Qui est le mechant ?
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Qui est le mechant ?
Qui couvre ses transgressions ne réussira pas, mais qui les confesse et les quitte, à celui-là il sera fait miséricorde. — Prov. 28:13.
Comme cela s’est produit du vivant des apôtres, de même aujourd’hui certains chrétiens se mettent à pratiquer des péchés graves. Si tel est votre cas, la situation est-elle sans retour ? Pas forcément. Que pouvez-vous faire ? Voyons avant tout ce qu’il ne faut pas faire. La tendance humaine est de cacher sa faute à ses parents, à ses compagnons chrétiens ou aux anciens. Ceux qui tentent de couvrir leurs péchés commettent une profonde erreur, car on ne peut rien cacher à Dieu (Héb. 4:13). Certains essaient même de mener une double vie ; ils font semblant de servir Jéhovah, tout en pratiquant le péché. Un tel comportement est dépourvu d’intégrité ; c’est en réalité tout le contraire de l’intégrité. Jéhovah ne prend pas plaisir à des actes d’adoration accomplis par des personnes qui dissimulent des péchés graves. Au contraire, une telle hypocrisie l’irrite. — Prov. 21:27 ; Is. 1:11-16. w08 15/12 2:16.
Invité- Invité
Re: Qui est le mechant ?
Bonjour,
Le chrétien qui a commis un péché grave n’a qu’une chose à faire : rechercher l’aide des anciens. Jéhovah a prévu une disposition permettant d’intervenir en cas de maladie spirituelle grave. (Lire Jacques 5:14.) Ne sacrifiez pas votre rétablissement spirituel à la crainte de la discipline ou d’une remontrance. Serait-il raisonnable qu’un malade entre la vie et la mort refuse de se faire soigner parce qu’il a peur de la douleur passagère d’une piqûre, voire d’une opération ? — Héb. 12:11.
E.D. Abiya votre serviteur
Le chrétien qui a commis un péché grave n’a qu’une chose à faire : rechercher l’aide des anciens. Jéhovah a prévu une disposition permettant d’intervenir en cas de maladie spirituelle grave. (Lire Jacques 5:14.) Ne sacrifiez pas votre rétablissement spirituel à la crainte de la discipline ou d’une remontrance. Serait-il raisonnable qu’un malade entre la vie et la mort refuse de se faire soigner parce qu’il a peur de la douleur passagère d’une piqûre, voire d’une opération ? — Héb. 12:11.
E.D. Abiya votre serviteur
Re: Qui est le mechant ?
*** w87 1/9 p. 12 “Un temps pour parler” — Dans quel cas? ***
MARIE est auxiliaire médicale dans un hôpital. Elle est tenue par le secret professionnel, c’est-à-dire qu’elle ne doit transmettre ni documents ni renseignements relatifs à son travail à des personnes non habilitées à en avoir connaissance. Elle ne peut, non plus, divulguer de renseignements confidentiels concernant les patients sans tenir compte de la législation en vigueur dans son pays.
Un jour, Marie s’est retrouvée face à un dilemme. En consultant des dossiers médicaux, elle est tombée sur des renseignements relatifs à un avortement; or la patiente concernée était Témoin de Jéhovah comme elle. Bibliquement, avait-elle la responsabilité de dévoiler cette information aux anciens de la congrégation, au risque de perdre son emploi, de s’exposer elle-même ou d’exposer son employeur à des poursuites judiciaires? Ou bien devait-elle laisser l’affaire dans l’ombre, choix que justifiait peut-être Proverbes 11:13 qui dit: “Celui qui circule en calomniateur dévoile les propos confidentiels, mais celui qui est fidèle d’esprit couvre l’affaire.” — Voir Proverbes 25:9, 10.
Il arrive de temps en temps que des Témoins de Jéhovah rencontrent des situations de ce genre. Comme Marie, ils se sentent alors plus que jamais concernés par cette remarque du roi Salomon: “Pour tout il y a un temps fixé, oui, un temps pour toute chose sous les cieux: (...) un temps pour se taire et un temps pour parler.” (Ecclésiaste 3:1, 7). Pour Marie, était-ce le moment de se taire, ou celui de parler de ce qu’elle avait découvert?
Les circonstances pouvant grandement varier, il est impossible de définir une marche à suivre pour chaque cas, comme s’il fallait que tous agissent sur le modèle de Marie. En réalité, tout chrétien, s’il se trouve un jour dans une situation semblable, doit être prêt à peser l’ensemble des facteurs qui entrent en jeu. Il lui faut également prendre une décision qui tienne compte des principes de la Bible autant que de toutes les implications légales, et qui lui permette de garder une conscience nette devant Jéhovah (1 Timothée 1:5, 19).
MARIE est auxiliaire médicale dans un hôpital. Elle est tenue par le secret professionnel, c’est-à-dire qu’elle ne doit transmettre ni documents ni renseignements relatifs à son travail à des personnes non habilitées à en avoir connaissance. Elle ne peut, non plus, divulguer de renseignements confidentiels concernant les patients sans tenir compte de la législation en vigueur dans son pays.
Un jour, Marie s’est retrouvée face à un dilemme. En consultant des dossiers médicaux, elle est tombée sur des renseignements relatifs à un avortement; or la patiente concernée était Témoin de Jéhovah comme elle. Bibliquement, avait-elle la responsabilité de dévoiler cette information aux anciens de la congrégation, au risque de perdre son emploi, de s’exposer elle-même ou d’exposer son employeur à des poursuites judiciaires? Ou bien devait-elle laisser l’affaire dans l’ombre, choix que justifiait peut-être Proverbes 11:13 qui dit: “Celui qui circule en calomniateur dévoile les propos confidentiels, mais celui qui est fidèle d’esprit couvre l’affaire.” — Voir Proverbes 25:9, 10.
Il arrive de temps en temps que des Témoins de Jéhovah rencontrent des situations de ce genre. Comme Marie, ils se sentent alors plus que jamais concernés par cette remarque du roi Salomon: “Pour tout il y a un temps fixé, oui, un temps pour toute chose sous les cieux: (...) un temps pour se taire et un temps pour parler.” (Ecclésiaste 3:1, 7). Pour Marie, était-ce le moment de se taire, ou celui de parler de ce qu’elle avait découvert?
Les circonstances pouvant grandement varier, il est impossible de définir une marche à suivre pour chaque cas, comme s’il fallait que tous agissent sur le modèle de Marie. En réalité, tout chrétien, s’il se trouve un jour dans une situation semblable, doit être prêt à peser l’ensemble des facteurs qui entrent en jeu. Il lui faut également prendre une décision qui tienne compte des principes de la Bible autant que de toutes les implications légales, et qui lui permette de garder une conscience nette devant Jéhovah (1 Timothée 1:5, 19).
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