L'origine païenne de l'Islam.
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L'origine païenne de l'Islam.
http://babylone-la-grandempire-mondial-des-fausses-religions.skynetblogs.be/archive/2008/12/25/l-origine-paienne-de-l-islam.html
L'origine païenne de l'Islam.
Le terme "Allah", comme le Coran lui-même en est témoin, est bien connu dans la période pré-islamique
En effet, tant le terme "Allah" et son l'homologue féminin à l'époque "Allat" n'étaient pas rares parmi les noms théophores safaïtiques en Arabie du Nord. Lorsque, en d'autres termes, la révélation coranique a commencé à utiliser ce mot, il n'a pas été l'introduction d'un nouveau nom de Dieu qui était étranger aux oreilles des arabes contemporains, les historiens ont démontré que Allah désignait le chef de la kaaba (sorte de panthéon se situant à la Mecque) , et c'était l'appelation donnée à un des "360 dieux [un pour chaque jour de l'année] " vénérés par les arabes païens et ceci avant la venue de Mohamed. Dans la tradition paienne en Arabie, "le dieu lunaire" était communément appelé "Allah", c'est-à-dire le chef ou le dieu élevé parmi les dieux qui étaient adorés par la société pré-islamique et il était associé à trois autres divinités. En voici la preuve: le père de Mohammed qui était le gardien de la ka'ba à la Mecque s'appelait Abd'Allah ce qui signifie "serviteur de Dieu". En effet, "Allah" équivau au français "Dieu"; bien qu'il s'agisse d'un titre et non pas du nom de Dieu. Il n'était pas rare qu'en Moyen-Orient "ce mot d'origine sémitique" soit employé pour désigner une ou plusieurs divinités païennes (soit "dieu" ou "dieux").
Un peu d'histoire et géographie démontrant l'origine païenne l'Islam original (ce qui est encore le cas aujourd'hui)
Parmi les prescriptions faites par le Coran en matière de culte, beaucoup ne font que restaurer de vieilles traditions sémitiques conservées pendant des millénaires dans le désert, parfois transformées par le contact des Arabes avec les judéo-chrétiens. Les symboles tels que le symbole du croissant de lune qui peut être trouvé sur le sceau d'impressions, de stèles, de la poterie, des amulettes, tablettes d'argile, les bouteilles, poids, boucles d'oreilles, colliers, mur de peintures murales, etc ..., les temples et les rituels de l'islam moderne, ont été pratiquées par les polythéistes avant que Mohammed naisse.
Partout dans le monde antique, Les archéologues ont découvert des temples du dieu lune dans tout le Moyen-Orient. La religion dominante de l'Arabie était le culte du "dieu lune" qui avait d'ailleurs reçu la nomination "Allah" ( le Dieu ). Au sud de l'Arabie les archéologues ont même découvert le Temple de Hureidha (un temple dédié au "dieu lune").
Au moment ou la troupe de syrus voulait traverser la Mer Rouge pour aller vers l'Egypte, ils ont créé un temple du feu à la Mecque, qu'on le nomme aujourd'hui la " Kaaba Muhammadienne ", les iraniens l'ont nommé " l'endroit de feu " (ateshgah) et c'était un lieu sacré pour les Iraniens dont la religion était le zoroastrisme mais qui fut plus tard influencé par les pratiques religieuses babyloniennes, comme c'était le cas dans tout le Moyen Orient.
Ateshgah de bakou (Azerbaïdjan)
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Ka'aba de Zoroastre ( Iran )
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Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 ka'bas dans la péninsule arabique,
mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.
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(Remarque : lorsqu'un musulman prie où qu'il se trouve il se tourne toujours vers la ka'ba alors que la Bible nous dit que la demeure de Dieu sont les cieux spirituels et non un endroit précis sur Terre. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu ancestral d’un culte païen. L’importance de ce lieu chez les musulmans s’affirme avec le pèlerinage de la Mecque (le hadj), un des cinq piliers de l’Islam.).
D'après la version musulmane la ka'aba (الكعبة) à la Mecque signifierait cube en arabe, mais la Ka'aba elle-même est l’ancienne " Kaabou ", du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l'al-'Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité.
La principale divinité du temple était le "dieu lune" aussi connu comme "Hubal"; les trois filles, al-Lat, al-Uzza et Manat sont parfois représentées avec "le dieu lune" avec un croissant de lune au-dessus d'eux. L'une des principales divinités de ce temple était également "Baal" et la lune sous le symbole de la déesse Astarté présentée comme sa campagne, leur union était censée assurer la fertilité pour l’année. Le terme habBa‛al (le Baal) est appliqué au faux dieu Baal. L’expression habBe‛alim (les Baals) se rapporte aux diverses divinités locales considérées comme les propriétaires ou les possesseurs d’endroits particuliers où elles exercent une influence.
Dans le Moyen Orient Baal était considéré comme le propriétaire du ciel, considéré par ses adorateurs comme celui qui donnait les pluies et la fertilité, pour cette raison le prophète Élie ordonna une sécheresse au nom de Yahvé (1R 17:1). Après trois années et six mois, Baal s’étant révélé incapable de mettre un terme à la sécheresse en réponse aux nombreuses suppliques que ne manquèrent pas de lui adresser ses prêtres et ses adorateurs, Élie convoqua tout le peuple au mont Carmel afin qu’il soit témoin d’une grande épreuve qui déterminerait qui est le vrai Dieu. À l’issue de cette épreuve, les adorateurs de Baal furent humiliés et 450 prophètes de Baal tués. Yahvé, et non Baal, fit ensuite pleuvoir pour mettre fin à la sécheresse. — 1R 18:18-46 ; Jc 5:17.
A la kaaba, on a trouvé une multitude de symboles du croissant de lune et pas moins de vingt et un inscriptions avec le nom du "dieu Lune".
Le croissant de lune, symbole du "dieu lune" fut plus tard adopté par les musulmans comme signe général de l'Islam se trouvant encore aujourd'hui en haut des mosquées et des minarets.
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Le culte des pierres dans la société arabe préislamique et l'actuelle " Pierre Noire " de la Ka'ba.
La Pierre Noire était scellée au coin de la Ka'ba dans le temple de La Mecque bien avant l'Islam. C'était une idole particulière car « venue du ciel » ( une météorite ou un bétyle ).
Le culte préislamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n'est pas isolé dans l'Antiquité : on peut citer la pierre noire d'Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c'est sous la forme d'un bétyle qu'en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l'objet de la vénération des fidèles, telles l'Artémis de Sardes ou l'Astarté de Paphos. En Arabie ce n'était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société préislamiques, par exemple la "pierre rouge" était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman ou la "pierre blanche" dans la Kaaba d'al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
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Quand Mahomet détruisit les 360 idoles contenues dans la Ka'ba, il conserva toutefois la « Pierre noire » , en déclarant qu'elle était un ancien cadeau de Dieu. C'est ainsi que cette pierre aurait le pouvoir surnaturel d'absorber les péchés de celui qui la touche, d'où sa couleur noire, alors qu'à l'origine elle aurait été blanche. Sachant que la « Pierre noire » était une pierre vénérée par toutes les tribus le fait d'avoir vou lu garder la « Pierre noire » cela avait pleinement un but politique de rapprocher ainsi les différentes tribus. La preuve c'est que Mahomet a accepté l'éminence et l'intercession des idoles des Quoriche afin de connvertir ces derniers en son propre rite.
(la sourate Nadjm- l'Etoile- les versets de 1 à 3).
(la sourate Nadjm, les versets 19 et 20)
(la sourate Hadj - le pèlerinage de la Mecque -, le verset 52).
Peut-on mêler ce qui est de Dieu avec ce qui prend racine dans le paganisme et en faire un religion ? Quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? ( 2 Corinthien 6:14-25 )
L'origine païenne de l'Islam.
Le terme "Allah", comme le Coran lui-même en est témoin, est bien connu dans la période pré-islamique
En effet, tant le terme "Allah" et son l'homologue féminin à l'époque "Allat" n'étaient pas rares parmi les noms théophores safaïtiques en Arabie du Nord. Lorsque, en d'autres termes, la révélation coranique a commencé à utiliser ce mot, il n'a pas été l'introduction d'un nouveau nom de Dieu qui était étranger aux oreilles des arabes contemporains, les historiens ont démontré que Allah désignait le chef de la kaaba (sorte de panthéon se situant à la Mecque) , et c'était l'appelation donnée à un des "360 dieux [un pour chaque jour de l'année] " vénérés par les arabes païens et ceci avant la venue de Mohamed. Dans la tradition paienne en Arabie, "le dieu lunaire" était communément appelé "Allah", c'est-à-dire le chef ou le dieu élevé parmi les dieux qui étaient adorés par la société pré-islamique et il était associé à trois autres divinités. En voici la preuve: le père de Mohammed qui était le gardien de la ka'ba à la Mecque s'appelait Abd'Allah ce qui signifie "serviteur de Dieu". En effet, "Allah" équivau au français "Dieu"; bien qu'il s'agisse d'un titre et non pas du nom de Dieu. Il n'était pas rare qu'en Moyen-Orient "ce mot d'origine sémitique" soit employé pour désigner une ou plusieurs divinités païennes (soit "dieu" ou "dieux").
Un peu d'histoire et géographie démontrant l'origine païenne l'Islam original (ce qui est encore le cas aujourd'hui)
Parmi les prescriptions faites par le Coran en matière de culte, beaucoup ne font que restaurer de vieilles traditions sémitiques conservées pendant des millénaires dans le désert, parfois transformées par le contact des Arabes avec les judéo-chrétiens. Les symboles tels que le symbole du croissant de lune qui peut être trouvé sur le sceau d'impressions, de stèles, de la poterie, des amulettes, tablettes d'argile, les bouteilles, poids, boucles d'oreilles, colliers, mur de peintures murales, etc ..., les temples et les rituels de l'islam moderne, ont été pratiquées par les polythéistes avant que Mohammed naisse.
Partout dans le monde antique, Les archéologues ont découvert des temples du dieu lune dans tout le Moyen-Orient. La religion dominante de l'Arabie était le culte du "dieu lune" qui avait d'ailleurs reçu la nomination "Allah" ( le Dieu ). Au sud de l'Arabie les archéologues ont même découvert le Temple de Hureidha (un temple dédié au "dieu lune").
Au moment ou la troupe de syrus voulait traverser la Mer Rouge pour aller vers l'Egypte, ils ont créé un temple du feu à la Mecque, qu'on le nomme aujourd'hui la " Kaaba Muhammadienne ", les iraniens l'ont nommé " l'endroit de feu " (ateshgah) et c'était un lieu sacré pour les Iraniens dont la religion était le zoroastrisme mais qui fut plus tard influencé par les pratiques religieuses babyloniennes, comme c'était le cas dans tout le Moyen Orient.
Ateshgah de bakou (Azerbaïdjan)
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Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 ka'bas dans la péninsule arabique,
mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.
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(Remarque : lorsqu'un musulman prie où qu'il se trouve il se tourne toujours vers la ka'ba alors que la Bible nous dit que la demeure de Dieu sont les cieux spirituels et non un endroit précis sur Terre. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu ancestral d’un culte païen. L’importance de ce lieu chez les musulmans s’affirme avec le pèlerinage de la Mecque (le hadj), un des cinq piliers de l’Islam.).
D'après la version musulmane la ka'aba (الكعبة) à la Mecque signifierait cube en arabe, mais la Ka'aba elle-même est l’ancienne " Kaabou ", du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l'al-'Uzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité.
La principale divinité du temple était le "dieu lune" aussi connu comme "Hubal"; les trois filles, al-Lat, al-Uzza et Manat sont parfois représentées avec "le dieu lune" avec un croissant de lune au-dessus d'eux. L'une des principales divinités de ce temple était également "Baal" et la lune sous le symbole de la déesse Astarté présentée comme sa campagne, leur union était censée assurer la fertilité pour l’année. Le terme habBa‛al (le Baal) est appliqué au faux dieu Baal. L’expression habBe‛alim (les Baals) se rapporte aux diverses divinités locales considérées comme les propriétaires ou les possesseurs d’endroits particuliers où elles exercent une influence.
Dans le Moyen Orient Baal était considéré comme le propriétaire du ciel, considéré par ses adorateurs comme celui qui donnait les pluies et la fertilité, pour cette raison le prophète Élie ordonna une sécheresse au nom de Yahvé (1R 17:1). Après trois années et six mois, Baal s’étant révélé incapable de mettre un terme à la sécheresse en réponse aux nombreuses suppliques que ne manquèrent pas de lui adresser ses prêtres et ses adorateurs, Élie convoqua tout le peuple au mont Carmel afin qu’il soit témoin d’une grande épreuve qui déterminerait qui est le vrai Dieu. À l’issue de cette épreuve, les adorateurs de Baal furent humiliés et 450 prophètes de Baal tués. Yahvé, et non Baal, fit ensuite pleuvoir pour mettre fin à la sécheresse. — 1R 18:18-46 ; Jc 5:17.
A la kaaba, on a trouvé une multitude de symboles du croissant de lune et pas moins de vingt et un inscriptions avec le nom du "dieu Lune".
Le croissant de lune, symbole du "dieu lune" fut plus tard adopté par les musulmans comme signe général de l'Islam se trouvant encore aujourd'hui en haut des mosquées et des minarets.
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Le culte des pierres dans la société arabe préislamique et l'actuelle " Pierre Noire " de la Ka'ba.
La Pierre Noire était scellée au coin de la Ka'ba dans le temple de La Mecque bien avant l'Islam. C'était une idole particulière car « venue du ciel » ( une météorite ou un bétyle ).
Le culte préislamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n'est pas isolé dans l'Antiquité : on peut citer la pierre noire d'Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c'est sous la forme d'un bétyle qu'en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l'objet de la vénération des fidèles, telles l'Artémis de Sardes ou l'Astarté de Paphos. En Arabie ce n'était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société préislamiques, par exemple la "pierre rouge" était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman ou la "pierre blanche" dans la Kaaba d'al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
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Quand Mahomet détruisit les 360 idoles contenues dans la Ka'ba, il conserva toutefois la « Pierre noire » , en déclarant qu'elle était un ancien cadeau de Dieu. C'est ainsi que cette pierre aurait le pouvoir surnaturel d'absorber les péchés de celui qui la touche, d'où sa couleur noire, alors qu'à l'origine elle aurait été blanche. Sachant que la « Pierre noire » était une pierre vénérée par toutes les tribus le fait d'avoir vou lu garder la « Pierre noire » cela avait pleinement un but politique de rapprocher ainsi les différentes tribus. La preuve c'est que Mahomet a accepté l'éminence et l'intercession des idoles des Quoriche afin de connvertir ces derniers en son propre rite.
(la sourate Nadjm- l'Etoile- les versets de 1 à 3).
(la sourate Nadjm, les versets 19 et 20)
(la sourate Hadj - le pèlerinage de la Mecque -, le verset 52).
Peut-on mêler ce qui est de Dieu avec ce qui prend racine dans le paganisme et en faire un religion ? Quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? ( 2 Corinthien 6:14-25 )
khadem- Surveillant TJ
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