Hasard ou conception ?
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Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
La coquille d’un escargot marin
● Plusieurs animaux marins sont bioluminescents, c’est-à-dire capables d’émettre de la lumière. Une aptitude dont l’escargot marin Hinea brasiliana se sert de façon très particulière : lorsqu’il se sent menacé par un crabe, il rentre dans sa coquille et se met à “ clignoter ”. La lumière intermittente qu’il produit fait fuir le prédateur. Mais comment celle-ci traverse-t-elle sa coquille ?
Considérez ceci : Loin de barrer le passage à la lumière, l’enveloppe du mollusque la diffuse. Dimitri Deheyn et Nerida Wilson sont chercheurs à l’Institut océanographique Scripps de San Diego (Californie, États-Unis). Ils ont découvert que par la lumière qu’il produit, l’animal “ allume ” sa coquille de manière uniforme. Sa coquille diffuse la lumière avec dix fois plus d’efficacité qu’un diffuseur de fabrication humaine d’épaisseur égale (0,5 mm) et la transmet avec huit fois plus d’efficacité. Étonnamment, la coquille d’espèces cousines non bioluminescentes ne possède pas cette extraordinaire capacité à diffuser ou à transmettre de la lumière. Et comme par hasard, la couleur de la lumière qu’émet Hinea brasiliana est celle qui dans l’eau de mer se propage le mieux...
Le professeur Deheyn explique qu’une connaissance approfondie d’Hinea brasiliana “ permettrait de fabriquer des matériaux présentant de meilleures performances optiques ”. Ces recherches pourraient également profiter à la biophotonique, une science qui utilise la lumière dans l’analyse et les traitements médicaux. Et à l’ère de la diode électroluminescente, des diffuseurs capables d’amplifier plus efficacement de faibles émissions de lumière participeraient sans aucun doute à l’économie d’énergie.
Qu’en pensez-vous ? La coquille d’Hinea brasiliana est-elle le fruit du hasard ? Ou d’une conception ?
La coquille d’un escargot marin
● Plusieurs animaux marins sont bioluminescents, c’est-à-dire capables d’émettre de la lumière. Une aptitude dont l’escargot marin Hinea brasiliana se sert de façon très particulière : lorsqu’il se sent menacé par un crabe, il rentre dans sa coquille et se met à “ clignoter ”. La lumière intermittente qu’il produit fait fuir le prédateur. Mais comment celle-ci traverse-t-elle sa coquille ?
Considérez ceci : Loin de barrer le passage à la lumière, l’enveloppe du mollusque la diffuse. Dimitri Deheyn et Nerida Wilson sont chercheurs à l’Institut océanographique Scripps de San Diego (Californie, États-Unis). Ils ont découvert que par la lumière qu’il produit, l’animal “ allume ” sa coquille de manière uniforme. Sa coquille diffuse la lumière avec dix fois plus d’efficacité qu’un diffuseur de fabrication humaine d’épaisseur égale (0,5 mm) et la transmet avec huit fois plus d’efficacité. Étonnamment, la coquille d’espèces cousines non bioluminescentes ne possède pas cette extraordinaire capacité à diffuser ou à transmettre de la lumière. Et comme par hasard, la couleur de la lumière qu’émet Hinea brasiliana est celle qui dans l’eau de mer se propage le mieux...
Le professeur Deheyn explique qu’une connaissance approfondie d’Hinea brasiliana “ permettrait de fabriquer des matériaux présentant de meilleures performances optiques ”. Ces recherches pourraient également profiter à la biophotonique, une science qui utilise la lumière dans l’analyse et les traitements médicaux. Et à l’ère de la diode électroluminescente, des diffuseurs capables d’amplifier plus efficacement de faibles émissions de lumière participeraient sans aucun doute à l’économie d’énergie.
Qu’en pensez-vous ? La coquille d’Hinea brasiliana est-elle le fruit du hasard ? Ou d’une conception ?
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
En ce qui me concerne et par logique je dit que c'est la conception d'un Créateur cela se vois ce ne peut absolument pas être le Hasard
Une chose est sur c'est que la nature nous enseigne pleins de chose et elle est Bio.
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
La tête antichoc du pic
● Une force de 80 à 100 g suffit à provoquer chez l’homme une commotion cérébrale. Le pic, quant à lui, supporte 1 200 g lorsqu’il frappe de son bec l’écorce d’un arbre. Comment cet oiseau accomplit-il sa besogne, apparemment sans même être pris de migraine, et encore moins subir une commotion ?
Considérez ceci : Les scientifiques ont découvert quatre caractéristiques de la tête du pic lui permettant d’amortir les chocs :
1. un bec robuste mais flexible ;
2. un appareil hyoïdien (structure composée d’un os et de tissus élastiques) qui entoure le crâne ;
3. une partie de crâne spongieuse ;
4. un faible espace entre le crâne et le cerveau pour le liquide cérébro-spinal.
Chacun de ces éléments absorbe les chocs mécaniques, ce qui permet au pic de frapper jusqu’à 22 coups par seconde sans endommager son cerveau.
Sur le modèle de la tête de cet oiseau, des chercheurs ont mis au point un revêtement pouvant résister à 60 000 g. Cette innovation pourrait notamment mener, dans le domaine de l’aviation, à une meilleure protection des boîtes noires, qui actuellement ne résistent qu’à 1 000 g. Selon Kim Blackburn, ingénieur à l’université de Cranfield, en Angleterre, la tête du pic offre “ un exemple fascinant d’association de structures très élaborées que la nature a conçues pour résoudre une difficulté a priori insoluble ”.
Qu’en pensez-vous ? La tête antichoc du pic est-elle apparue par hasard ? ou bien a-t-elle été conçue ?
La tête antichoc du pic
● Une force de 80 à 100 g suffit à provoquer chez l’homme une commotion cérébrale. Le pic, quant à lui, supporte 1 200 g lorsqu’il frappe de son bec l’écorce d’un arbre. Comment cet oiseau accomplit-il sa besogne, apparemment sans même être pris de migraine, et encore moins subir une commotion ?
Considérez ceci : Les scientifiques ont découvert quatre caractéristiques de la tête du pic lui permettant d’amortir les chocs :
1. un bec robuste mais flexible ;
2. un appareil hyoïdien (structure composée d’un os et de tissus élastiques) qui entoure le crâne ;
3. une partie de crâne spongieuse ;
4. un faible espace entre le crâne et le cerveau pour le liquide cérébro-spinal.
Chacun de ces éléments absorbe les chocs mécaniques, ce qui permet au pic de frapper jusqu’à 22 coups par seconde sans endommager son cerveau.
Sur le modèle de la tête de cet oiseau, des chercheurs ont mis au point un revêtement pouvant résister à 60 000 g. Cette innovation pourrait notamment mener, dans le domaine de l’aviation, à une meilleure protection des boîtes noires, qui actuellement ne résistent qu’à 1 000 g. Selon Kim Blackburn, ingénieur à l’université de Cranfield, en Angleterre, la tête du pic offre “ un exemple fascinant d’association de structures très élaborées que la nature a conçues pour résoudre une difficulté a priori insoluble ”.
Qu’en pensez-vous ? La tête antichoc du pic est-elle apparue par hasard ? ou bien a-t-elle été conçue ?
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
Concernant Le pic et sa tête antichoc
Les pics noirs, les pics rouges, les pics épeiches et autres picidés peuvent grimper sur les arbres et se maintenir sur les troncs avec leur pattes robustes et frapper le bois avec leur bec en forme de pic pour atteindre les larves et insectes ,faire du tambour avec le bois pour communiquer ou pour déposer leur oeufs dans un trous.
Il ne suffit pas de beacoup de chose pour qu'on ayons de maux de tête mais pourquoi n'ont t'il pas des migraines a forces de se taper la tête contre un tronc ?C'est sur cette questions que des scientifiques se sent pencher .La revue Annals of Improbable Research avait décerner le prix IgNobel d’ornithologie a deux biologistes Ivan Schwab et Phillip RA May sur leur étude et leur découverte sur l'incroyable endurance de la tête du pic .
les scientifiques ont trouvé quatre caractéristique lui permettant de ne pas avoir de maux de tête :
-un bec robuste mais flexible
-un appareil hyoïdien (structure composée d'os et de tissus élastique
-une partie spongieuse du crane
-un faible espace entre le crane et le cerveau.
Chacun de ses élément absorbe les chocs ,ce qui permet au pic de frapper 22 coup par seconde sans dommage a son cerveau.
Des idées de casques très résistant ou innovation sur le domaine de l'aviation pour la meilleur protection des boites noir sur le modèle de la tête pour des chercheurs.
Que penser vous ? La nature a créée un merveilleux système de protection et ce n'est que l'un de ses innombrable trésors d’ingéniosité.
Les pics noirs, les pics rouges, les pics épeiches et autres picidés peuvent grimper sur les arbres et se maintenir sur les troncs avec leur pattes robustes et frapper le bois avec leur bec en forme de pic pour atteindre les larves et insectes ,faire du tambour avec le bois pour communiquer ou pour déposer leur oeufs dans un trous.
Il ne suffit pas de beacoup de chose pour qu'on ayons de maux de tête mais pourquoi n'ont t'il pas des migraines a forces de se taper la tête contre un tronc ?C'est sur cette questions que des scientifiques se sent pencher .La revue Annals of Improbable Research avait décerner le prix IgNobel d’ornithologie a deux biologistes Ivan Schwab et Phillip RA May sur leur étude et leur découverte sur l'incroyable endurance de la tête du pic .
les scientifiques ont trouvé quatre caractéristique lui permettant de ne pas avoir de maux de tête :
-un bec robuste mais flexible
-un appareil hyoïdien (structure composée d'os et de tissus élastique
-une partie spongieuse du crane
-un faible espace entre le crane et le cerveau.
Chacun de ses élément absorbe les chocs ,ce qui permet au pic de frapper 22 coup par seconde sans dommage a son cerveau.
Des idées de casques très résistant ou innovation sur le domaine de l'aviation pour la meilleur protection des boites noir sur le modèle de la tête pour des chercheurs.
Que penser vous ? La nature a créée un merveilleux système de protection et ce n'est que l'un de ses innombrable trésors d’ingéniosité.
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
L’adhésif gecko
▪ Les savants sont impressionnés par la capacité du gecko à escalader des surfaces lisses — voire à courir sur un plafond — sans glisser ! Comment cet étonnant petit lézard s’y prend-il ?
La Bible dit que “ le gecko saisit avec ses mains ”. (Proverbes 30:28.) Les pattes de cet animal ressemblent effectivement à des mains, et elles s’agrippent aux surfaces lisses avec une agilité incroyable. Chaque doigt présente des plis recouverts de milliers de protubérances qui ressemblent à des poils. Et chaque protubérance possède des centaines de filaments microscopiques. Entre eux et la surface se créent des forces intermoléculaires (ou forces de Van der Waals), qui suffisent à retenir le lézard — même lorsqu’il file à vive allure, la tête en bas, sur du verre !
Les chercheurs aimeraient mettre au point des adhésifs qui, comme les pattes du gecko, collent aux surfaces lisses. Selon la revue Science News, ces produits auraient, notamment, “ des applications médicales diverses : depuis le pansement résistant à l’eau jusqu’au ruban adhésif qui remplace les points de suture ”.
Après ce bref examen, que diriez-vous ? L’adhésif du gecko est-il le fruit du hasard ? Ou d’une conception ?
[Note]
Les chercheurs étudient aussi la protéine que sécrète la moule, protéine qui permet à ces animaux marins de se fixer sur des supports humides
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
La lumière froide de la luciole
● Dans les régions tropicales et tempérées, on reconnaît la luciole à la lumière clignotante qu’elle émet pour attirer un partenaire. Fait intéressant, cette lumière est supérieure aux lampes fluorescentes et à incandescence conçues par l’homme. La prochaine fois que vous recevrez votre facture d’électricité, pensez à ce qu’est capable de faire ce petit insecte.
Considérez ceci : Une ampoule à incandescence ne restitue que 10 % de son énergie sous forme de lumière ; le reste est gaspillé, dispersé en chaleur. Une ampoule fluorescente est beaucoup plus performante ; elle émet 90 % de son énergie sous forme de lumière. Mais ni l’une ni l’autre ne peuvent rivaliser avec la luciole. Produisant une lumière quasi dépourvue de rayons ultraviolets ou infrarouges, cet insecte atteint un rendement qui frôle les 100 % !
Le secret de la luciole réside dans les réactions chimiques qui ont lieu entre la luciférine, une substance cellulaire, la luciférase, une enzyme, et l’oxygène. Des cellules appelées photocytes utilisent la luciférase pour déclencher ces réactions, qui ont l’oxygène pour comburant. Il en résulte une lumière froide, qui, comme son nom l’indique, ne produit presque aucune chaleur. Sandra Mason, professeur d’horticulture spécialiste de l’environnement, a remarqué à juste titre que Thomas Edison, l’inventeur de l’ampoule électrique, “ devait être jaloux des lucioles ”.
Qu’en pensez-vous ? La lumière froide de la luciole est-elle apparue par hasard ? Ou a-t-elle été conçue ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
Joli toutes ces couleurs
Dans la tour de garde de cette semaine on parle de la libellule, j'appelle ca un hélicoptère :
*** g 8/10 p. 25 L’aile de la libellule ***
L’aile de la libellule
● Certaines libellules peuvent planer pendant 30 secondes, pratiquement sans perdre d’altitude. Quel est leur secret ? Une aile aérodynamique qui ne ressemble à aucune aile issue de l’industrie aéronautique !
Considérez ceci : L’aile ultrafine de la libellule est nervurée, conformation qui l’empêche de se tordre. Des chercheurs ont constaté que ces nervures procurent à l’insecte une excellente portance en vol. “ De l’air circule dans des cavités situées entre les nervures, créant des zones de très basse résistance, qui favorisent l’écoulement d’air générateur de portance autour de l’aile ”, explique la revue New Scientist.
Abel Vargas, ingénieur en aérospatiale, et ses confrères ont étudié l’aile de la libellule et en ont déduit que “ s’inspirer d’ailes biologiques pour concevoir les microvéhicules aériens est des plus pertinent ”. Équipés d’une caméra ou d’autres instruments, ces minirobots volants présentent plusieurs utilités, comme obtenir des informations depuis les lieux d’une catastrophe ou surveiller des taux de pollution.
Qu’en pensez-vous ? L’aile ultra-fine, nervurée, de la libellule est-elle le fruit du hasard ? ou d’une conception ?
[Illustration, page 25]
Le microdrone libellule (microvéhicule aérien) fait 120 milligrammes et six centimètres de large, et possède des ailes ultraminces en silicium, qui, sous tension, se mettent à battre.
Dans la tour de garde de cette semaine on parle de la libellule, j'appelle ca un hélicoptère :
*** g 8/10 p. 25 L’aile de la libellule ***
L’aile de la libellule
● Certaines libellules peuvent planer pendant 30 secondes, pratiquement sans perdre d’altitude. Quel est leur secret ? Une aile aérodynamique qui ne ressemble à aucune aile issue de l’industrie aéronautique !
Considérez ceci : L’aile ultrafine de la libellule est nervurée, conformation qui l’empêche de se tordre. Des chercheurs ont constaté que ces nervures procurent à l’insecte une excellente portance en vol. “ De l’air circule dans des cavités situées entre les nervures, créant des zones de très basse résistance, qui favorisent l’écoulement d’air générateur de portance autour de l’aile ”, explique la revue New Scientist.
Abel Vargas, ingénieur en aérospatiale, et ses confrères ont étudié l’aile de la libellule et en ont déduit que “ s’inspirer d’ailes biologiques pour concevoir les microvéhicules aériens est des plus pertinent ”. Équipés d’une caméra ou d’autres instruments, ces minirobots volants présentent plusieurs utilités, comme obtenir des informations depuis les lieux d’une catastrophe ou surveiller des taux de pollution.
Qu’en pensez-vous ? L’aile ultra-fine, nervurée, de la libellule est-elle le fruit du hasard ? ou d’une conception ?
[Illustration, page 25]
Le microdrone libellule (microvéhicule aérien) fait 120 milligrammes et six centimètres de large, et possède des ailes ultraminces en silicium, qui, sous tension, se mettent à battre.
Re: Hasard ou conception ?
Oui on se demande comment Jéhovah a pu ainsi concevoir certains animaux doté d'une si grande complicité dans leur tous petit corps .
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
Oui cela est vrai mais on peut remercier JéhovahYasashi a écrit:Oui on se demande comment Jéhovah a pu ainsi concevoir certains animaux doté d'une si grande complicité dans leur tous petit corps .
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
Oui car il a du passer beaucoup de temps pour créé la terre, il mérite donc énormément de remercient
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
La peau du requin
● À première vue, la peau du requin paraît douce. Mais si vous pouviez la toucher — en toute sécurité, cela va de soi —, vous découvririez que sa texture ressemble à celle du papier de verre*.
Considérez ceci : Les minuscules écailles rainurées qui produisent cet effet présentent deux avantages pour le requin. Premièrement, elles facilitent l’écoulement de l’eau, ce qui permet au requin de se mouvoir avec une résistance minimale. Deuxièmement, elles bougent tandis que le requin nage, faisant de la peau une surface instable, sur laquelle les parasites ne peuvent s’installer.
Les propriétés de la peau du requin offrent un large champ d’applications. Par exemple, les scientifiques ont déjà conçu une combinaison dont la texture extérieure, inspirée de celle de la peau du requin, augmente la vitesse des nageurs d’environ trois pour cent. Ces propriétés pourraient, d’après eux, être appliquées à la conception de voitures et de bateaux présentant une moindre résistance au frottement.
Les chercheurs espèrent également exploiter les propriétés prophylactiques de la peau du requin pour fabriquer un revêtement antimicrobien destiné aux bateaux — plus écologique que les peintures antiparasitaires à base de métal. Parmi les autres applications envisagées, citons des produits et instruments médicaux susceptibles de réduire les risques d’infections nosocomiales.
Qu’en pensez-vous ? La peau du requin — avec ses propriétés hydrodynamiques et prophylactiques — est-elle apparue par hasard ? Ou bien a-t-elle été conçue ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
Dans l'extrême souci d'une diversification de nos exemples, nous orientons vos regards vers une imitation de structure et non plus de forme. La biomimétique s'est en effet intéressée de vraiment très près à la peau du requin. Si les requins sont rapides (100 km.h-1 pour le mako), ils doivent leur vélocité à leur peau.
Changement de paragraphe pour vous instruire du bouleversement d'un principe que chacun pouvait croire inscrit dans la science : les surfaces lisses sont plus aérodynamiques que les surfaces rugueuses. Cela est donc dorénavant réfuté par le requin.
Armons-nous d'un microscope, et observons des minuscules écailles (0.06 mm), striées et anguleuses sur la peau de notre animal : les denticules cutanés qui recouvrent la peau du requin lui donnent son aspect rugueux. Ils sont le résultat de l'évolution des écailles des poissons. Leur croissance n'est pas infinie, bien évidemment.
Ces denticules sont naturellement recourbés vers l'arrière du requin, pour l'hydrodynamisme. Ils sont en vérité très ressérrés, et si l'on observe ces denticules vue de haut, on remarque de micro-canaux à leur surface :
Vous voici donc instruit du secret de cette rugosité. L'eau s'engouffre en effet dans ces micro-rainures qui engendrent de minuscules tourbillons, ou remous verticaux, qui maintiennent alors l'eau près du corps de l'animal. Cela diminue l'effet de résistance du fluide. Le phénomène est "connu" sous le nom de l'effet riblet. On explique les effets de ces surfaces rainurées de plusieurs manières, les mesures étant délicates au vu de l'échelle :
En toute logique, le milieu naval ne s'est pas non plus privé de cette découverte. Ainsi, les bateaux de la coupe de l’America, le huit avec barreurs de la course Cambridge-Oxford ont appliqués l'effet riblet à leur coque.
Enfin, la trouvaille s'est aussi concrétisée dans l'aéronautique, où l'on a fait recouvrir des avions de parois striées, pour des résultats qui ont intéressé Airbus (ex: sur l'A320).
→ Relativisons :
La dégradation dans le temps des parois rainurées, l’excédent de poids qu’ils induisent, le coût d’installation : l'application industrielle à l'avion n'a certes pas vaincu tous les obstacles.
Il est aussi mentionné que l’idée originale de ces parois striées est issue d’observations zoologiques : certaines peaux de requins montrent l’existence de micro-structures longitudinales et transversales.
D'autres chercheurs sont plus sceptiques, dénonçant des présentations médiatiques de ces surfaces rainurées dénommées « peaux de requins ». Ceci est ainsi jugé un peu abusif car, d’une part, tous les requins n'ont pas des structures de peau semblablaes à celle-ci ; et, d’autre part, des essais en soufflerie, à partir de reproductions fidèles de la structure de cette peau de requin, n’ont pas conduit à des résultats très probants.
Tout ceci pour vous montrer, en une brêve parenthèse, que le milieu scientifique lui-même est encore sceptique quant à cette science "bâtarde" qu'est la biomimétique, que le travail de contretypage pour notre échelle et nos besoins reste le plus fastidieux, que la nature donne surtout l'idée, sans tous les moyens...
requin blanc
Changement de paragraphe pour vous instruire du bouleversement d'un principe que chacun pouvait croire inscrit dans la science : les surfaces lisses sont plus aérodynamiques que les surfaces rugueuses. Cela est donc dorénavant réfuté par le requin.
Armons-nous d'un microscope, et observons des minuscules écailles (0.06 mm), striées et anguleuses sur la peau de notre animal : les denticules cutanés qui recouvrent la peau du requin lui donnent son aspect rugueux. Ils sont le résultat de l'évolution des écailles des poissons. Leur croissance n'est pas infinie, bien évidemment.
écaille de requin
Ces denticules sont naturellement recourbés vers l'arrière du requin, pour l'hydrodynamisme. Ils sont en vérité très ressérrés, et si l'on observe ces denticules vue de haut, on remarque de micro-canaux à leur surface :
peau du requin
Vous voici donc instruit du secret de cette rugosité. L'eau s'engouffre en effet dans ces micro-rainures qui engendrent de minuscules tourbillons, ou remous verticaux, qui maintiennent alors l'eau près du corps de l'animal. Cela diminue l'effet de résistance du fluide. Le phénomène est "connu" sous le nom de l'effet riblet. On explique les effets de ces surfaces rainurées de plusieurs manières, les mesures étant délicates au vu de l'échelle :
Commençons par les fameuses combinaisons des nageurs professionnels, pour ne pas trop s'éloigner de l'eau. L'entreprise Speedo conçoit ainsi depuis 2004 des maillots inspirés des caractéristiques de la peau des requins. A titre d'exemple, l'un d'eux était porté par Michael Phelps lors des Jeux olympiques 2008 de Pékin, quand il récolta pas moins de huit médailles d'or, en les associant à 6 records du monde. Cette révolution des combinaisons a fait tomber 250 records mondiaux cette année, mais sont dorénavant interdites, lorsqu'elles sont en tout-polyuréthane.- l'écoulement serait fortement ralenti dans le creux des rainures, un frottement plus faible en résultant donc.
- l'écoulement serait en quelque sorte restructuré, canalisé, donc avec moins d'effets négatifs.
→ L'application industrielle ne s'est pas faite attendre ; elle est très diversifiée.
En toute logique, le milieu naval ne s'est pas non plus privé de cette découverte. Ainsi, les bateaux de la coupe de l’America, le huit avec barreurs de la course Cambridge-Oxford ont appliqués l'effet riblet à leur coque.
Enfin, la trouvaille s'est aussi concrétisée dans l'aéronautique, où l'on a fait recouvrir des avions de parois striées, pour des résultats qui ont intéressé Airbus (ex: sur l'A320).
→ Relativisons :
La dégradation dans le temps des parois rainurées, l’excédent de poids qu’ils induisent, le coût d’installation : l'application industrielle à l'avion n'a certes pas vaincu tous les obstacles.
Il est aussi mentionné que l’idée originale de ces parois striées est issue d’observations zoologiques : certaines peaux de requins montrent l’existence de micro-structures longitudinales et transversales.
D'autres chercheurs sont plus sceptiques, dénonçant des présentations médiatiques de ces surfaces rainurées dénommées « peaux de requins ». Ceci est ainsi jugé un peu abusif car, d’une part, tous les requins n'ont pas des structures de peau semblablaes à celle-ci ; et, d’autre part, des essais en soufflerie, à partir de reproductions fidèles de la structure de cette peau de requin, n’ont pas conduit à des résultats très probants.
Tout ceci pour vous montrer, en une brêve parenthèse, que le milieu scientifique lui-même est encore sceptique quant à cette science "bâtarde" qu'est la biomimétique, que le travail de contretypage pour notre échelle et nos besoins reste le plus fastidieux, que la nature donne surtout l'idée, sans tous les moyens...
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
HASARD OU CONCEPTION ?
La lanterne d’une luciole Photuris
LA LANTERNE, ou organe lumineux, d’une luciole appartenant au genre Photuris* est recouverte d’écailles en dents de scie qui augmentent considérablement l’intensité de la lumière produite par l’insecte.
Considérez ceci : Des chercheurs ont découvert que les minuscules écailles qui recouvrent la lanterne de certaines lucioles forment un revêtement en dents de scie, un peu comme des bardeaux ou des tuiles qui se chevauchent. Chaque écaille est surélevée à l’une de ses extrémités de seulement trois micromètres (soit moins d’un vingtième de l’épaisseur d’un cheveu). Pourtant, cette inclinaison microscopique permet à la lanterne d’émettre 50 % de lumière de plus que si les écailles formaient une surface plane !
Pourrait-on s’inspirer de ce principe pour améliorer le rendement lumineux des diodes électroluminescentes (LED), utilisées dans les appareils électroniques ? Pour le savoir, des scientifiques ont habillé des LED d’un revêtement en dents de scie semblable à celui qui entoure la lanterne de la luciole. Avec quel résultat ? L’émission de lumière a augmenté de 55 % ! La physicienne Annick Bay conclut : « L’aspect le plus important de ce travail est de montrer combien nous pouvons apprendre en observant attentivement la nature. »
Qu’en pensez-vous ? La lanterne de cette luciole Photuris est-elle le produit du hasard ? Ou d’une conception ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
En s'inspirant du clignotement lumineux des lucioles la nuit, des scientifiques ont modifié en laboratoire une diode électro-luminescente (LED) et ont vu l'efficacité de cette dernière augmenter de plus de 50%.Des chercheurs belges, français et canadiens ont étudié l'anatomie des lucioles femelles et, plus précisément leurs lanternes, des organes luminescents situés dans leur abdomen. Ces organes ont pour fonction d'émettre ponctuellement une lumière verte (ou parfois jaune) assez puissante pour attirer les mâles.
Les scientifiques ont identifié un motif inattendu aux bords irréguliers permettant d'améliorer la "lanterne abdominale" des lucioles. Ils ont ensuite appliqué ces nouvelles connaissances aux DEL pour créer une surcouche artificielle imitant la structure naturelle. Selon eux, la couche en question qui a permis d'augmenter les émissions de lumière DEL, jusqu'à 55%, pourrait facilement être adaptée aux diodes actuelles afin d'aider les humains à s'éclairer la nuit, tout en utilisant moins d'énergie. Les travaux ont été publiés dans la revue 'Optics Express'.
"L'aspect le plus important de ce travail est de montrer combien nous pouvons apprendre en observant attentivement la nature", a expliqué Annick Bay, étudiante, titulaire d'un doctorat à l'Université de Namur en Belgique, qui étudie les structures photoniques naturelles, comme les écailles des coléoptères et autres ailes de papillon. C'est au cours d'un travail de terrain en Amérique centrale sur le petit coléoptère doré que son directeur, Jean-Pol Vigneron, a remarqué des nuages de lucioles scintillants. Il en a apporté quelques spécimens au laboratoire pour les examiner attentivement.
Les lucioles produisent de la lumière grâce à une réaction chimique qui a lieu dans des cellules spécialisées appelées photocytes. La lumière est émise à travers une partie de l'exosquelette de l'insecte, appelée cuticule. La lumière se propage à travers la cuticule plus lentement qu'à travers l'air. Ce décalage signifie qu'une proportion de la lumière est réfléchie dans la lanterne abdominale, affaiblissant la lueur émise. Toutefois la surface géométrique unique des cuticules des lucioles peut aider à minimiser les réflexions internes. Cela veut dire que plus de lumière s'échappe pour atteindre les yeux des prétendants potentiels.
Les scientifiques ont identifié un motif inattendu aux bords irréguliers permettant d'améliorer la "lanterne abdominale" des lucioles. Ils ont ensuite appliqué ces nouvelles connaissances aux DEL pour créer une surcouche artificielle imitant la structure naturelle. Selon eux, la couche en question qui a permis d'augmenter les émissions de lumière DEL, jusqu'à 55%, pourrait facilement être adaptée aux diodes actuelles afin d'aider les humains à s'éclairer la nuit, tout en utilisant moins d'énergie. Les travaux ont été publiés dans la revue 'Optics Express'.
"L'aspect le plus important de ce travail est de montrer combien nous pouvons apprendre en observant attentivement la nature", a expliqué Annick Bay, étudiante, titulaire d'un doctorat à l'Université de Namur en Belgique, qui étudie les structures photoniques naturelles, comme les écailles des coléoptères et autres ailes de papillon. C'est au cours d'un travail de terrain en Amérique centrale sur le petit coléoptère doré que son directeur, Jean-Pol Vigneron, a remarqué des nuages de lucioles scintillants. Il en a apporté quelques spécimens au laboratoire pour les examiner attentivement.
Les lucioles produisent de la lumière grâce à une réaction chimique qui a lieu dans des cellules spécialisées appelées photocytes. La lumière est émise à travers une partie de l'exosquelette de l'insecte, appelée cuticule. La lumière se propage à travers la cuticule plus lentement qu'à travers l'air. Ce décalage signifie qu'une proportion de la lumière est réfléchie dans la lanterne abdominale, affaiblissant la lueur émise. Toutefois la surface géométrique unique des cuticules des lucioles peut aider à minimiser les réflexions internes. Cela veut dire que plus de lumière s'échappe pour atteindre les yeux des prétendants potentiels.
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
Merci Davoa ! On voit à travers sa création que Jéhovah est vraiment un être puissant, débordant d'amour !
Yasashi- proclamateur agré/ée
- Messages : 486
Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Hasard ou conception ?
Yasashi a écrit:Merci Davoa ! On voit à travers sa création que Jéhovah est vraiment un être puissant, débordant d'amour !
de rien mon petit Yasash
Invité- Invité
Re: Hasard ou conception ?
HASARD OU CONCEPTION ?
La colle multifonction d’une araignée
UNE araignée qu’on trouve dans nos maisons (Parasteatoda tepidariorum) produit une toile dont la fixation peut être assez forte pour que la toile colle au mur ou assez faible pour qu’elle puisse se détacher du sol et capturer un insecte rampant, comme dans un piège à ressort. Comment l’araignée arrive-t-elle à produire, avec un seul type de colle, une fixation qui peut être soit forte, soit faible ?
Considérez ceci : Quand l’araignée tisse sa toile sur un mur, un plafond ou une autre surface semblable, elle la fixe grâce à des disques de fils de soie très collants, assez solides pour résister à l’impact d’un insecte en vol. Par contre, les disques accrochés au sol ont une fixation faible, comme l’ont découvert des chercheurs de l’université d’Akron, dans l’Ohio (États-Unis). En fait, leur structure est tout à fait différente : ils ont beaucoup moins de points d’attache que les disques fixés au mur ou au plafond. Ainsi, quand un insecte rampant est pris dans la toile, celle-ci se détache facilement du sol et emprisonne la proie.
Selon un communiqué de l’université d’Akron, les chercheurs qui ont découvert cette merveille de la nature « travaillent déjà à la conception d’une colle synthétique qui imite les propriétés multifonctions de la colle de l’araignée ». Les scientifiques espèrent créer une colle qui pourra être utilisée tant pour refermer des plaies que pour soigner des fractures.
Fixation de soie forte gauche - Fixation de soie faible droite
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
HASARD OU CONCEPTION ?
Le plumage du manchot empereur
LE MANCHOT EMPEREUR peut fendre l’eau et se propulser sur la banquise à une vitesse fulgurante. Quel est son secret ?
Considérez ceci : Le manchot piège de l’air dans ses plumes. Non seulement cette pellicule d’air le protège contre le froid, mais aussi elle lui permet de doubler ou de tripler sa vitesse. Comment parvient-il à réaliser cet exploit ? Des chercheurs en biologie marine ont émis l’hypothèse qu’en relâchant l’air retenu dans ses plumes sous la forme de microbulles, l’oiseau réduit le frottement de l’eau sur son plumage, ce qui lui permet d’accélérer.
Des ingénieurs s’intéressent justement à des façons d’augmenter la vitesse d’un bateau en utilisant des bulles pour réduire le frottement de l’eau contre la coque. Mais les chercheurs reconnaissent que « le plumage du manchot est tellement complexe qu’il est difficile pour l’homme de reproduire une membrane poreuse, ou maillage, semblable ».
Qu’en pensez-vous ? Le plumage du manchot empereur est-il le produit du hasard ? Ou d’une conception ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
Des scientifiques ont récemment découvert que les manchots empereur de l’Antarctique emploient une technique particulièrement inhabituelle pour survivre au froid de tous les jours. Comme détaillé dans un article publié cette semaine (lien plus bas), les oiseaux minimisent la perte de chaleur en gardant la surface extérieure de leur plumage en dessous de la température de l’air ambiant.
Dans le même temps, l’épais plumage des manchots isole leur corps et le maintient au chaud. Une équipe de scientifiques en Écosse (Université de Glasgow) et en France (Université́ de Strasbourg – Ecole vétérinaire de Maison-Alfort) sont récemment arrivées à cette conclusion en analysant les images thermiques (ci-dessous et en entête) de manchots prises lors de la réunion, à des fins de reproduction, d’une colonie de manchots en Terre Adélie, une zone de l’Antarctique revendiquée par la France. Les chercheurs ont analysé des images thermographiques obtenues au cours du mois de juin 2008. Pendant cette période, la température moyenne de l’air était de – 18 °C. Dans le même temps, la majorité du plumage qui couvre le corps des pingouins était encore plus froid : la surface de leur partie la plus chaude du corps, les pieds, était en moyenne de – 16,8 °C, mais le plumage sur la tête et le dos et à l’avant de leur corps étaient de -18, –22 et –23 degrés C respectivement. Dans l’ensemble, presque toute la surface extérieure du corps des manchots est en dessous de zéro en tout temps, sauf pour les yeux et le bec.
Les scientifiques ont également utilisé une simulation informatique pour déterminer la quantité de chaleur perdue ou gagnée par chaque partie du corps, pour découvrir que, en gardant leur surface extérieure inférieure à la température de l’air, les oiseaux étaient paradoxalement en mesure de récupérer des quantités très faibles de chaleur de l’air autour d’eux. La clé de leur astuce est la différence entre deux types de transfert de chaleur : le rayonnement et la convection.
Les manchots perdent de la chaleur interne au corps dans l’air environnant par rayonnement thermique, tout comme notre corps le fait par une froide journée. Parce que leurs corps (mais pas le plumage de surface) sont plus chauds que l’air ambiant, la chaleur irradie progressivement vers l’extérieur au fil du temps, passant d’un matériau chaud à un endroit plus froid. Pour maintenir la température du corps tout en perdant de la chaleur, les manchots, comme tous les animaux à sang chaud, comptent sur le métabolisme des aliments.
Cependant, ils ont une stratégie supplémentaire. Alors que leur plumage extérieur est plus froid que l’air, la simulation a montré qu’ils pouvaient regagner un peu de cette chaleur par convection thermique, le transfert de chaleur par le mouvement d’un fluide (dans ce cas, l’air). Alors que l’air froid de l’Antarctique entoure leurs corps, l’air légèrement plus chaud entre en contact avec le plumage et fait un don d’infimes quantités de chaleur renvoyées vers les manchots.
Dans le même temps, l’épais plumage des manchots isole leur corps et le maintient au chaud. Une équipe de scientifiques en Écosse (Université de Glasgow) et en France (Université́ de Strasbourg – Ecole vétérinaire de Maison-Alfort) sont récemment arrivées à cette conclusion en analysant les images thermiques (ci-dessous et en entête) de manchots prises lors de la réunion, à des fins de reproduction, d’une colonie de manchots en Terre Adélie, une zone de l’Antarctique revendiquée par la France. Les chercheurs ont analysé des images thermographiques obtenues au cours du mois de juin 2008. Pendant cette période, la température moyenne de l’air était de – 18 °C. Dans le même temps, la majorité du plumage qui couvre le corps des pingouins était encore plus froid : la surface de leur partie la plus chaude du corps, les pieds, était en moyenne de – 16,8 °C, mais le plumage sur la tête et le dos et à l’avant de leur corps étaient de -18, –22 et –23 degrés C respectivement. Dans l’ensemble, presque toute la surface extérieure du corps des manchots est en dessous de zéro en tout temps, sauf pour les yeux et le bec.
Les scientifiques ont également utilisé une simulation informatique pour déterminer la quantité de chaleur perdue ou gagnée par chaque partie du corps, pour découvrir que, en gardant leur surface extérieure inférieure à la température de l’air, les oiseaux étaient paradoxalement en mesure de récupérer des quantités très faibles de chaleur de l’air autour d’eux. La clé de leur astuce est la différence entre deux types de transfert de chaleur : le rayonnement et la convection.
Les manchots perdent de la chaleur interne au corps dans l’air environnant par rayonnement thermique, tout comme notre corps le fait par une froide journée. Parce que leurs corps (mais pas le plumage de surface) sont plus chauds que l’air ambiant, la chaleur irradie progressivement vers l’extérieur au fil du temps, passant d’un matériau chaud à un endroit plus froid. Pour maintenir la température du corps tout en perdant de la chaleur, les manchots, comme tous les animaux à sang chaud, comptent sur le métabolisme des aliments.
Cependant, ils ont une stratégie supplémentaire. Alors que leur plumage extérieur est plus froid que l’air, la simulation a montré qu’ils pouvaient regagner un peu de cette chaleur par convection thermique, le transfert de chaleur par le mouvement d’un fluide (dans ce cas, l’air). Alors que l’air froid de l’Antarctique entoure leurs corps, l’air légèrement plus chaud entre en contact avec le plumage et fait un don d’infimes quantités de chaleur renvoyées vers les manchots.
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Re: Hasard ou conception ?
Merci beaucoup Davoa pour ses précisions pour ma part j'adore pouvoir me plongé dans des récit pour en apprendre plus sur la création de Jéhovah !
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
Yasashi a écrit:Merci beaucoup Davoa pour ses précisions pour ma part j'adore pouvoir me plongé dans des récit pour en apprendre plus sur la création de Jéhovah !
Normal mon petit Yasashi tu a un grand cœur qui est remplis d'amour vis-a-vis du Grand Jéhovah et tu a de la reconnaissance pour sa création
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Re: Hasard ou conception ?
davoa a écrit:Yasashi a écrit:Merci beaucoup Davoa pour ses précisions pour ma part j'adore pouvoir me plongé dans des récit pour en apprendre plus sur la création de Jéhovah !
Normal mon petit Yasashi tu a un grand cœur qui est remplis d'amour vis-a-vis du Grand Jéhovah et tu a de la reconnaissance pour sa création
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Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
Les plumes de la chouette
▪La chouette, tout comme le hibou, fait bien des envieux dans le milieu de l’aéronautique. Pourquoi ? Parce que son vol est silencieux. “ Aucun autre oiseau ne vole aussi discrètement ”, affirme le site Internet de National Geographic. Quel est le secret du rapace ?
Considérez ceci : La circulation de l’air sur les plumes de la majorité des oiseaux en vol crée des turbulences parfois bruyantes. Avec la chouette, c’est différent. Sur leur bord postérieur, les plumes de ses ailes sont dotées de franges qui dispersent les ondes sonores générées par l’écoulement de l’air au-dessus des ailes, lors du mouvement descendant. Duveteux, le plumage du corps de l’animal absorbe le reste du son.
Les constructeurs aéronautiques aimeraient exploiter le secret du vol quasi silencieux de la chouette. Avec des avions moins bruyants, les aéroports où les limites d’émissions acoustiques sont draconiennes pourraient autoriser des décollages ou des atterrissages à des heures plus tardives ou plus matinales. Des améliorations dans ce domaine sont déjà à l’étude. “ Nous n’en sommes qu’aux balbutiements ”, déclare Geoffrey Lilley, professeur honoraire d’aéronautique à l’université de Southampton (Angleterre), ajoutant qu’il faudra probablement des dizaines d’années avant qu’un tel avion soit conçu.
Qu’en pensez-vous ? Les plumes frangées réductrices de bruit de la chouette sont-elles le fruit du hasard ou d’une conception ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
La beauté de la création de Jéhovah ¤_¤ :Exclamation:
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
Yasashi a écrit:La beauté de la création de Jéhovah ¤_¤ :Exclamation:
Oui elle s'exclame mais aussi elle rend témoignage envers leur Créateur
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Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
Le système de pulvérisation d’un coléoptère
▪ Même si sa longueur excède rarement les deux centimètres, son mécanisme de défense, unique en son genre, l’a rendu célèbre. Quand il se sent menacé, il pulvérise, depuis l’extrémité de son abdomen, un mélange liquide nauséabond et brûlant, qui repousse araignées, oiseaux et même grenouilles.
Considérez ceci : Ce scarabée, le bombardier, est équipé “ d’une paire de glandes qui s’ouvrent à la pointe de l’abdomen ”. Chaque glande est munie d’un réservoir contenant un composé acide et du peroxyde d’hydrogène, ainsi que d’une chambre de réaction contenant des enzymes dissoutes dans de l’eau. Pour se protéger, l’insecte peut faire passer la solution des réservoirs vers ces chambres et déclencher une réaction chimique. Le résultat ? Un mélange toxique de produits chimiques, d’eau et de gaz est pulvérisé à environ 100 °C sur l’agresseur. Les chambres de réaction ne mesurent pas plus d’un millimètre et demi de long, mais cela n’empêche pas le bombardier de pouvoir changer la vitesse, la direction et la consistance de son spray toxique.
Les chercheurs étudient le bombardier pour concevoir des pulvérisateurs plus efficaces et plus respectueux de l’environnement. Ils ont ainsi découvert que ce scarabée utilise des soupapes d’admission antiretour pour permettre l’entrée des agents chimiques dans les chambres de réaction, mais aussi une soupape d’échappement qui permet leur expulsion. Les ingénieurs espèrent mettre au point une technique de pulvérisation s’inspirant du bombardier pour les moteurs des voitures, les extincteurs ou les dispositifs d’administration de produits médicamenteux tels que les inhalateurs. Le professeur Andy McIntosh de l’université de Leeds, en Grande-Bretagne, a déclaré : “ Jusque-là, personne n’avait étudié le scarabée du point de vue de la physique et de l’ingénierie comme nous l’avons fait, et nous n’imaginions pas tout ce qu’il allait nous apprendre. ”
Qu’en pensez-vous ? Le système à soupapes du bombardier alliant combustion et explosion s’est-il formé par hasard ? Ou est-il le résultat d’une conception ?
Considérez ceci : Ce scarabée, le bombardier, est équipé “ d’une paire de glandes qui s’ouvrent à la pointe de l’abdomen ”. Chaque glande est munie d’un réservoir contenant un composé acide et du peroxyde d’hydrogène, ainsi que d’une chambre de réaction contenant des enzymes dissoutes dans de l’eau. Pour se protéger, l’insecte peut faire passer la solution des réservoirs vers ces chambres et déclencher une réaction chimique. Le résultat ? Un mélange toxique de produits chimiques, d’eau et de gaz est pulvérisé à environ 100 °C sur l’agresseur. Les chambres de réaction ne mesurent pas plus d’un millimètre et demi de long, mais cela n’empêche pas le bombardier de pouvoir changer la vitesse, la direction et la consistance de son spray toxique.
Les chercheurs étudient le bombardier pour concevoir des pulvérisateurs plus efficaces et plus respectueux de l’environnement. Ils ont ainsi découvert que ce scarabée utilise des soupapes d’admission antiretour pour permettre l’entrée des agents chimiques dans les chambres de réaction, mais aussi une soupape d’échappement qui permet leur expulsion. Les ingénieurs espèrent mettre au point une technique de pulvérisation s’inspirant du bombardier pour les moteurs des voitures, les extincteurs ou les dispositifs d’administration de produits médicamenteux tels que les inhalateurs. Le professeur Andy McIntosh de l’université de Leeds, en Grande-Bretagne, a déclaré : “ Jusque-là, personne n’avait étudié le scarabée du point de vue de la physique et de l’ingénierie comme nous l’avons fait, et nous n’imaginions pas tout ce qu’il allait nous apprendre. ”
Qu’en pensez-vous ? Le système à soupapes du bombardier alliant combustion et explosion s’est-il formé par hasard ? Ou est-il le résultat d’une conception ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Re: Hasard ou conception ?
qu'est-ce qu'un coléoptère?
Les coléoptères sont un ordre d’insectes et comptent plus de 300.000 espèces dans le monde ! Parmi eux on peut citer les scarabées, les dytiques, les coccinelles …. Présents dans tous les milieux (arides, aquatiques, forêts tropicales), certains sont phytophages : ils se nourrissent de végétaux (fleurs, fruits, racines, feuilles, bourgeons, graines, bois...), d’autres sont carnivores et se nourrissent d’insectes ou de cadavres d’animaux, d’autres sont xylophages et consomment du bois.
Les coléoptères (du grec koleos: étui, pteron : aile) se distinguent des autres insectes par la présence d’élytres, ailes antérieures épaisses et cornées recouvrant en grande partie l’abdomen. Les ailes postérieures qui servent au vol sont quant à elles membraneuses et repliées sous les élytres, bien cachées et bien protégées. Ses élytres protègent l’insecte contre la déshydratation, les blessures et dans de très rares cas (pour certains coléoptères aquatiques) elles permettent même de retenir l’air et de permettre à l’insecte de respirer sous l’eau grâce à sa « bulle » d’air personnelle.
Le développement des coléoptère
Le développement des coléoptères se découpe en quatre stades: l'œuf, la larve, la nymphe et l'adulte (ou imago). Du stade d’œuf à l’adulte parfait (l’imago) le coléoptère va ainsi subir toute une série de transformations.
Ils sont généralement pondus dans le milieu où la larve trouve sa nourriture : par exemple dans le bois pour les larves saproxyliques qui se nourrissent de bois mort, ou bien sur un rosier pour les coccinelles dont les larves se régaleront des pucerons, ou sous les feuilles mortes pour les larves de Carabe qui mangent des vers dans la litière forestière, ou même sur une feuille de plante nourricière pour les larves de Chrysomèle qui grignotent les végétaux.
Les larves
Les larves de coléoptère sont constituées de 13 segments : un au niveau de la tête, trois au niveau du thorax (qui porte trois paires de pattes) et neuf au niveau de l’abdomen. Leur tête, extrêmement développée, présente des mandibules broyeuses similaires à celles des adultes. Pour la grande partie des espèces, le développement de la larve s’étale sur quelques mois. Pour d’autres il va être beaucoup plus long : 4 ans chez le rhinocéros (Orycites nasicornis), ou même 6 ans chez le lucane cerf volant (Lucanus cervus) ! Cela rend donc ces espèces très fragiles à toute perturbation de leur milieu.
Les nymphes
Pendant quelques jours, les larves se transforment ensuite en nymphe, équivalent de la chrysalide chez le papillon. Celle-ci va subir d’importantes modifications tout au long desquelles elle reste immobile sans se nourrir. La nymphe va au fur et à mesure se pigmenter, et laisser transparaitre la forme de l’insecte.
L’imago : l’insecte adulte
Les adultes émergent au début de l’été et ne vivent en général que quelques semaines au cours desquelles ils n’ont qu’un seul objectif : se reproduire. Dans la plupart des cas même, l’adulte meurt dès qu’il s’est reproduit. Certains adultes ne se nourrissent pas et survivent grâce aux réserves accumulées dans leur corps par la larve. D’autres adultes consomment des substances à fort pouvoir énergétique (nectar des fleurs, fruits pourris, sève suintant des blessures d’arbres) pour subvenir à leurs besoins durant la course à la reproduction.
Les coléoptères rendent de nombreux services !
Les coléoptères représentent une part importante de la biodiversité forestière puisque 95% de la biomasse des invertébrés mangeurs de bois sont des coléoptères. De plus, le quart des coléoptères utilisent le bois mort pour se loger et se nourrir. Ils participent ainsi activement à la décomposition du bois mort, mais aussi à la pollinisation des fleurs. Ce sont également des proies idéales pour de nombreux animaux tels les pics. Ils font donc partie intégrante de la chaîne alimentaire.
Des espèces qui se raréfient !
Du fait du manque de vieux arbres et de bois mort en forêt et de la disparition des milieux semi ouverts (vergers, bosquets, haies,…), de nombreux coléoptères disparaissent. On estime ainsi que la plupart des coléoptères sont en forte régression et menacent de disparaître, d’où l’extrême importance de les protéger.
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Re: Hasard ou conception ?
Hasard ou conception ?
Le bec du toucan
▪ Vu sa maladresse en vol, le toucan d’Amérique centrale et du Sud se déplace principalement en sautillant. Le cri de certaines espèces s’apparente, pour la sonorité, à celui de la grenouille, mais en plus puissant. En fait, il peut porter, à travers la jungle, à près d’un kilomètre ! Mais ce qui fascine peut-être le plus les scientifiques, c’est le bec du toucan.
Considérez ceci : Le bec du toucan peut représenter plus du tiers de la taille de l’oiseau. On pourrait croire qu’il est lourd, mais ce n’est pas le cas. “ Sa surface est faite de kératine, la même substance que l’on trouve dans les ongles et les cheveux ”, explique le professeur de science des matériaux Marc André Meyers. “ Elle est en fait composée de nombreuses couches de minuscules plaques hexagonales, se chevauchant comme des bardeaux sur un toit. ”
On a comparé la consistance du bec du toucan à celle d’une éponge sèche. Certaines parties sont creuses, tandis que d’autres sont faites d’entretoises osseuses et de membranes. Le résultat est un bec léger d’une solidité impressionnante. “ On croirait presque que le toucan a une connaissance approfondie du génie mécanique ”, déclare Marc André Meyers.
La façon dont son bec est fait permet au toucan d’absorber des chocs violents. Des scientifiques pensent qu’un tel bec peut servir de modèle aux ingénieurs travaillant dans l’industrie automobile ou aéronautique. “ Des tableaux de bord qui reproduiraient la structure du bec du toucan pourraient offrir une meilleure protection aux automobilistes en cas d’accident ”, estime M. Meyers.
Qu’en pensez-vous ? Le bec du toucan, si solide et néanmoins si léger, est-il apparu par hasard ? Ou bien a-t-il été conçu ?
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Le goût
Hasard ou conception ?
Le goût
▪ Sitôt croqué, sitôt goûté ! Dès la première bouchée, votre sens du goût entre en action. Mais comment fonctionne ce mécanisme remarquable ?
Considérez ceci : Sur notre langue, comme ailleurs dans notre bouche et notre gorge, des cellules de la peau sont regroupées en bourgeons gustatifs. Nombre d’entre eux se trouvent dans les papilles, situées à la surface de la langue. Un bourgeon gustatif peut contenir une centaine de cellules réceptrices du goût, chacune détectant une des quatre saveurs fondamentales que sont l’acide, l’amer, le salé et le sucré*. Ce qui est épicé relève d’une tout autre catégorie. Les épices stimulent en effet les récepteurs de la douleur, et non ceux du goût ! Quoi qu’il en soit, les récepteurs gustatifs sont reliés à des nerfs sensoriels qui, excités par les éléments chimiques de la nourriture, transmettent instantanément des signaux à la région inférieure du tronc cérébral.
Mais notre bouche ne fait pas tout. Les quelque cinq millions de récepteurs olfactifs de notre nez, qui nous permettent de détecter plus de 10 000 odeurs différentes, jouent un rôle essentiel dans le processus du goût. On a ainsi estimé que 75 % de ce que nous appelons le goût nous vient en fait des informations fournies par notre nez.
Des scientifiques ont mis au point un “ nez ” artificiel, un dispositif électrochimique utilisant des capteurs de gaz. Toutefois, le neurophysiologiste John Kauer a écrit dans Research/Penn State : “ Tout mécanisme artificiel restera extrêmement simple comparé au modèle naturel, qui est merveilleusement élégant et complexe. ”
Indéniablement, le goût contribue au plaisir d’un repas. Quant à savoir pourquoi nous préférons une saveur à une autre, les chercheurs s’interrogent toujours. La revue Science Daily déclare : “ Si la science a mis à nu le fonctionnement du corps humain dans de nombreux domaines fondamentaux, le goût et l’odorat gardent encore une part de mystère. ”
Qu’en pensez-vous ? Le goût est-il apparu par hasard ? Ou témoigne-t-il d’une conception ?
[Note]
Depuis quelques années, certains scientifiques ajoutent la saveur umami à cette liste. Ce terme désigne la saveur des sels atypiques de l’acide glutamique. L’un de ces sels est un exhausteur de goût, le glutamate.
Yasashi- proclamateur agré/ée
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