C’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires
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C’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires
Vendredi 4 décembre
C’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires (1 Chron. 29:9).
Dans l’Israël antique, deux choses étaient requises de celui qui faisait un sacrifice volontaire. Premièrement, le donneur devait offrir ce qu’il avait de meilleur. Jéhovah l’avait dit aux Israélites : s’ils voulaient s’« attirer l’approbation », toutes leurs offrandes devaient être sans défaut (Lév. 22:18-20). Deuxièmement, le donneur devait lui-même être pur et sans souillure. Celui qui voulait offrir un sacrifice volontaire mais se trouvait dans un état d’impureté devait d’abord retrouver l’approbation divine en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité (Lév. 5:5, 6, 15). C’était une question sérieuse. Jéhovah avait bien précisé que toute personne qui, dans un état d’impureté, avait part à un sacrifice de communion (qui pouvait être une offrande volontaire) serait retranchée de son peuple (Lév. 7:20, 21). Par contre, quand il avait l’approbation de Jéhovah et que son offrande était sans tare, le donneur pouvait se réjouir « d’une grande joie ». w13 15/12 2:5, 6.
C’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires (1 Chron. 29:9).
Dans l’Israël antique, deux choses étaient requises de celui qui faisait un sacrifice volontaire. Premièrement, le donneur devait offrir ce qu’il avait de meilleur. Jéhovah l’avait dit aux Israélites : s’ils voulaient s’« attirer l’approbation », toutes leurs offrandes devaient être sans défaut (Lév. 22:18-20). Deuxièmement, le donneur devait lui-même être pur et sans souillure. Celui qui voulait offrir un sacrifice volontaire mais se trouvait dans un état d’impureté devait d’abord retrouver l’approbation divine en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité (Lév. 5:5, 6, 15). C’était une question sérieuse. Jéhovah avait bien précisé que toute personne qui, dans un état d’impureté, avait part à un sacrifice de communion (qui pouvait être une offrande volontaire) serait retranchée de son peuple (Lév. 7:20, 21). Par contre, quand il avait l’approbation de Jéhovah et que son offrande était sans tare, le donneur pouvait se réjouir « d’une grande joie ». w13 15/12 2:5, 6.
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