Mercredi 11 juin
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Mercredi 11 juin
Texte pour le Mercredi 11 juin
Que nous soyons célibataires ou mariés, nous devons tous nous souvenir des paroles de Jésus. Convoiter le conjoint de quelqu’un d’autre est un péché (Deut. 5:21). Si un chrétien se mettait à nourrir ce genre de désir égoïste et malsain, il lui faudrait l’extirper sans tarder de son cœur, même s’il devait en éprouver une vive souffrance affective (Mat. 5:27-30). Il est capital de réprimer toute pensée condamnable et de couper net les élans d’un cœur qui est traître (Jér. 17:9). Quantité de gens qui ne connaissent rien ou presque rien du mariage tel qu’il a été institué par Dieu accordent du prix aux liens conjugaux. Combien plus nous qui sommes voués au « Dieu heureux », Jéhovah, devrions-nous nous réjouir de toutes les dispositions qu’il a prises pour notre bonheur et tenir ce don en haute estime ! (1 Tim. 1:11). w12 15/5 1:17, 18.
En disant “ ce que Dieu a attelé au même joug ”, Jésus ne laissait pas entendre que Dieu décide des mariages, mais confirmait qu’Il est à l’origine de l’institution matrimoniale, laquelle doit donc être tenue pour sacrée.
Évidemment, maris et femmes ne veulent pas être “ attelés au même joug ” en cohabitant sans amour. Ils désirent un mariage heureux où chacun s’épanouit. Ils peuvent être “ attelés au même joug ” avec bonheur s’ils appliquent les conseils pratiques du Créateur, contenus dans la Bible.
Ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a attelé au même joug, que l’homme ne le sépare pas (Mat. 19:6).
Que nous soyons célibataires ou mariés, nous devons tous nous souvenir des paroles de Jésus. Convoiter le conjoint de quelqu’un d’autre est un péché (Deut. 5:21). Si un chrétien se mettait à nourrir ce genre de désir égoïste et malsain, il lui faudrait l’extirper sans tarder de son cœur, même s’il devait en éprouver une vive souffrance affective (Mat. 5:27-30). Il est capital de réprimer toute pensée condamnable et de couper net les élans d’un cœur qui est traître (Jér. 17:9). Quantité de gens qui ne connaissent rien ou presque rien du mariage tel qu’il a été institué par Dieu accordent du prix aux liens conjugaux. Combien plus nous qui sommes voués au « Dieu heureux », Jéhovah, devrions-nous nous réjouir de toutes les dispositions qu’il a prises pour notre bonheur et tenir ce don en haute estime ! (1 Tim. 1:11). w12 15/5 1:17, 18.
En disant “ ce que Dieu a attelé au même joug ”, Jésus ne laissait pas entendre que Dieu décide des mariages, mais confirmait qu’Il est à l’origine de l’institution matrimoniale, laquelle doit donc être tenue pour sacrée.
Évidemment, maris et femmes ne veulent pas être “ attelés au même joug ” en cohabitant sans amour. Ils désirent un mariage heureux où chacun s’épanouit. Ils peuvent être “ attelés au même joug ” avec bonheur s’ils appliquent les conseils pratiques du Créateur, contenus dans la Bible.
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Mercredi 11 juin
Les jeunes gens qui suivent les principes bibliques conservent leur pureté morale, même si “ la fleur de la jeunesse ” est une période où les pulsions sexuelles sont souvent très puissantes (1 Cor. 7:36 ; Col. 3:5). Pour nous, chrétiens, le mariage est un don sacré de la part de Jéhovah. À propos des couples, Jésus a déclaré : “ Ce que Dieu a attelé au même joug, que l’homme ne le sépare pas. ” (Mat. 19:6). Le mariage n’est donc pas une union qui ne dure que le temps que dure l’attirance réciproque ; c’est un engagement permanent. Et, lorsque des problèmes surviennent, nous ne nous dérobons pas. Nous faisons au contraire tout notre possible pour manifester les qualités divines qui rendront notre famille heureuse. Une telle attitude est le gage d’un bonheur durable. — Éph. 5:33 ; Héb. 13:4.
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