Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ?

[Invité]

*** Texte pour le samedi 6 août 2011 ***
Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les gens des nations aussi n’en font-ils pas autant ? — Mat. 5:47.
De nos jours, dans bien des endroits, la vie est si trépidante qu’il est fréquent que deux personnes se croisent sans se dire “ bonjour ” ni se demander “ comment ça va ? ” Bien entendu, sur un trottoir grouillant de monde, on n’attend pas de quelqu’un qu’il salue tous ceux qu’il croise. En revanche, dans beaucoup d’autres circonstances, il convient, et il est même souhaitable, de saluer les autres. Avez-vous l’habitude de saluer ceux que vous rencontrez ? Ou bien passez-vous le plus souvent votre chemin sans un sourire ni un mot agréable ? Involontairement, on risque de développer une habitude qui relève en réalité de l’impolitesse. À ce propos, le conseiller en communication Donald Weiss a écrit : “ Les gens n’aiment pas qu’on passe à côté d’eux sans les regarder. [...] Le remède est simple : Saluez les gens. Parlez avec eux. ” Si nous ne permettons pas à une attitude distante ou à la froideur d’altérer nos relations avec les autres, nous obtiendrons de bons résultats. w09 15/11

[JORDAN]

En revanche, dans beaucoup d’autres circonstances, il convient, et il est même souhaitable, de saluer les autres.

Oui nous svons que les personnes aiment bien qu'on leur prêtent une attention particulière, comme nous équalement.
Jacque 3: . 18 De plus, la semence du fruit de justice se sème dans la paix pour ceux qui font la paix.
Nous nous efforçons de nous montrer amicaux et paisibles avec les gens. Nous abordons ceux que nous voyons devant chez eux et ceux qui travaillent dans le quartier. Nous leur sourions et nous les saluons. Nous parlons de ce qui les intéresse — de leurs enfants, de leur chien, de leur maison, de leur emploi. Avec le temps, ils finissent par nous considérer comme leurs amis