Mardi 27 mai
2 participants
Page 1 sur 1
Mardi 27 mai
Texte pour le Mardi 27 mai
Bien que ce soit Jéhovah qui fasse croître les graines que nous semons et arrosons, il nous honore en nous permettant de collaborer avec lui (1 Cor. 3:9). N’est-ce pas là une incroyable marque d’humilité ? Indéniablement, l’humilité de Jéhovah est pour chacun de nous un puissant encouragement à se comporter comme un petit. L’humilité de Dieu avait un effet extraordinaire sur David. « C’est ton humilité qui me grandit », a-t-il chanté (2 Sam. 22:36). David attribuait la grandeur dont il était revêtu en Israël à l’humilité de Jéhovah, qui s’abaissait pour s’intéresser à lui (Ps. 113:5-7). En va-t-il autrement de nous ? Possédons-nous ne serait-ce qu’une qualité, aptitude ou responsabilité que nous n’ayons reçue de Jéhovah ? (1 Cor. 4:7). Celui qui se conduit comme un petit est « grand » notamment en ce sens qu’il est plus précieux entre les mains de Jéhovah (Luc 9:48). w12 15/11 3:6, 7.
Jéhovah, dont la grandeur est incomparable, nous témoigne de l’honneur en nous offrant la possibilité de prêcher la bonne nouvelle à l’aide de sa Parole, la Bible. Quel privilège avons nous !
Dieu faisait croître (1 Cor. 3:6).
Bien que ce soit Jéhovah qui fasse croître les graines que nous semons et arrosons, il nous honore en nous permettant de collaborer avec lui (1 Cor. 3:9). N’est-ce pas là une incroyable marque d’humilité ? Indéniablement, l’humilité de Jéhovah est pour chacun de nous un puissant encouragement à se comporter comme un petit. L’humilité de Dieu avait un effet extraordinaire sur David. « C’est ton humilité qui me grandit », a-t-il chanté (2 Sam. 22:36). David attribuait la grandeur dont il était revêtu en Israël à l’humilité de Jéhovah, qui s’abaissait pour s’intéresser à lui (Ps. 113:5-7). En va-t-il autrement de nous ? Possédons-nous ne serait-ce qu’une qualité, aptitude ou responsabilité que nous n’ayons reçue de Jéhovah ? (1 Cor. 4:7). Celui qui se conduit comme un petit est « grand » notamment en ce sens qu’il est plus précieux entre les mains de Jéhovah (Luc 9:48). w12 15/11 3:6, 7.
Jéhovah, dont la grandeur est incomparable, nous témoigne de l’honneur en nous offrant la possibilité de prêcher la bonne nouvelle à l’aide de sa Parole, la Bible. Quel privilège avons nous !
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Mardi 27 mai
Le message que prêchaient Paul et Apollos était le même, mais leurs personnalités étaient différentes. De son propre aveu, Paul était “ inexpérimenté quant à la parole ” ; Apollos, lui, était “ éloquent ”. (2 Corinthiens 10:10 ; 11:6.) Grâce à ses aptitudes, il trouvait des oreilles attentives dans la communauté juive de Corinthe. Il parvenait à ‘ prouver pleinement que les Juifs avaient tort ’, alors que Paul, peu avant, avait dû quitter la synagogue. — Actes 18:1, 4-6.
Cela peut-il expliquer pourquoi certains avaient tendance à suivre Apollos ? Selon une hypothèse émise par plusieurs commentateurs, leur passion innée pour les discussions philosophiques a pu amener certains Grecs à préférer la démarche plus stimulante d’Apollos. Giuseppe Ricciotti pense que “ sa langue colorée et ses splendides allégories lui valaient l’admiration de beaucoup, qui le préféraient à Paul, un orateur simple et sans prétention ”. Si certains laissaient effectivement de telles préférences pour des personnes créer des divisions parmi les frères, on comprend aisément que Paul ait durement critiqué l’exaltation de “ la sagesse des sages ”. — 1 Corinthiens 1:17-25.
Cette critique, cependant, ne signifie pas que Paul et Apollos étaient en désaccord. Si certains, avec une imagination débordante, ont vu dans les deux prédicateurs des ennemis jurés qui se disputaient l’affection des Corinthiens, les Écritures ne disent rien de tel. Loin de s’ériger en chef de faction, Apollos avait quitté Corinthe pour retourner à Éphèse et il était avec Paul au moment où ce dernier écrivit sa première lettre à la congrégation divisée.
Il n’y avait pas de désunion ni de rivalité entre eux ; au contraire, ils collaboraient visiblement dans une confiance mutuelle pour résoudre les problèmes de Corinthe. Paul avait peut-être des doutes sur quelques Corinthiens, mais certainement pas sur Apollos. Les deux hommes travaillaient en complète harmonie ; leurs enseignements étaient complémentaires. Paul lui-même a dit : “ J’ai planté, Apollos a arrosé ” ; tous les deux étaient “ compagnons de travail de Dieu ”. — 1 Corinthiens 3:6, 9, 21-23.
Cela peut-il expliquer pourquoi certains avaient tendance à suivre Apollos ? Selon une hypothèse émise par plusieurs commentateurs, leur passion innée pour les discussions philosophiques a pu amener certains Grecs à préférer la démarche plus stimulante d’Apollos. Giuseppe Ricciotti pense que “ sa langue colorée et ses splendides allégories lui valaient l’admiration de beaucoup, qui le préféraient à Paul, un orateur simple et sans prétention ”. Si certains laissaient effectivement de telles préférences pour des personnes créer des divisions parmi les frères, on comprend aisément que Paul ait durement critiqué l’exaltation de “ la sagesse des sages ”. — 1 Corinthiens 1:17-25.
Cette critique, cependant, ne signifie pas que Paul et Apollos étaient en désaccord. Si certains, avec une imagination débordante, ont vu dans les deux prédicateurs des ennemis jurés qui se disputaient l’affection des Corinthiens, les Écritures ne disent rien de tel. Loin de s’ériger en chef de faction, Apollos avait quitté Corinthe pour retourner à Éphèse et il était avec Paul au moment où ce dernier écrivit sa première lettre à la congrégation divisée.
Il n’y avait pas de désunion ni de rivalité entre eux ; au contraire, ils collaboraient visiblement dans une confiance mutuelle pour résoudre les problèmes de Corinthe. Paul avait peut-être des doutes sur quelques Corinthiens, mais certainement pas sur Apollos. Les deux hommes travaillaient en complète harmonie ; leurs enseignements étaient complémentaires. Paul lui-même a dit : “ J’ai planté, Apollos a arrosé ” ; tous les deux étaient “ compagnons de travail de Dieu ”. — 1 Corinthiens 3:6, 9, 21-23.
Re: Mardi 27 mai
Paul parle de ces limites en 1 Corinthiens 7:2-5. En se mariant, un homme et une femme s’engagent à n’avoir de relations sexuelles que l’un avec l’autre. Chaque conjoint est tenu de rendre à l’autre “ son dû ” — les relations sexuelles auxquelles une personne mariée est en droit de prétendre. Il arrive que des chrétiens passent de longues périodes loin de leur mari ou de leur femme, soit parce qu’ils prennent des vacances de leur côté, soit pour des raisons professionnelles. Les conjoints se privent ainsi mutuellement de leur “ dû ”. Imaginez qu’à cause d’un “ manque de maîtrise ” l’un des deux cède aux tentations de Satan et se rende coupable d’adultère. Ce serait dramatique, n’est-ce pas ? Jéhovah bénit ceux qui subviennent aux besoins de leur famille sans mettre en péril leur mariage. — Ps. 37:25.Tout d’abord, l’homme marié renonce au pouvoir qu’il a sur son corps. Paul l’a dit très clairement : “ La femme n’a pas pouvoir sur son propre corps, mais c’est son mari ; de même aussi le mari n’a pas pouvoir sur son propre corps, mais c’est sa femme. ” (1 Corinthiens 7:4). Certains, qui envisagent de se marier, penseront peut-être que ce fait n’a guère d’importance parce que la sexualité n’occupera pas une place prépondérante dans leur couple. C’est oublier que les Écritures exigent la pureté préconjugale et que, de ce fait, les chrétiens ne connaissent pas vraiment les besoins intimes de leur futur conjoint.
Paul parle de ces limites en 1 Corinthiens 7:2-5. En se mariant, un homme et une femme s’engagent à n’avoir de relations sexuelles que l’un avec l’autre. Chaque conjoint est tenu de rendre à l’autre “ son dû ” — les relations sexuelles auxquelles une personne mariée est en droit de prétendre. Il arrive que des chrétiens passent de longues périodes loin de leur mari ou de leur femme, soit parce qu’ils prennent des vacances de leur côté, soit pour des raisons professionnelles. Les conjoints se privent ainsi mutuellement de leur “ dû ”. Imaginez qu’à cause d’un “ manque de maîtrise ” l’un des deux cède aux tentations de Satan et se rende coupable d’adultère. Ce serait dramatique, n’est-ce pas ? Jéhovah bénit ceux qui subviennent aux besoins de leur famille sans mettre en péril leur mariage. — Ps. 37:25.
Paul parle de ces limites en 1 Corinthiens 7:2-5. En se mariant, un homme et une femme s’engagent à n’avoir de relations sexuelles que l’un avec l’autre. Chaque conjoint est tenu de rendre à l’autre “ son dû ” — les relations sexuelles auxquelles une personne mariée est en droit de prétendre. Il arrive que des chrétiens passent de longues périodes loin de leur mari ou de leur femme, soit parce qu’ils prennent des vacances de leur côté, soit pour des raisons professionnelles. Les conjoints se privent ainsi mutuellement de leur “ dû ”. Imaginez qu’à cause d’un “ manque de maîtrise ” l’un des deux cède aux tentations de Satan et se rende coupable d’adultère. Ce serait dramatique, n’est-ce pas ? Jéhovah bénit ceux qui subviennent aux besoins de leur famille sans mettre en péril leur mariage. — Ps. 37:25.
Invité- Invité
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum