Programme de lecture de la Bible
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Re: Programme de lecture de la Bible
SyWeyzZ a écrit:Trop bien !
Oui c'est bien et en plus nous pouvons dire en plus au Bethel ceux qui rentre la première fois doivent lire la Bible en entier c'est une exigence ce qui démontre que l'enseignement de Jéhovah est très important.
Invité- Invité
Re: Programme de lecture de la Bible
Entièrement d'accord avec toi Davoa,davoa a écrit:
Oui c'est bien et en plus nous pouvons dire en plus au Bethel ceux qui rentre la première fois doivent lire la Bible en entier c'est une exigence ce qui démontre que l'enseignement de Jéhovah est très important.
A mon humble avis chaque proclamateur devrait avoir lu sa bible en entier au moins une fois. N'oublions pas ce qu'elle nous dit à son propre sujet :
Le fait de prendre connaissance du contenu entier de la Bible nous qualifie davantage au ministère!2 timothée 3:16,17 a écrit:16 Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner dans la justice, 17 pour que l’homme de Dieu soit pleinement qualifié, parfaitement équipé pour toute œuvre bonne.
J'attire toujours l'attention de mes étudiantes sur ce passage lorsque nous examinons l'encadré de la page 7 du "Qu'enseigne". Presque toutes ont entamé un programme de lecture qui leur convienne. Je continue de titiller gentiment celles qui tardent à s'y engager.
Line- Témoin de Jéhovah
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Date d'inscription : 15/09/2012
Re: Programme de lecture de la Bible
La congrégation de Thyatire tolérait l’idolâtrie, les faux enseignements et l’immoralité sexuelle. Elle avait en son sein “ la femme Jézabel ”, peut-être un groupe de femmes du même acabit que la méchante Jézabel, reine d’Israël, le royaume des dix tribus. D’après certains biblistes, les ‘ prophétesses ’ de Thyatire poussaient les chrétiens à adorer les dieux et déesses de corporations et à participer à des fêtes lors desquelles de la nourriture était offerte en sacrifice à des idoles. Aujourd’hui, qu’aucune soi-disant prophétesse ne cherche à manipuler les membres de la congrégation chrétienne
Re: Programme de lecture de la Bible
Le nom “ Hébreu ” est donné pour la première fois à Abram afin de le distinguer de ses voisins, les Amorites (Gn 14:13). Par la suite, dans la presque totalité des cas, le terme “ Hébreu(x) ” continue d’être employé comme qualificatif marquant un contraste ou une différence : celui qui parle appartient à une nation non israélite (Gn 39:13, 14, 17 ; 41:12 ; Ex 1:16 ; 1S 4:6, 9), ou est un Israélite qui s’adresse à un étranger (Gn 40:15 ; Ex 1:19 ; 2:7 ; Yon 1:9) ou bien il est question d’étrangers. — Gn 43:32 ; Ex 1:15 ; 2:11-13 ; 1S 13:3-7.
Comme les textes mentionnés plus haut le montrent, le terme “ Hébreu ” était déjà familier aux Égyptiens du XVIIIe siècle av. n. è. Cela semble indiquer qu’Abraham, Isaac et Jacob étaient devenus bien connus sur une grande distance, de sorte que l’appellatif “ Hébreu ” était devenu facile à reconnaître. Lorsque Joseph parla du “ pays des Hébreux ” (Gn 40:15) à deux serviteurs de Pharaon, il pensait sans doute à la région autour de Hébrôn, ville dont son père et ses ancêtres avaient fait leur point d’attache depuis longtemps. Quelque six siècles plus tard, les Philistins désignaient encore les Israélites par le nom “ Hébreux ”. À l’époque du roi Saül, “ Hébreux ” et “ Israël ” étaient des termes équivalents (1S 13:3-7 ; 14:11 ; 29:3). Au IXe siècle av. n. è., sur un bateau parti du port de Joppé, le prophète Yona se présenta aux marins (peut-être des Phéniciens) comme un Hébreu (Yon 1:9). La Loi établissait aussi une distinction entre les esclaves ‘ hébreux ’ et ceux de race ou de nationalité autres (Ex 21:2 ; Dt 15:12), et à ce sujet le livre de Jérémie (VIIe siècle av. n. è.) montre que le terme “ Hébreu ” était à l’époque l’équivalent de “ Juif ”. — Jr 34:8, 9, 13, 14.
Plus tard, les auteurs grecs et romains ignorèrent le mot “ Israélites ” et parlèrent plutôt d’“ Hébreux ” ou de “ Juifs ”.
Origine et signification du terme. Les diverses explications proposées pour l’origine et la signification du terme “ Hébreu ” peuvent généralement se schématiser comme suit :
Certains pensent que le nom vient du radical ʽavar, qui signifie “ passer, passer à côté, traverser ”. Ce terme s’appliquerait donc à Abraham comme celui que Dieu prit “ de l’autre côté du Fleuve [Euphrate] ”. (Jos 24:3.) Les traducteurs de la Septante comprenaient ainsi ce terme, si bien qu’en Genèse 14:13 ils parlèrent d’Abraham comme de l’“ émigrant ” plutôt que de “ l’Hébreu ”. Cette théorie est assez répandue, mais pose quelques problèmes. La terminaison du terme ʽIvri (Hébreu) correspond à celle utilisée dans d’autres noms indéniablement patronymiques, c’est-à-dire des noms formés par l’addition d’un préfixe ou d’un suffixe qui indique le lien vis-à-vis du nom du père ou d’un ancêtre. Ainsi, Môʼavi (Moabite) désigne plutôt un descendant de Moab (Môʼav) que quelqu’un d’une certaine région ; il en est de même de ʽAmmôni (Ammonite), de Dani (Danite) et de bien d’autres.
En outre, si le mot “ Hébreu ” ne devait s’appliquer à Abraham que parce qu’il ‘ traversa ’ l’Euphrate, ce terme pourrait sembler être très général et applicable à toute personne ayant fait la même chose ; or il y eut vraisemblablement de nombreux émigrants de ce genre au fil des siècles. Avec une telle étymologie, ce terme ne serait distinctif que dans la mesure où on reconnaîtrait qu’Abraham traversa l’Euphrate sur l’appel de Dieu. On peut douter que ce fait soit reconnu par les païens utilisant ce mot, mais on ne peut pas décréter que c’est impossible.
Une autre opinion, que partagent certains spécialistes, est que ce nom désigne ceux qui séjournent, c’est-à-dire qui ‘ sont de passage ’, pour les distinguer des résidents ou des immigrés (voir l’utilisation de ʽavar en Gn 18:5 ; Ex 32:27 ; 2Ch 30:10). Certes, les Israélites menèrent une vie nomade pendant un temps, mais ce n’était plus le cas après la conquête de Canaan. Cependant, le nom “ Hébreux ” continua de leur être donné. Un autre obstacle à ce concept est qu’il est si large qu’il inclurait tous les groupes nomades. Puisque la Bible dit de Jéhovah qu’il est “ le Dieu des Hébreux ”, ce terme ne peut désigner ‘ tous les nomades ’, d’autant moins que de nombreux peuples nomades adoraient de faux dieux. — Ex 3:18 ; 5:3 ; 7:16 ; 9:1, 13
Comme les textes mentionnés plus haut le montrent, le terme “ Hébreu ” était déjà familier aux Égyptiens du XVIIIe siècle av. n. è. Cela semble indiquer qu’Abraham, Isaac et Jacob étaient devenus bien connus sur une grande distance, de sorte que l’appellatif “ Hébreu ” était devenu facile à reconnaître. Lorsque Joseph parla du “ pays des Hébreux ” (Gn 40:15) à deux serviteurs de Pharaon, il pensait sans doute à la région autour de Hébrôn, ville dont son père et ses ancêtres avaient fait leur point d’attache depuis longtemps. Quelque six siècles plus tard, les Philistins désignaient encore les Israélites par le nom “ Hébreux ”. À l’époque du roi Saül, “ Hébreux ” et “ Israël ” étaient des termes équivalents (1S 13:3-7 ; 14:11 ; 29:3). Au IXe siècle av. n. è., sur un bateau parti du port de Joppé, le prophète Yona se présenta aux marins (peut-être des Phéniciens) comme un Hébreu (Yon 1:9). La Loi établissait aussi une distinction entre les esclaves ‘ hébreux ’ et ceux de race ou de nationalité autres (Ex 21:2 ; Dt 15:12), et à ce sujet le livre de Jérémie (VIIe siècle av. n. è.) montre que le terme “ Hébreu ” était à l’époque l’équivalent de “ Juif ”. — Jr 34:8, 9, 13, 14.
Plus tard, les auteurs grecs et romains ignorèrent le mot “ Israélites ” et parlèrent plutôt d’“ Hébreux ” ou de “ Juifs ”.
Origine et signification du terme. Les diverses explications proposées pour l’origine et la signification du terme “ Hébreu ” peuvent généralement se schématiser comme suit :
Certains pensent que le nom vient du radical ʽavar, qui signifie “ passer, passer à côté, traverser ”. Ce terme s’appliquerait donc à Abraham comme celui que Dieu prit “ de l’autre côté du Fleuve [Euphrate] ”. (Jos 24:3.) Les traducteurs de la Septante comprenaient ainsi ce terme, si bien qu’en Genèse 14:13 ils parlèrent d’Abraham comme de l’“ émigrant ” plutôt que de “ l’Hébreu ”. Cette théorie est assez répandue, mais pose quelques problèmes. La terminaison du terme ʽIvri (Hébreu) correspond à celle utilisée dans d’autres noms indéniablement patronymiques, c’est-à-dire des noms formés par l’addition d’un préfixe ou d’un suffixe qui indique le lien vis-à-vis du nom du père ou d’un ancêtre. Ainsi, Môʼavi (Moabite) désigne plutôt un descendant de Moab (Môʼav) que quelqu’un d’une certaine région ; il en est de même de ʽAmmôni (Ammonite), de Dani (Danite) et de bien d’autres.
En outre, si le mot “ Hébreu ” ne devait s’appliquer à Abraham que parce qu’il ‘ traversa ’ l’Euphrate, ce terme pourrait sembler être très général et applicable à toute personne ayant fait la même chose ; or il y eut vraisemblablement de nombreux émigrants de ce genre au fil des siècles. Avec une telle étymologie, ce terme ne serait distinctif que dans la mesure où on reconnaîtrait qu’Abraham traversa l’Euphrate sur l’appel de Dieu. On peut douter que ce fait soit reconnu par les païens utilisant ce mot, mais on ne peut pas décréter que c’est impossible.
Une autre opinion, que partagent certains spécialistes, est que ce nom désigne ceux qui séjournent, c’est-à-dire qui ‘ sont de passage ’, pour les distinguer des résidents ou des immigrés (voir l’utilisation de ʽavar en Gn 18:5 ; Ex 32:27 ; 2Ch 30:10). Certes, les Israélites menèrent une vie nomade pendant un temps, mais ce n’était plus le cas après la conquête de Canaan. Cependant, le nom “ Hébreux ” continua de leur être donné. Un autre obstacle à ce concept est qu’il est si large qu’il inclurait tous les groupes nomades. Puisque la Bible dit de Jéhovah qu’il est “ le Dieu des Hébreux ”, ce terme ne peut désigner ‘ tous les nomades ’, d’autant moins que de nombreux peuples nomades adoraient de faux dieux. — Ex 3:18 ; 5:3 ; 7:16 ; 9:1, 13
Re: Programme de lecture de la Bible
17.1-18.15 La ratification de l’alliance.
17.1 Quatre-vingt-dix-neuf ans. Cf. 16.16; 17.17,25. La pensée que Saraï puisse maintenant mettre au monde un héritier prête à rire (cf. 17.17; 18.12). L’Éternel apparut. Cf. versets 22; 12.7; 18.1. Je suis le Dieu Tout-Puissant. Les traités de suzeraineté commencent ainsi par les titres du Seigneur (cf. 15.7). L’étymologie de sadday est mal connue, mais « Tout-Puissant » en exprime clairement le sens. Cf. #Ge 28:3; 35:11; 43:14; 48:3; #Ex 6:3; #Eze 10:5. Sois intègre, c’est-à-dire sincère et pleinement consacré au service de Dieu (cf. 6.9).
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17.1 Quatre-vingt-dix-neuf ans. Cf. 16.16; 17.17,25. La pensée que Saraï puisse maintenant mettre au monde un héritier prête à rire (cf. 17.17; 18.12). L’Éternel apparut. Cf. versets 22; 12.7; 18.1. Je suis le Dieu Tout-Puissant. Les traités de suzeraineté commencent ainsi par les titres du Seigneur (cf. 15.7). L’étymologie de sadday est mal connue, mais « Tout-Puissant » en exprime clairement le sens. Cf. #Ge 28:3; 35:11; 43:14; 48:3; #Ex 6:3; #Eze 10:5. Sois intègre, c’est-à-dire sincère et pleinement consacré au service de Dieu (cf. 6.9).
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