Lundi 2 décembre
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Lundi 2 décembre
Lundi 2 décembre 2013
La Bible contient également des principes qui peuvent aider les femmes. On lit en Éphésiens 5:22-24, 33 : “ Que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur, parce que le mari est chef de sa femme comme le Christ aussi est chef de la congrégation, étant, lui, un sauveur de ce corps. Oui, comme la congrégation est soumise au Christ, de même que les femmes aussi le soient en tout à leurs maris. [...] la femme doit avoir un profond respect pour son mari. ”
Remarquez à quel point Paul a mis l’accent sur la soumission et le respect. Il est rappelé à la femme qu’elle doit se soumettre à son mari. Cela s’harmonise avec le principe d’autorité établi par Dieu. Chaque créature, au ciel ou sur la terre, est soumise à quelqu’un. Jésus lui-même se trouve dans ce cas : il est soumis à Jéhovah Dieu (1 Corinthiens 11:3). Cela étant, lorsqu’un mari exerce son autorité de la bonne manière, il est plus facile à sa femme de lui être soumise.
Une femme exemplaire contribue au bonheur de sa maisonnée (Prov. 14:1). Contrairement à une femme sotte, elle manifeste un grand respect pour le principe de l’autorité. Rejetant l’esprit de désobéissance et d’indépendance propre au monde, elle se soumet à son mari (Éph. 2:2). Au lieu de le dénigrer, elle suscite chez ses enfants et les autres le respect pour lui. Elle veille à ne pas le harceler de reproches ni à s’emporter contre lui, ce qui reviendrait à saper son autorité. Tandis qu’une femme sotte gaspille l’argent du foyer durement gagné, une femme exemplaire coopère avec son mari dans les questions d’argent : elle dépense avec prudence, se montre économe et ne pousse pas son mari à faire des heures supplémentaires. w11 15/5 1:10, 11.Que les femmes soient soumises à leurs maris. — Éph. 5:22.
La Bible contient également des principes qui peuvent aider les femmes. On lit en Éphésiens 5:22-24, 33 : “ Que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur, parce que le mari est chef de sa femme comme le Christ aussi est chef de la congrégation, étant, lui, un sauveur de ce corps. Oui, comme la congrégation est soumise au Christ, de même que les femmes aussi le soient en tout à leurs maris. [...] la femme doit avoir un profond respect pour son mari. ”
Remarquez à quel point Paul a mis l’accent sur la soumission et le respect. Il est rappelé à la femme qu’elle doit se soumettre à son mari. Cela s’harmonise avec le principe d’autorité établi par Dieu. Chaque créature, au ciel ou sur la terre, est soumise à quelqu’un. Jésus lui-même se trouve dans ce cas : il est soumis à Jéhovah Dieu (1 Corinthiens 11:3). Cela étant, lorsqu’un mari exerce son autorité de la bonne manière, il est plus facile à sa femme de lui être soumise.
Invité- Invité
Re: Lundi 2 décembre
Les Écritures décrivent la femme comme “ un vase plus faible, le vase féminin ”. Son mari doit la traiter en conséquence 1Pierre 3:7. Elle jouit de nombreux privilèges ; par exemple, elle prend part à l’enseignement des enfants et s’occupe généralement des affaires internes de la maisonnée, avec l’approbation et la direction de son mari(1Timothée 5:14 ; 1Pierre 3:1, 2 ; Proverbe 1:8 ; 6:20 ;. La femme a le devoir de se soumettre à son mari, qu’il soit chrétien ou non Éphésiens 5:22-24. Par ailleurs, la femme ne doit pas priver son mari du droit conjugal, car, tout comme lui, elle “ n’a pas pouvoir sur son propre corps ”. 1Corinthiens 7:3-5..
soleil- Surveillant TJ
- Messages : 43
Date d'inscription : 17/11/2013
Re: Lundi 2 décembre
Pour que sa famille ‘ demeure éveillée ’, une femme exemplaire aide son mari à inculquer la vérité à leurs enfants (Prov. 1:. Elle s’implique dans le culte familial, et est solidaire de son mari quand il reprend ou discipline les enfants. À l’inverse, lorsqu’une femme n’épaule pas son mari, les enfants en pâtissent physiquement et spirituellement.Au lieu de le dénigrer, elle suscite chez ses enfants et les autres le respect pour lui. Elle veille à ne pas le harceler de reproches ni à s’emporter contre lui, ce qui reviendrait à saper son autorité. Tandis qu’une femme sotte gaspille l’argent du foyer durement gagné, une femme exemplaire coopère avec son mari dans les questions d’argent : elle dépense avec prudence, se montre économe et ne pousse pas son mari à faire des heures supplémentaires. w11 15/5 1:10, 11.
Re: Lundi 2 décembre
Le point de vue de Dieu est complètement différent du point de vue de l'homme, hommes et femmes sont fait à l'image de Dieu
*** w12 1/9 p. 7 Comment Dieu considère-t-il les femmes ? ***
▪ Dieu a-t-il créé la femme inférieure à l’homme ?
Non. Genèse 1:27 déclare : “ Dieu se mit à créer l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa. ” Dès le départ, les humains — tant l’homme que la femme — ont été créés avec la capacité de refléter les qualités de Dieu. Adam et Ève avaient chacun leurs caractéristiques affectives et physiques, mais ils ont tous les deux reçu les mêmes instructions et ils bénéficiaient des mêmes droits aux yeux de leur Auteur. — Genèse 1:28-31.
Avant la création d’Ève, Dieu a déclaré : “ Je vais lui faire [à Adam] une aide qui lui corresponde. ” (Genèse 2:18). L’expression “ une aide qui lui corresponde ” signifie-t-elle que la femme est inférieure à l’homme ? Non, d’ailleurs, cette expression hébraïque peut aussi être rendue par “ son vis-à-vis ” ou “ sa pareille ”. Prenons l’exemple d’un chirurgien et d’un anesthésiste. L’un peut-il travailler sans l’autre ? Ce serait compliqué ! Leurs rôles sont complémentaires. C’est le chirurgien qui fait l’opération, mais est-il plus important que l’anesthésiste ? De la même façon, Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils collaborent étroitement, pas pour qu’ils soient en compétition. — Genèse 2:24.
La discrimination contre les femmes dans les écrits anciens
À partir du Ier siècle de notre ère, des penseurs se sont mis à réinterpréter le récit de la Genèse à la lumière de la philosophie grecque. Pour Philon d’Alexandrie, Ève était coupable d’un péché sexuel et condamnée à “ la perte de la liberté et [à] la tyrannie d’une vie commune avec l’homme, dont il lui faut accepter les ordres ”. Un tel mépris des femmes s’est infiltré dans le judaïsme ainsi que dans les écrits des Pères de l’Église.
Dans la Midrash Rabba, texte juif du IIe siècle, un rabbin explique pourquoi selon lui les femmes doivent porter un voile : “ Elle est comme celle qui a fait le mal et qui a honte d’être vue. ” Le théologien Tertullien, dont les écrits ont eu du poids dès le IIe siècle de notre ère, enseignait que la femme devait aller comme “ une Ève pénitente, noyée dans les larmes ”. Souvent considérés à tort comme bibliques, de tels enseignements ont contribué largement à la discrimination contre les femmes.
*** w12 1/9 p. 7 Comment Dieu considère-t-il les femmes ? ***
▪ Dieu a-t-il créé la femme inférieure à l’homme ?
Non. Genèse 1:27 déclare : “ Dieu se mit à créer l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa. ” Dès le départ, les humains — tant l’homme que la femme — ont été créés avec la capacité de refléter les qualités de Dieu. Adam et Ève avaient chacun leurs caractéristiques affectives et physiques, mais ils ont tous les deux reçu les mêmes instructions et ils bénéficiaient des mêmes droits aux yeux de leur Auteur. — Genèse 1:28-31.
Avant la création d’Ève, Dieu a déclaré : “ Je vais lui faire [à Adam] une aide qui lui corresponde. ” (Genèse 2:18). L’expression “ une aide qui lui corresponde ” signifie-t-elle que la femme est inférieure à l’homme ? Non, d’ailleurs, cette expression hébraïque peut aussi être rendue par “ son vis-à-vis ” ou “ sa pareille ”. Prenons l’exemple d’un chirurgien et d’un anesthésiste. L’un peut-il travailler sans l’autre ? Ce serait compliqué ! Leurs rôles sont complémentaires. C’est le chirurgien qui fait l’opération, mais est-il plus important que l’anesthésiste ? De la même façon, Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils collaborent étroitement, pas pour qu’ils soient en compétition. — Genèse 2:24.
La discrimination contre les femmes dans les écrits anciens
À partir du Ier siècle de notre ère, des penseurs se sont mis à réinterpréter le récit de la Genèse à la lumière de la philosophie grecque. Pour Philon d’Alexandrie, Ève était coupable d’un péché sexuel et condamnée à “ la perte de la liberté et [à] la tyrannie d’une vie commune avec l’homme, dont il lui faut accepter les ordres ”. Un tel mépris des femmes s’est infiltré dans le judaïsme ainsi que dans les écrits des Pères de l’Église.
Dans la Midrash Rabba, texte juif du IIe siècle, un rabbin explique pourquoi selon lui les femmes doivent porter un voile : “ Elle est comme celle qui a fait le mal et qui a honte d’être vue. ” Le théologien Tertullien, dont les écrits ont eu du poids dès le IIe siècle de notre ère, enseignait que la femme devait aller comme “ une Ève pénitente, noyée dans les larmes ”. Souvent considérés à tort comme bibliques, de tels enseignements ont contribué largement à la discrimination contre les femmes.
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