Lundi 17 février

[Yasashi]

Texte pour le Lundi 17 février

Toutes choses sont nues et mises à découvert aux yeux de [Dieu] (Héb. 4:13).

Ceux qui passent outre aux mises en garde de l’esclave fidèle causent inévitablement du tort à eux-mêmes ainsi qu’à leurs proches. Des chrétiens ont développé une dépendance à la pornographie ou ont commis l’immoralité sexuelle, et se sont ensuite leurrés en s’imaginant que Jéhovah ne voyait pas ce qu’ils faisaient. Il est insensé de croire que l’on peut dissimuler sa conduite à Jéhovah (Prov. 15:3). Dieu tend la main à ceux qui s’égarent ainsi, et il demande à ses représentants terrestres de chercher à leur apporter une aide (Gal. 6:1). Mais il privera de leur citoyenneté les chrétiens qui transgressent ses principes sans se repentir, tout comme un gouvernement prive de sa citoyenneté un individu coupable de certains délits (1 Cor. 5:11-13). Bien sûr, Jéhovah est miséricordieux. Les pécheurs repentants qui changent de comportement peuvent être de nouveau en règle avec lui et demeurer citoyens du Royaume (2 Cor. 2:5-. N’est-ce pas un honneur de servir un Roi aussi bienveillant ? w12 15/8 2:12.

Bientôt, la terre ne sera plus administrée que par un seul gouvernement : le Royaume de Dieu. Il régira tous les aspects de notre quotidien, tant notre vie spirituelle que sociale. Dans les décisions que vous prenez chaque jour, faites tout pour la gloire de Jéhovah dès à présent et conduisez-vous en citoyen du Royaume.

[Zabou P]

w13 15/8 p. 18-22
7 Paul a dit à la congrégation de Thessalonique : « Soutenez les faibles » (lire 1 Thessaloniciens 5:14).

8 Comment « considérer » celui que la honte et le désespoir dus à un péché passé continuent d’accabler, alors qu’il a fait le nécessaire pour se rétablir ? Parlant d’un transgresseur de Corinthe repentant, Paul a écrit : « Vous devriez lui pardonner volontiers et le consoler, de peur que d’une manière ou d’une autre un tel homme ne soit englouti par sa tristesse excessive. Je vous exhorte donc à confirmer votre amour pour lui » (2 Cor. 2:7, 8 ). D’après un lexique, le terme traduit par « confirmer » signifie « ratifier, valider, rendre juridiquement contraignant ». Nous ne pouvons pas nous contenter de supposer que l’intéressé comprend que nous l’aimons et que nous nous soucions de lui. Il a besoin de le constater à travers notre état d’esprit et nos actes.

12 La culpabilisation, les comparaisons qui suscitent la honte et les reproches guidés par des critères rigides ont parfois un effet stimulant, mais de courte durée. En revanche, féliciter et faire appel à l’amour pour Dieu peut produire des résultats positifs et durables (lire Philippiens 2:1-4).

Les frères et soeurs qui sont réintégrés sont des personnes qui ont besoins de réconfort et si nous ne voulons pas nous opposer à Dieu nous devons absolument réfléchir comme Dieu.


w10 15/6 p. 10-14
Toutefois, quand un pécheur se repent et que les anciens désignés pour examiner sa situation décident, après s’être référés aux instructions de Jéhovah, de le réintégrer, nous devrions y voir le signe que Jéhovah lui a pardonné (Mat. 18:17-20). Ne devrions-nous pas alors nous efforcer d’imiter notre Dieu ? Si nous adoptions envers ce pécheur repentant qui a été réintégré une attitude intransigeante et refusions de lui pardonner, nous nous opposerions en réalité à Jéhovah. Nous devrions au contraire ‘ confirmer notre amour ’ pour lui, ce qui contribuera à la paix et à l’unité de la congrégation et nous assurera l’approbation de Dieu. — Mat. 6:14, 15 ; Luc 15:7.

[gédéon22]

Il est plus conforme au grec de traduire : découvertes à ses yeux ; c’est à lui que nous devons rendre compte, ou, suivant une autre interprétation : « que nous avons affaire ». Cette dernière proposition renferme, en grec, un jeu de mots : le mot que nous traduisons par compte à rendre est le même que le mot parole. Si nous n’obéissons pas quand Dieu nous parle, c’est nous qui aurons à parler à Dieu, quand il s’agira de nous justifier devant son tribunal.

[Invité]

(Psaume 73:11) Ils ont dit : “ Comment Dieu a-t-il pu savoir ? Et existe-t-il de la connaissance chez le Très-Haut ? ”

Apparemment, Asaph n’était pas le seul à être choqué par ce spectacle. Il a dit: “C’est pourquoi il [Dieu] ramène son peuple ici, et les eaux de ce qui est plein sont vidées pour eux. Et ils ont dit: ‘Comment Dieu a-t-il su? Et y a-t-il de la connaissance chez le Très-Haut?’” (Psaume 73:10, 11). Le texte hébreu veut peut-être dire qu’à cause de la réussite apparente du méchant quelques-uns des serviteurs de Dieu adoptent un mauvais point de vue, et ils tombent dans le même état que les gens sans loi, disant: ‘Dieu ne sait pas ce qui se passe et il n’agira pas contre le mépris de la loi.’ D’un autre côté, voir des gens méchants pratiquer impunément, du moins en apparence, le mépris de la loi revient à devoir boire une potion amère; ce qui incite le juste à poser ces questions: ‘Comment Dieu peut-il tolérer ces choses? Ne voit-il pas ce qui se passe?’

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