Samedi 6 juillet
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Samedi 6 juillet
Texte pour le Samedi 6 juillet
Le prophète avait prédit que, malgré tout le bien que ferait le Messie, beaucoup de gens ne croiraient pas en lui (Is. 53:1). Durant le ministère de l’apôtre Paul, peu de personnes ont eu foi dans la bonne nouvelle concernant Jésus, le Messie (Rom. 10:16, 17). Les Écritures ont également annoncé qu’il serait haï sans raison (Ps. 69:4). Dans son Évangile, l’apôtre Jean cite ces propos de Jésus : “ Ils nous ont vus et aussi haïs, moi ainsi que mon Père. Mais c’est pour que s’accomplisse la parole écrite dans leur Loi : ‘ Ils m’ont haï sans raison. ’ ” (Jean 15:24, 25). Les Évangiles attestent que Jésus était haï, notamment des chefs religieux juifs. Par ailleurs, Christ a dit un jour : “ Le monde n’a aucune raison de vous haïr, mais il a de la haine pour moi, parce que je témoigne à son sujet que ses œuvres sont mauvaises. ” — Jean 7:7. w11 15/8 1:16, 17.Bien [que Jésus] eût accompli tant de signes devant eux, ils n’avaient pas foi en lui, de sorte que la parole d’Isaïe le prophète s’accomplit. — Jean 12:37, 38.
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Re: Samedi 6 juillet
Aujourd'hui il en va un peu de même avec le peuple de Jéhovah qui n'a aucune raison d'être haïMais c’est pour que s’accomplisse la parole écrite dans leur Loi : ‘ Ils m’ont haï sans raison. ’ ” (Jean 15:24, 25). Les Évangiles attestent que Jésus était haï, notamment des chefs religieux juifs. Par ailleurs, Christ a dit un jour : “ Le monde n’a aucune raison de vous haïr, mais il a de la haine pour moi, parce que je témoigne à son sujet que ses œuvres sont mauvaises. ” — Jean 7:7. w11 15/8 1:16, 17.
En fait, ce que les religieux haïssent c'est l'enseignement de Jésus que nous continuons d'enseigner
Re: Samedi 6 juillet
“Voyez, mon serviteur prospère; il s’élève, grandit, est placé très haut. (...) Il poussait devant lui, pareil à un faible rejeton, à une racine plantée dans un sol brûlé. (...) Méprisé, repoussé des hommes, homme de douleurs, expert en maladies, il était comme un objet dont on détourne le visage, une chose vile dont nous ne tenions nul compte. Et pourtant ce sont nos maladies dont il était chargé, nos souffrances qu’il portait (...). Et c’est (...) par nos iniquités qu’il a été écrasé; le châtiment, gage de notre salut, pesait sur lui, et c’est sa blessure qui nous a valu la guérison. Nous étions tous comme des brebis errantes, chacun se dirigeant de son côté (...). Maltraité, injurié, il n’ouvrait pas la bouche; pareil à l’agneau qu’on mène à la boucherie, (...) il s’est vu retrancher du pays des vivants (...). On a mis sa sépulture avec celle des impies.” — Rabbinat français.
Isaïe annonçait-il ici la venue d’un Messie qui devait souffrir et mourir? La plupart des commentateurs juifs d’aujourd’hui répondent par la négative. Certains affirment que c’est la nation d’Israël elle-même durant son exil à Babylone qui est représentée par ce serviteur en train de souffrir. D’autres associent ces souffrances à des périodes de l’Histoire comme les croisades ou l’Holocauste nazi. Mais ces explications résistent-elles à un examen attentif du texte? Il est vrai qu’en certains endroits Isaïe parle d’Israël comme du “serviteur” de Dieu. Mais il le qualifie alors de serviteur rebelle et pécheur (Isaïe 42:19; 44:21, 22). L’Encyclopaedia Judaica relève d’ailleurs ce contraste, disant: “Le véritable Israël est pécheur tandis que le serviteur [d’Isaïe 53] est exempt de péché. Ce passage d’Isaïe montre que Jésus a souffert mais la nation d’Israël ne veulent pas le reconnaitre pourtant c'est bien clair. Mais c'est l’Orgueil qui les empêche de voir.
Isaïe annonçait-il ici la venue d’un Messie qui devait souffrir et mourir? La plupart des commentateurs juifs d’aujourd’hui répondent par la négative. Certains affirment que c’est la nation d’Israël elle-même durant son exil à Babylone qui est représentée par ce serviteur en train de souffrir. D’autres associent ces souffrances à des périodes de l’Histoire comme les croisades ou l’Holocauste nazi. Mais ces explications résistent-elles à un examen attentif du texte? Il est vrai qu’en certains endroits Isaïe parle d’Israël comme du “serviteur” de Dieu. Mais il le qualifie alors de serviteur rebelle et pécheur (Isaïe 42:19; 44:21, 22). L’Encyclopaedia Judaica relève d’ailleurs ce contraste, disant: “Le véritable Israël est pécheur tandis que le serviteur [d’Isaïe 53] est exempt de péché. Ce passage d’Isaïe montre que Jésus a souffert mais la nation d’Israël ne veulent pas le reconnaitre pourtant c'est bien clair. Mais c'est l’Orgueil qui les empêche de voir.
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