l’IOR.
Une "pesante douane bureaucratique", un esprit "d'inquisition et d'inspection" : le diagnostic du pape est sans appel face à la bureaucratie du Vatican.
Présenter ses voeux aux collaborateurs de la Curie : l’exercice, pour un pape, pourrait n’être qu’une simple formalité, une occasion de paroles aimables et lénifiantes. Pourtant, dès son premier Noël de 2005, Benoît XVI avait fait de ce moment un rendez-vous très politique, en évoquant son “herméneutique” du Concile Vatican II (celle de la continuité, contre celle de la rupture). Une préoccupation très personnelle. Huit ans plus tard, le 21 décembre 2013, François a aussi parlé du fond du coeur, centrant aussi son message sur un souci primordial. Même s’il n’a pas évoqué directement le dossier de la réforme de la Curie, placée sous la responsabilité d’un groupe de huit cardinaux, c’est bien elle qui était dans toutes les têtes.
Le pape n’a pas mâché ses mots face à ses collaborateurs. Certes, il a loué ceux qui travaillent “avec compétence, avec précision, avec abnégation, accomplissant avec soin leur devoir quotidien” en suivant “le modèle des vieux curialistes, personnes exemplaires.” Mais il a étrillé les fonctionnaires qui manquent de professionnalisme et d’esprit de service : “Quand il n’y pas de professionnalisme, lentement on glisse vers le terrain de la médiocrité. Les dossiers deviennent des "clichés" et des communications sans levain de vie, incapables de produire de larges horizons. D’autre part, quand on n'a pas une attitude de service des Églises particulières et de leurs Évêques, alors la structure de la Curie grandit comme une pesante douane bureaucratique, d’inspection et d’inquisition et qui ne permet pas l’action du Saint Esprit et la croissance du peuple de Dieu”.
La Curie, une lourde bureaucratie inquisitoriale qui entrave la mission de la base et l’action du Saint Esprit ? La critique est virulente. Elle rejoint la plainte souvent émise en “off” par des évêques ou des responsables d’ordre religieux, qui critiquent l’incompétence, la lenteur ou l’arrogance des apparatchiks romains, même si d’autres se félicitent parfois qu’une instance tierce impose des décisions difficiles qu’ils peinent à assumer par eux-mêmes. Cette critique, François la verbalise d’autant plus clairement qu’il la partage. Du temps où Jorge Mario Bergoglio était archevêque de Buenos Aires, il a eu maille à partir avec les instances de la Curie, par exemple pour des nominations relevant de sa compétence mais nécessitant l’aval préalable du Vatican. On retrouve une fois de plus, dans sa bouche, l’image de la “douane” pastorale, récurrente pour fustiger l’abus de pouvoir des clercs.
Soucieux d’équilibrer cette critique avec un regard plus bienveillant, le pape a loué la “sainteté de vie” de ses collaborateurs : “ Je voudrais dire ici que dans la Curie romaine il y a eu et il y a des saints. Je l’ai dit publiquement plus d’une fois, pour remercier le Seigneur. Sainteté signifie vie immergée dans l’Esprit, ouverture du cœur à Dieu, prière constante, humilité profonde, charité fraternelle dans les relations avec les collègues. Elle signifie aussi apostolat, service pastoral discret, fidèle, accompli avec zèle au contact direct du peuple de Dieu.”
Mais, dans la foulée, le pape a dénoncé une attitude négative : “La sainteté dans la Curie signifie aussi objection de conscience. Oui, objection de conscience aux bavardages ! Nous insistons beaucoup à juste titre sur la valeur de l’objection de conscience, mais peut-être devons-nous l’exercer aussi pour nous défendre d’une loi non écrite de notre environnement, qui est malheureusement celle des bavardages. Alors faisons tous objection de conscience ; mais attention je ne veux pas faire seulement un discours moral ! Parce que les bavardages abîment la qualité des personnes, abîment la qualité du travail et de l’environnement.”
L’allusion est claire aux “murmures” qui hantent les couloirs du Vatican, face aux rumeurs d’évolutions possibles, comme la fusion de dicastères, les réductions d'équipes, l’exil de certains mandarins ecclésiastiques. Et la crainte ressentie suite au lancement d’audits sous la férule de professionnels. Le 19 décembre, le Vatican a fait savoir qu’il demandait au cabinet KPMG un audit de ses rouages financiers, et chargeait le groupe américain McKinsey d’une mise à plat de sa communication médiatique. Deux autres cabinets internationaux, Ernst & Young, Promontory Financial Group, sont en train d’éplucher les comptes du gouvernorat du Vatican et de la banque du Saint-Siège, l’IOR.
Re: Le Vatican demande conseil à KPMG et ....
Puisqu'on parle de Jean Paul 2
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Contrairement,
Jésus mentionne en Matthieu 11: 29 Prenez sur vous mon joug et apprenez de moi, car je suis doux de caractère et humble de cœur, et vous trouverez du réconfort pour vos âmes. 30 Car mon joug est doux et ma charge est légère. ”
Quel réconfort trouve t’on dans l'enfer de feu et une vie éternelle sur la terre qui n'existe pas dans le Coran ?
Que dit la sainte Bible ?
(2 Corinthiens 6:14) Ne formez pas d’attelage disparate avec des non-croyants. Car quels rapports ont la justice et l’illégalité ? Ou quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ?
(Galates 5:1) C’est pour une telle liberté que Christ nous a libérés. C’est pourquoi tenez bon, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de l’esclavage.
Oui, l'Islam c'est l'esclavage qui détruit complètement la rançon sacrificielle de Jésus qui nous sauve
Embrasser le Coran c'est une hérésie, pourquoi dans ce cas ne pas embrasser le veau d'or dans ce cas pour faire bien avec tous les hérétiques?
Contrairement, embrasser un musulman d'un saint baisé, c'est lui montrer un amour réellement fraternel.
Il ne faut surtout pas confondre.
Jésus montre bien que l'amour en Matthieu 22:39
39 Le deuxième, qui lui est semblable, est celui-ci : ‘ Tu dois aimer ton prochain comme toi-même. ’ 40 À ces deux commandements toute la Loi est suspendue, ainsi que les Prophètes. ”
http://tjdumonde.over-blog.net/article-le-papa-jean-paul-ll-embrasse-le-coran-110581565.html
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