Dimanche 1 décembre
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Dimanche 1 décembre
Texte pour le Dimanche 1er décembre
Pour ce qui est de traiter les femmes — et notamment son épouse — avec dignité, Job était exemplaire. Il mettait un point d’honneur à ne porter aucun regard empreint de désir sur une autre femme que la sienne (Job 31:1). Si nous nous montrons sérieux dans nos relations avec nos frères et sœurs, nous bannirons le flirt ou tout comportement qui mettrait l’un d’eux mal à l’aise. Respecter la dignité de l’autre est particulièrement important pour deux chrétiens qui se fréquentent en vue du mariage. Quelqu’un de sérieux ne s’autorise pas à jouer avec les sentiments d’autrui (Prov. 12:22). Par ailleurs, il nous faut toujours prendre au sérieux le rôle que Dieu nous a attribué au sein de la famille. L’industrie du spectacle se plaît à faire du chef de famille un personnage qu’on ridiculise et méprise. À l’inverse, les Écritures attribuent au mari de grandes responsabilités en le désignant comme “ chef de la femme ”. — 1 Cor. 11:3 ; Éph. 5:23. w11 15/4 1:15, 16.
Il se peut qu’un homme subvienne convenablement aux besoins matériels de sa famille. Mais s’il n’assume pas la direction spirituelle de son foyer, il n’agit pas avec sagesse (Deut. 6:6, 7). C’est pourquoi on lit en 1 Timothée 3:4 que le chef de famille qui aspire à des responsabilités supplémentaires dans la congrégation doit être un homme “ qui préside de belle façon sa propre maisonnée, qui tienne ses enfants dans la soumission en toute dignité ”. Posez-vous donc la question : ‘ Ai-je organisé mon emploi du temps de manière à ce que le culte familial ait lieu régulièrement ? ’ Il arrive que des chrétiennes soient presque obligées de supplier leur conjoint d’assurer la direction spirituelle de leur foyer. Chaque mari chrétien devrait se demander sérieusement comment il considère cette responsabilité. Bien entendu, pour que le culte familial atteigne son but, il est essentiel que la femme soutienne cette disposition et coopère avec son mari.
Supplie [...] les femmes d’âge mûr comme des mères, les plus jeunes comme des sœurs. — 1 Tim. 5:1, 2.
Pour ce qui est de traiter les femmes — et notamment son épouse — avec dignité, Job était exemplaire. Il mettait un point d’honneur à ne porter aucun regard empreint de désir sur une autre femme que la sienne (Job 31:1). Si nous nous montrons sérieux dans nos relations avec nos frères et sœurs, nous bannirons le flirt ou tout comportement qui mettrait l’un d’eux mal à l’aise. Respecter la dignité de l’autre est particulièrement important pour deux chrétiens qui se fréquentent en vue du mariage. Quelqu’un de sérieux ne s’autorise pas à jouer avec les sentiments d’autrui (Prov. 12:22). Par ailleurs, il nous faut toujours prendre au sérieux le rôle que Dieu nous a attribué au sein de la famille. L’industrie du spectacle se plaît à faire du chef de famille un personnage qu’on ridiculise et méprise. À l’inverse, les Écritures attribuent au mari de grandes responsabilités en le désignant comme “ chef de la femme ”. — 1 Cor. 11:3 ; Éph. 5:23. w11 15/4 1:15, 16.
Il se peut qu’un homme subvienne convenablement aux besoins matériels de sa famille. Mais s’il n’assume pas la direction spirituelle de son foyer, il n’agit pas avec sagesse (Deut. 6:6, 7). C’est pourquoi on lit en 1 Timothée 3:4 que le chef de famille qui aspire à des responsabilités supplémentaires dans la congrégation doit être un homme “ qui préside de belle façon sa propre maisonnée, qui tienne ses enfants dans la soumission en toute dignité ”. Posez-vous donc la question : ‘ Ai-je organisé mon emploi du temps de manière à ce que le culte familial ait lieu régulièrement ? ’ Il arrive que des chrétiennes soient presque obligées de supplier leur conjoint d’assurer la direction spirituelle de leur foyer. Chaque mari chrétien devrait se demander sérieusement comment il considère cette responsabilité. Bien entendu, pour que le culte familial atteigne son but, il est essentiel que la femme soutienne cette disposition et coopère avec son mari.
Yasashi- proclamateur agré/ée
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Date d'inscription : 31/10/2013
Re: Dimanche 1 décembre
Job fut un autre homme intègre. Pendant les épreuves que le Diable lui fit subir, il se livra à un examen de conscience et se déclara prêt à recevoir un châtiment sévère s’il avait transgressé les principes de Jéhovah, notamment en matière de morale sexuelle. “ J’ai conclu une alliance avec mes yeux, dit-il. Comment donc pourrais-je faire attention à une vierge ? ” (Job 31:1). Déterminé à rester fidèle à Dieu, il avait résolu de ne pas porter de regards sensuels sur une femme. Bien sûr, il voyait des femmes dans le cadre de ses activités quotidiennes et n’hésitait pas à leur rendre service, mais quant à s’intéresser à elles avec des arrière-pensées sentimentales, il n’en était pas question. Avant ses malheurs, il avait été un homme très fortuné, “ le plus grand de tous les Orientaux ”. (Job 1:3.) Toutefois, il ne s’était pas servi du pouvoir de la richesse pour séduire des femmes. En résumé, jamais Job n’a envisagé d’avoir des relations sexuelles illicites avec de jeunes femmes.
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