Ils se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement (Actes 20:37).

[gédéon22]

Samedi 28 mai
Ils se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement (Actes 20:37).
On considère souvent les surveillants de circonscription et leur femme comme spirituellement forts et résistants. Et ils le sont. Mais eux aussi ont besoin d’encouragements, de compagnie dans le ministère et de se détendre de temps en temps avec d’autres chrétiens. Et s’ils tombent malades, ou sont hospitalisés pour une opération, une rééducation ou autre ? Quand les frères et sœurs des congrégations alentour comblent certains de leurs besoins et leur témoignent individuellement de l’intérêt, c’est d’un grand réconfort pour eux. Nous pouvons imaginer la sollicitude que « le médecin bien-aimé » Luc, rédacteur du livre des Actes, a dû témoigner à Paul et à d’autres compagnons de voyage (Col. 4:14 ; Actes 20:5–21:18). Les surveillants itinérants et leur femme aiment avoir des amis intimes et ils en ont besoin. Un surveillant de circonscription a écrit : « Quand j’ai besoin d’encouragement, on dirait que mes amis le savent. Ils posent des questions judicieuses, ce qui m’aide à parler de ce qui me préoccupe. Le simple fait qu’ils sachent écouter m’est d’un grand soutien. » w14 15/9 5:13, 14.