Heureux sont vos yeux parce qu’ils regardent, et vos oreilles parce qu’elles entendent (Mat. 13:16).
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Heureux sont vos yeux parce qu’ils regardent, et vos oreilles parce qu’elles entendent (Mat. 13:16).
Mercredi 10 février
Heureux sont vos yeux parce qu’ils regardent, et vos oreilles parce qu’elles entendent (Mat. 13:16).
Pourquoi, contrairement à certains, les disciples de Jésus étaient-ils en mesure de comprendre ses paroles ? Parce qu’ils étaient disposés à en chercher la signification réelle, à compléter l’enseignement qu’ils avaient déjà accepté, à tirer personnellement profit de ce qu’ils avaient entendu et à en faire profiter leur prochain (Mat. 13:11, 12, 36, 51, 52). Si nous voulons comprendre les exemples de Jésus, nous devons suivre la même démarche que ses fidèles disciples. Premièrement, nous devons être disposés à prendre le temps d’étudier et de méditer ce que Jésus a dit, à faire les recherches nécessaires et à se poser des questions pertinentes. C’est ce qui mène à la connaissance (Prov. 2:4, 5). Deuxièmement, nous devons chercher comment cette connaissance s’accorde avec ce que nous savons déjà en discernant ce qu’elle nous apporte personnellement. C’est ce qui produit l’intelligence (Prov. 2:2, 3). Troisièmement, nous devrions nous servir de ce que nous avons appris en l’appliquant dans notre vie. Nous faisons ainsi preuve de sagesse (Prov. 2:6, 7). w14 15/12 1:3, 4.
Heureux sont vos yeux parce qu’ils regardent, et vos oreilles parce qu’elles entendent (Mat. 13:16).
Pourquoi, contrairement à certains, les disciples de Jésus étaient-ils en mesure de comprendre ses paroles ? Parce qu’ils étaient disposés à en chercher la signification réelle, à compléter l’enseignement qu’ils avaient déjà accepté, à tirer personnellement profit de ce qu’ils avaient entendu et à en faire profiter leur prochain (Mat. 13:11, 12, 36, 51, 52). Si nous voulons comprendre les exemples de Jésus, nous devons suivre la même démarche que ses fidèles disciples. Premièrement, nous devons être disposés à prendre le temps d’étudier et de méditer ce que Jésus a dit, à faire les recherches nécessaires et à se poser des questions pertinentes. C’est ce qui mène à la connaissance (Prov. 2:4, 5). Deuxièmement, nous devons chercher comment cette connaissance s’accorde avec ce que nous savons déjà en discernant ce qu’elle nous apporte personnellement. C’est ce qui produit l’intelligence (Prov. 2:2, 3). Troisièmement, nous devrions nous servir de ce que nous avons appris en l’appliquant dans notre vie. Nous faisons ainsi preuve de sagesse (Prov. 2:6, 7). w14 15/12 1:3, 4.
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