La fête de Noel qu'en est 'il?
+2
Francis
JORDAN
6 participants
Page 1 sur 1
La fête de Noel qu'en est 'il?
Qu'en est'il ?
Les premiers chrétiens ne fêtaient pas Noël, ou la Nativité. Une encyclopédie déclare à ce propos : “ Cette fête n’était pas observée au cours des premiers siècles de l’Église chrétienne, car en général on avait coutume de commémorer la mort des personnes illustres plutôt que leur naissance. ” La Bible associe d’ailleurs la célébration des anniversaires de naissance aux païens, et non aux vrais adorateurs de Dieu. — Matthieu 14:6-10.
Cela ne signifie évidemment pas qu’il est inutile d’apprendre et de se souvenir des événements qui ont réellement entouré la naissance du Fils de Dieu. Le récit biblique fournit d’importantes leçons à tous ceux qui désirent faire la volonté de Dieu.
Même s’ils avaient connu la date exacte de sa naissance, les disciples de Jésus ne l’auraient pas célébrée. Pourquoi ? Parce que, comme l’explique une encyclopédie (The World Book Encyclopedia), les premiers chrétiens “ considéraient que la célébration d’un anniversaire de naissance était une coutume païenne ”. Les seuls anniversaires mentionnés dans la Bible sont ceux de deux dirigeants qui n’adoraient pas Jéhovah(Genèse 40:20 ; Marc 6:21). On célébrait aussi l’anniversaire de divinités païennes. Le 24 mai, par exemple, les Romains fêtaient celui de la déesse Diane. Le lendemain, ils observaient celui de leur dieu-soleil, Apollon. Par conséquent, les anniversaires de naissance étaient associés au paganisme, et non au christianisme.
Il y a une autre raison pour laquelle les chrétiens du Ier siècle n’auraient pas célébré l’anniversaire de Jésus. Ils savaient probablement que la célébration des anniversaires de naissance avait un rapport avec la superstition. Bien des Grecs et des Romains croyaient qu’un esprit assistait à la naissance de chaque être humain, puis qu’il le protégeait tout au long de sa vie. “ Cet esprit était en relation mystique avec le dieu dont l’anniversaire correspondait au jour de naissance de l’individu ”, dit le livre Coutumes et usages des anniversaires (angl.) Jéhovah ne prendre plaisir à une célébration qui associerait Jésus à la superstition (Isaïe 65:11, 12)
Les premiers chrétiens ne fêtaient pas Noël, ou la Nativité. Une encyclopédie déclare à ce propos : “ Cette fête n’était pas observée au cours des premiers siècles de l’Église chrétienne, car en général on avait coutume de commémorer la mort des personnes illustres plutôt que leur naissance. ” La Bible associe d’ailleurs la célébration des anniversaires de naissance aux païens, et non aux vrais adorateurs de Dieu. — Matthieu 14:6-10.
Cela ne signifie évidemment pas qu’il est inutile d’apprendre et de se souvenir des événements qui ont réellement entouré la naissance du Fils de Dieu. Le récit biblique fournit d’importantes leçons à tous ceux qui désirent faire la volonté de Dieu.
Même s’ils avaient connu la date exacte de sa naissance, les disciples de Jésus ne l’auraient pas célébrée. Pourquoi ? Parce que, comme l’explique une encyclopédie (The World Book Encyclopedia), les premiers chrétiens “ considéraient que la célébration d’un anniversaire de naissance était une coutume païenne ”. Les seuls anniversaires mentionnés dans la Bible sont ceux de deux dirigeants qui n’adoraient pas Jéhovah(Genèse 40:20 ; Marc 6:21). On célébrait aussi l’anniversaire de divinités païennes. Le 24 mai, par exemple, les Romains fêtaient celui de la déesse Diane. Le lendemain, ils observaient celui de leur dieu-soleil, Apollon. Par conséquent, les anniversaires de naissance étaient associés au paganisme, et non au christianisme.
Il y a une autre raison pour laquelle les chrétiens du Ier siècle n’auraient pas célébré l’anniversaire de Jésus. Ils savaient probablement que la célébration des anniversaires de naissance avait un rapport avec la superstition. Bien des Grecs et des Romains croyaient qu’un esprit assistait à la naissance de chaque être humain, puis qu’il le protégeait tout au long de sa vie. “ Cet esprit était en relation mystique avec le dieu dont l’anniversaire correspondait au jour de naissance de l’individu ”, dit le livre Coutumes et usages des anniversaires (angl.) Jéhovah ne prendre plaisir à une célébration qui associerait Jésus à la superstition (Isaïe 65:11, 12)
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
effectivement mon très cher Ami , noël est une fête païenne qui appartient au passé des anciens Grecs et Romains..
jamais les premiers chrétiens n'auraient celebrer cette fête , et qui plus est Jésus n'est pas né à cette époque de l'année comme nous le savons bien ..
et avec ses airs de douceur pour les enfants et les présents ...cette fête est plutot celle des démons car le mensonge est la spécialité de Satan n'est ce pas..
j'en laisse un peu pour les autres
jamais les premiers chrétiens n'auraient celebrer cette fête , et qui plus est Jésus n'est pas né à cette époque de l'année comme nous le savons bien ..
et avec ses airs de douceur pour les enfants et les présents ...cette fête est plutot celle des démons car le mensonge est la spécialité de Satan n'est ce pas..
j'en laisse un peu pour les autres
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
oui bien-sur ,ici on constate qu'il est" un ange de lumière" 2 corinth 11:14 par la beauté de la fête ces lumières ,des desserts délicieux,cadeaux , rires, chants il n'y a rien de telle pour nous occuper au point dans oubliés le sacrifice de Jésus .mais voyons aussi ces symbole;
le SAPIN :il était présent dans les fêtes germanique c'est le prince Albert ,époux de la reine Victoria qui le fit arbre de Noël ,il devint un élément central de la fête de Noël en europe dans les foyers mais aussi de la plus petite chapelle a la grande cathédrale le sapin est roi.mais on fait mention de lui dèja en 1531 chez les celtes .
HOUX /GUI pour certains symbole du sang du Christ par ses baies rouges ,ses feuilles piquantes represente la couronne du Christ ,Ces plantes sont connues des paiens elles ont le symbole de "vie éternelle" de pouvoirs magiques contre les démons ,sorcières les druides les vénèrent ainsi que le lierre symbole de l'immortalité de l'âme .......où est la pureté du culte pour Dieu et son Christ ?
le SAPIN :il était présent dans les fêtes germanique c'est le prince Albert ,époux de la reine Victoria qui le fit arbre de Noël ,il devint un élément central de la fête de Noël en europe dans les foyers mais aussi de la plus petite chapelle a la grande cathédrale le sapin est roi.mais on fait mention de lui dèja en 1531 chez les celtes .
HOUX /GUI pour certains symbole du sang du Christ par ses baies rouges ,ses feuilles piquantes represente la couronne du Christ ,Ces plantes sont connues des paiens elles ont le symbole de "vie éternelle" de pouvoirs magiques contre les démons ,sorcières les druides les vénèrent ainsi que le lierre symbole de l'immortalité de l'âme .......où est la pureté du culte pour Dieu et son Christ ?
Invité- Invité
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Salut à tous.
D'ailleurs au sein même de l'église catholique on reconnait l'origine païenne de cette fête.
En voici la preuve!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
D'ailleurs au sein même de l'église catholique on reconnait l'origine païenne de cette fête.
En voici la preuve!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Philippe83- Surveillant TJ
- Messages : 115
Date d'inscription : 06/03/2011
Philippe83- Surveillant TJ
- Messages : 115
Date d'inscription : 06/03/2011
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
oui et malgrès cela tout le monde continue de célébré cette fête païenne....
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
http://www.linternaute.com/histoire/magazine/dossier/06/noel/25-decembre.shtml
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[color=brown]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[color=brown]
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
iaorana,
il en est de même ici - les gens reconnaissent que cette fête est païenne mais ils la fêtent quand même surtout en cadeaux mais en églises ce n'est plus le truc enfin y'a plus grand monde.
je vous raconte donc - un jour en prédication je discute avec une dame sur la naissance de Jésus comme nous le savons "Jésus dans une crèche à peine couvert en plein hiver et les moutons dehors en pleine nuit avec leurs bergers" et je lui explique donc que çà n'est pas possible qu'à cette période les animaux ne sont pas dehors en pleine nuit il fait très froid et ils risquent de mourir - et elle appelle son mari "ehhh!!! papa tu sais qu'en hiver y'a plus d'animaux ?????"ouhh!!!lala mais bon j'ai pu terminer mes explications et lui laisser des périodiques. En fin de compte elle était contente d'avoir appris quelque chose.
il en est de même ici - les gens reconnaissent que cette fête est païenne mais ils la fêtent quand même surtout en cadeaux mais en églises ce n'est plus le truc enfin y'a plus grand monde.
je vous raconte donc - un jour en prédication je discute avec une dame sur la naissance de Jésus comme nous le savons "Jésus dans une crèche à peine couvert en plein hiver et les moutons dehors en pleine nuit avec leurs bergers" et je lui explique donc que çà n'est pas possible qu'à cette période les animaux ne sont pas dehors en pleine nuit il fait très froid et ils risquent de mourir - et elle appelle son mari "ehhh!!! papa tu sais qu'en hiver y'a plus d'animaux ?????"ouhh!!!lala mais bon j'ai pu terminer mes explications et lui laisser des périodiques. En fin de compte elle était contente d'avoir appris quelque chose.
mereta- Témoin de Jéhovah
- Messages : 563
Date d'inscription : 14/11/2011
Localisation : Tahiti
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
mereta a écrit:iaorana,
il en est de même ici - les gens reconnaissent que cette fête est païenne mais ils la fêtent quand même surtout en cadeaux mais en églises ce n'est plus le truc enfin y'a plus grand monde.
je vous raconte donc - un jour en prédication je discute avec une dame sur la naissance de Jésus comme nous le savons "Jésus dans une crèche à peine couvert en plein hiver et les moutons dehors en pleine nuit avec leurs bergers" et je lui explique donc que çà n'est pas possible qu'à cette période les animaux ne sont pas dehors en pleine nuit il fait très froid et ils risquent de mourir - et elle appelle son mari "ehhh!!! papa tu sais qu'en hiver y'a plus d'animaux ?????"ouhh!!!lala mais bon j'ai pu terminer mes explications et lui laisser des périodiques. En fin de compte elle était contente d'avoir appris quelque chose.
on entend de tout en prédication
Invité- Invité
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
La noël n'est pas marquer nul part dans la Bible il faut pas oublier que Jésus était Juif par contre Hanoukka par contre est Biblique :
Hanoukka — Le “Noël juif”?
TANDIS que des millions de personnes s’apprêtent à fêter Noël, la plupart des Juifs se préparent en vue d’une autre célébration, la fête de Hanoukka. Si bien des non-Juifs considèrent cet événement comme une sorte de “Noël juif”, ils sont loin de la vérité.
Noël, censé commémorer la naissance de Jésus Christ, fait en réalité la part belle au Père Noël, aux sapins décorés et à d’autres traditions qui n’ont pas de rapport avec Dieu, Jésus et la Bible. La date elle-même de cette célébration, le 25 décembre, n’est pas celle de la naissance de Jésus, mais de Mithra, dieu soleil mythique. Par contre, la fête de Hanoukka commémore un événement historique qui eut une incidence majeure sur le peuple de Dieu de l’Antiquité.
On notera d’ailleurs que cette célébration est mentionnée dans les Écritures grecques chrétiennes. On lit en Jean 10:22, 23: “Il y eut alors à Jérusalem la fête de la Dédicace [ḥanoukkah en hébreu].
C’était l’hiver, et Jésus circulait dans le temple, dans la colonnade de Salomon.” Manifestement donc, cette fête était déjà célébrée aux jours de Jésus et, apparemment, par Jésus lui-même.
Quelle est l’origine de cette fête? Pour le savoir, faisons un peu d’histoire.
Hanoukka — Le “Noël juif”?
TANDIS que des millions de personnes s’apprêtent à fêter Noël, la plupart des Juifs se préparent en vue d’une autre célébration, la fête de Hanoukka. Si bien des non-Juifs considèrent cet événement comme une sorte de “Noël juif”, ils sont loin de la vérité.
Noël, censé commémorer la naissance de Jésus Christ, fait en réalité la part belle au Père Noël, aux sapins décorés et à d’autres traditions qui n’ont pas de rapport avec Dieu, Jésus et la Bible. La date elle-même de cette célébration, le 25 décembre, n’est pas celle de la naissance de Jésus, mais de Mithra, dieu soleil mythique. Par contre, la fête de Hanoukka commémore un événement historique qui eut une incidence majeure sur le peuple de Dieu de l’Antiquité.
On notera d’ailleurs que cette célébration est mentionnée dans les Écritures grecques chrétiennes. On lit en Jean 10:22, 23: “Il y eut alors à Jérusalem la fête de la Dédicace [ḥanoukkah en hébreu].
C’était l’hiver, et Jésus circulait dans le temple, dans la colonnade de Salomon.” Manifestement donc, cette fête était déjà célébrée aux jours de Jésus et, apparemment, par Jésus lui-même.
Quelle est l’origine de cette fête? Pour le savoir, faisons un peu d’histoire.
Invité- Invité
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Bien sûr que Noël est une fête païenne et bien sûr que je le sais.C'est juste que ça ne me choque pas lol mais...ce qui me choque,c'est que tout plein de gens le savent et le nient.
Pour ce que j'en sais,ça peut avoir rapport avec l'ancien culte de"Mithra",antérieur au chistianisme.Ledit Mithra était"né"un 25 décembre sois-disant^^sa mère(déésse mère)avait accouché dans une étable.Le dieu était le fruit de l'union d'un dieu et d'une femme mortelle.D'ailleurs les adeptes du culte de Mithra communiaient...ils sacrifiaient un taureau,buvaient son sang et mangeaient sa chair.Particulièrement les 25 décembre^^Ils étaient on ne peu plus sincères,et encore une fois rien ne me choque...à part qu'un certain soir de Noêl,on m'a demandé d'expliqué ce qu'est Noêl exactement.Je me suis levée et j'ai expliqué...la tête des autres membres de ma famille!...Et pourtant si j'avais répondu comme ils l'entendaient,j'aurais menti.
si je fête Noêl,c'est pour l'ambiance conviviale,chaleureuse,ni plus ni moins.Et...dans de nombreux journaux,ils expliquent la vraie origine de cette fête.Ca ne choque personne apparemment,au contraire c'est divertissant^^mais certains nient.Alors que tout le monde sais bien que Jésus est peut-être plutôty né en février.Les premiers chrétiens ont dû calquer leurs habitudes sur celles des"païens",pour tâcher de convaincre ceux-ci de passer tout en douceur d'un culte à l'autre.D'où Noêl MDR mais...ils ont omis de précisé,des siècles plus tard,que le christ n'était pas vraiment né un 25 décembre^^mon ex-compagnon,hyper-catholique...il était très destabilisé quant je lui en parlais,de ces origines"paÎnnes"..."Mithra,quant même..."marmonnait-il.
mais,mais,dans un de mes forums métaphysiques,un"nouveau païen"selon ses critères,disait"Noêl est vieux comme le monde"...si même lui le disait,c'est probablement vrai.
Mon enfance idéaliste me manque parfois...mon extase devant la crèche,les chants de Noêl,tout ça.
Mais...la manière dont,jusqu'à l'age de 8 ans,je me prècipitais tôt le matin au pied du sapin trés décoré,et tout entouré de paquets-cadaux,criant:"papa,maman,le père Noêl est passé!!!!"Et...je croyais aussi aux cloches de Pacques qui pondaient des oeufs en chocolat ou en sucre,que je cherchais avidement dans le jardin.Et la petite souris qui remplaçait la dent sous l'oreiller par un petit cadeau.
On dit des gosses:"ils ont bien le temps de grandir"Oh bah oui,certes.Mais...disent les psys(oui je suis toujours là-dedans^^)affirment:l'enfant n'a plus tout-à-fait confiance en ses parents,mine de rien,lorsqu'il réalise que le père Noêl,la petite souris etc....c'est des bêtises.
Oui:parce-que les parents affirment.Et je peux témoigner:lorsque j'ai vu,au fond d'un placard,un cadeau que le"père Noêl"allait apporter,je n'ai plus jamais eu la même confiance en mes parents,grands-parents...comme quoi.
Si j'avais eu un enfant,je ne lui aurais probablement pas parlé du père Noêl,Saint-Nicolas ou autre!!!!!
Pour ce que j'en sais,ça peut avoir rapport avec l'ancien culte de"Mithra",antérieur au chistianisme.Ledit Mithra était"né"un 25 décembre sois-disant^^sa mère(déésse mère)avait accouché dans une étable.Le dieu était le fruit de l'union d'un dieu et d'une femme mortelle.D'ailleurs les adeptes du culte de Mithra communiaient...ils sacrifiaient un taureau,buvaient son sang et mangeaient sa chair.Particulièrement les 25 décembre^^Ils étaient on ne peu plus sincères,et encore une fois rien ne me choque...à part qu'un certain soir de Noêl,on m'a demandé d'expliqué ce qu'est Noêl exactement.Je me suis levée et j'ai expliqué...la tête des autres membres de ma famille!...Et pourtant si j'avais répondu comme ils l'entendaient,j'aurais menti.
si je fête Noêl,c'est pour l'ambiance conviviale,chaleureuse,ni plus ni moins.Et...dans de nombreux journaux,ils expliquent la vraie origine de cette fête.Ca ne choque personne apparemment,au contraire c'est divertissant^^mais certains nient.Alors que tout le monde sais bien que Jésus est peut-être plutôty né en février.Les premiers chrétiens ont dû calquer leurs habitudes sur celles des"païens",pour tâcher de convaincre ceux-ci de passer tout en douceur d'un culte à l'autre.D'où Noêl MDR mais...ils ont omis de précisé,des siècles plus tard,que le christ n'était pas vraiment né un 25 décembre^^mon ex-compagnon,hyper-catholique...il était très destabilisé quant je lui en parlais,de ces origines"paÎnnes"..."Mithra,quant même..."marmonnait-il.
mais,mais,dans un de mes forums métaphysiques,un"nouveau païen"selon ses critères,disait"Noêl est vieux comme le monde"...si même lui le disait,c'est probablement vrai.
Mon enfance idéaliste me manque parfois...mon extase devant la crèche,les chants de Noêl,tout ça.
Mais...la manière dont,jusqu'à l'age de 8 ans,je me prècipitais tôt le matin au pied du sapin trés décoré,et tout entouré de paquets-cadaux,criant:"papa,maman,le père Noêl est passé!!!!"Et...je croyais aussi aux cloches de Pacques qui pondaient des oeufs en chocolat ou en sucre,que je cherchais avidement dans le jardin.Et la petite souris qui remplaçait la dent sous l'oreiller par un petit cadeau.
On dit des gosses:"ils ont bien le temps de grandir"Oh bah oui,certes.Mais...disent les psys(oui je suis toujours là-dedans^^)affirment:l'enfant n'a plus tout-à-fait confiance en ses parents,mine de rien,lorsqu'il réalise que le père Noêl,la petite souris etc....c'est des bêtises.
Oui:parce-que les parents affirment.Et je peux témoigner:lorsque j'ai vu,au fond d'un placard,un cadeau que le"père Noêl"allait apporter,je n'ai plus jamais eu la même confiance en mes parents,grands-parents...comme quoi.
Si j'avais eu un enfant,je ne lui aurais probablement pas parlé du père Noêl,Saint-Nicolas ou autre!!!!!
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Merci nema pour ton très bon commentaire
Bien oui, il faut réfléchir si on veut réellement plaire à Jéhovah, il ne faut pas accepter n'importe quoi sous prétexte que tous font les même choses.Si j'avais eu un enfant,je ne lui aurais probablement pas parlé du père Noêl,Saint-Nicolas ou autre!!!!!
Amitié fraternelle
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Oui c'est cela que j'adiore chez les personnes comme toi:vous allez au bout de vos opinions,ce qui n'est pas obligatoirement le cas de tout le monde^^
Il n'empêche que certaines branches du christianisme font vraiment peur....Cette histoire comme quoi la fin du monde devait avoir lieu le 12,ou 21(je ne sais plus) décembre 2012...ou je ne sais plus...tout le monde se doutait que c'était faux,pourtant tout plein de personnes avaient construit des abris antiatomiques ou je ne sais quoi.Quant,le lendemain matin,ils ont vu que rien ne s'ètait passé,plusieurs ont dit:"Comme quoi on a eu raison,on a été èpargnés..."Oh la honte quant ils ont appris que le reste du monde egalement...
Pourtant...je dois avouer(c'est le premier forum où je l'avoue d'ailleurs^^)que j'ai eu peur,un peu,cette nuit-là.Je pensais:"Et si c'était vrai?"Cette nuit-là,une petite partie de moi craignait de reçevoir une pluie de météorites sur la tête,et...je ne sais pas,que la Terre s'ouvre en deux,et que je tombe dans une immense crevasse de feu,au centre de cette Terre.C'était terrifiant quelque part LOL le matin d'après,mon mari m'a dit:"Viens voir,il ne s'est rien passé"J'ai regardé par le fenêtre,et en effet rien.
N'importe:j'ai eu bien peur LOL
Je pense que tu peux comprendre.Il n'y a qu'à toi que je peux en parler^^
(une pluie de météorites était tombée sur la Russie quelques jours avant,un signe des temps...effrayant,effrayant^^)Oh je m'y voyais,dans cette crevasse de lave,c'était trop horrible!
Il n'empêche que certaines branches du christianisme font vraiment peur....Cette histoire comme quoi la fin du monde devait avoir lieu le 12,ou 21(je ne sais plus) décembre 2012...ou je ne sais plus...tout le monde se doutait que c'était faux,pourtant tout plein de personnes avaient construit des abris antiatomiques ou je ne sais quoi.Quant,le lendemain matin,ils ont vu que rien ne s'ètait passé,plusieurs ont dit:"Comme quoi on a eu raison,on a été èpargnés..."Oh la honte quant ils ont appris que le reste du monde egalement...
Pourtant...je dois avouer(c'est le premier forum où je l'avoue d'ailleurs^^)que j'ai eu peur,un peu,cette nuit-là.Je pensais:"Et si c'était vrai?"Cette nuit-là,une petite partie de moi craignait de reçevoir une pluie de météorites sur la tête,et...je ne sais pas,que la Terre s'ouvre en deux,et que je tombe dans une immense crevasse de feu,au centre de cette Terre.C'était terrifiant quelque part LOL le matin d'après,mon mari m'a dit:"Viens voir,il ne s'est rien passé"J'ai regardé par le fenêtre,et en effet rien.
N'importe:j'ai eu bien peur LOL
Je pense que tu peux comprendre.Il n'y a qu'à toi que je peux en parler^^
(une pluie de météorites était tombée sur la Russie quelques jours avant,un signe des temps...effrayant,effrayant^^)Oh je m'y voyais,dans cette crevasse de lave,c'était trop horrible!
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Chère Nema,
Il faut savoir que le jour et l'heure personne ne le connait, donc il ne faut pas faire confiance en ces gens qui parlent à tort et à travers.
Amitié fraternelle
Il faut savoir que le jour et l'heure personne ne le connait, donc il ne faut pas faire confiance en ces gens qui parlent à tort et à travers.
Amitié fraternelle
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Merci^^A bientôt peut-être.
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Cher Nema,
Oui, les prophéties de la Bible sont claires, nous sommes bien au temps de la fin, reste qu'il faut étudier les prophètie afin que tu puisses comprendre et te rapprocher plus amplement du peuple de Jéhovah!
Oui, les prophéties de la Bible sont claires, nous sommes bien au temps de la fin, reste qu'il faut étudier les prophètie afin que tu puisses comprendre et te rapprocher plus amplement du peuple de Jéhovah!
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Joyeuses fêtes, Bonnes vacances ou Joyeux Noël ? Les Français hésitent...
Le Point.fr - Publié le 24/12/2013 à 00:04 - Modifié le 24/12/2013 à 05:59
Faut-il se souhaiter de joyeuses fêtes ou se dire Bonnes vacances ? Cette question anodine relancée par un Doodle cache un choix quasi philosophique...
"Bonnes vacances" ou "Joyeux Noël" ? Faut-il partir à l'autre bout du monde pour trouver le soleil, le repos et le sable fin ou faut-il se serrer autour d'un feu de cheminée pour ouvrir ses cadeaux de Noël alignés sous le sapin ? Entre ces deux clichés le coeur des Français balance...
Ce choix cornélien se traduit également dans la phrase rituelle de politesse que chacun prononce au moment de se quitter. Aux États-Unis, 67 % des personnes interrogées pour un récent sondage préfèrent dire "Merry Christmas" (autrement dit "Joyeux Noël"), tandis que 18 % lâchent un "Happy Holidays" ("Bonnes vacances"). Quinze autre pour cent disent indifféremment l'un ou l'autre ou préfèrent ne rien dire... En Grande-Bretagne aussi le "Joyeux Noël" l'emporte, moins massivement certes. Chez les électeurs républicains, la part des adeptes du "Merry Christmas" grimpe à 82 %. Le "Joyeux Noël" serait-il de droite ?
1,45 milliard d'euros dépensés le 21 décembre !
En France, la question reviendrait à se demander si la fête de Noël est encore religieuse ou si elle est devenue un rendez-vous consumériste (au pire), familiale (au mieux) propice à l'achat et à l'échange de cadeaux. Un sondage réalisé l'année dernière par l'institut Opinionway montrait que si 75 % des actifs urbains fêtent Noël chaque année, un quart ne le fait pas pour des raisons familiales, financières, voire de défiance à l'égard du caractère commercial de cette fête. Déjà, l'année dernière, près d'1/3 des actifs urbains qui ne fêtaient pas Noël mettaient en avant des raisons financières. Le budget "Noël 2012" des actifs urbains était dans l'ensemble équivalent à celui de 2011, ou en baisse. Seuls 18 % d'entre eux prévoyaient alors d'augmenter leur budget. Il y a fort à parier qu'en 2013 cette tendance soit la même...
Pourtant, les premiers chiffres livrés par les commerçants sont optimistes... Selon une étude, 1,45 milliard d'euros auraient été dépensés pour les achats de Noël le seul samedi 21 décembre en France, soit "l'équivalent de 2 millions d'euros chaque minute". Comme quoi en 2013, pour les commerçants, le père Noël n'est pas une ordure.
Quant aux destinations de vacances, elles restent d'une remarquable stabilité. Comme chaque année, l'île Maurice, l'Italie, l'Espagne, le Maroc et les Antilles feront le plein. Sans surprise la Tunisie (- 30 %) et l'Égypte enregistrent une chute de leur réservation, tandis que l'Asie et les États-Unis progressent. Alors bon voyage, joyeux Noël et bonnes vacances !
Le Point.fr - Publié le 24/12/2013 à 00:04 - Modifié le 24/12/2013 à 05:59
Faut-il se souhaiter de joyeuses fêtes ou se dire Bonnes vacances ? Cette question anodine relancée par un Doodle cache un choix quasi philosophique...
"Bonnes vacances" ou "Joyeux Noël" ? Faut-il partir à l'autre bout du monde pour trouver le soleil, le repos et le sable fin ou faut-il se serrer autour d'un feu de cheminée pour ouvrir ses cadeaux de Noël alignés sous le sapin ? Entre ces deux clichés le coeur des Français balance...
Ce choix cornélien se traduit également dans la phrase rituelle de politesse que chacun prononce au moment de se quitter. Aux États-Unis, 67 % des personnes interrogées pour un récent sondage préfèrent dire "Merry Christmas" (autrement dit "Joyeux Noël"), tandis que 18 % lâchent un "Happy Holidays" ("Bonnes vacances"). Quinze autre pour cent disent indifféremment l'un ou l'autre ou préfèrent ne rien dire... En Grande-Bretagne aussi le "Joyeux Noël" l'emporte, moins massivement certes. Chez les électeurs républicains, la part des adeptes du "Merry Christmas" grimpe à 82 %. Le "Joyeux Noël" serait-il de droite ?
1,45 milliard d'euros dépensés le 21 décembre !
En France, la question reviendrait à se demander si la fête de Noël est encore religieuse ou si elle est devenue un rendez-vous consumériste (au pire), familiale (au mieux) propice à l'achat et à l'échange de cadeaux. Un sondage réalisé l'année dernière par l'institut Opinionway montrait que si 75 % des actifs urbains fêtent Noël chaque année, un quart ne le fait pas pour des raisons familiales, financières, voire de défiance à l'égard du caractère commercial de cette fête. Déjà, l'année dernière, près d'1/3 des actifs urbains qui ne fêtaient pas Noël mettaient en avant des raisons financières. Le budget "Noël 2012" des actifs urbains était dans l'ensemble équivalent à celui de 2011, ou en baisse. Seuls 18 % d'entre eux prévoyaient alors d'augmenter leur budget. Il y a fort à parier qu'en 2013 cette tendance soit la même...
Pourtant, les premiers chiffres livrés par les commerçants sont optimistes... Selon une étude, 1,45 milliard d'euros auraient été dépensés pour les achats de Noël le seul samedi 21 décembre en France, soit "l'équivalent de 2 millions d'euros chaque minute". Comme quoi en 2013, pour les commerçants, le père Noël n'est pas une ordure.
Quant aux destinations de vacances, elles restent d'une remarquable stabilité. Comme chaque année, l'île Maurice, l'Italie, l'Espagne, le Maroc et les Antilles feront le plein. Sans surprise la Tunisie (- 30 %) et l'Égypte enregistrent une chute de leur réservation, tandis que l'Asie et les États-Unis progressent. Alors bon voyage, joyeux Noël et bonnes vacances !
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Le Point.fr - Publié le 25/12/2013 à 01:30
Noël, Hanoucca, fêtes du solstice, Kwanzaa, les célébrations se succèdent presque sans discontinuer. Petit guide pour y voir plus clair.
Les fins d'années sont propices à toutes les festivités. Qu'elles soient religieuses ou profanes ! En plus de Noël pour les catholiques, il y a Hanoucca pour les hébreux fixée en 2013 du 27 novembre au 5 décembre. Aussi appelée "fête des lumières", c'est une célébration d'institution rabbinique, commémorant la réinauguration de l'autel des offrandes dans le second temple de Jérusalem lors de son retour au culte judaïque, trois ans après son interdiction par Antiochus IV des Séleucides. Son seul rite caractéristique consiste à allumer des lumières (souvent des bougies) le soir.
Moins connu en occident, la fête d'origine africaine Kwanzaa. Elle se tient pedant une semaine du 26 décembre au 1er janvier. Créée en 1966 par l'activiste afro-américain Ron Karenga, son but originel était de promouvoir et réaffirmer les liens entre les Noirs d'Amérique et l'Afrique. D'abord pan-Africaine cette fête a ensuite été adoptée par les noirs américains.
En Chine, le solstice d'hiver compte parmi les fêtes les plus importantes du pays et de l'extrême-orient. Elle est célébrée aux alentours du 21 décembre, quand le jour est le plus court. Traditionnellement, la fête du Dongzhi -son autre nom- est aussi une occasion de réunir la famille. On y déguste des Tangyan, des balles de farine de riz qui peuvent être pleines ou fourrées ainsi que des raviolis.
Un tour du monde des réveillons
Restent le Nouvel an. Compte tenu de leurs calendriers, les Russes, et les Chinois ont longtemps été à l'écart de cette festivité planétaire. La mondialisation, et surtout ses vagues consuméristes ont la plupart du temps eu raison des réticences ou des décalages calendaires. La quasi totalité des populations ont donc cédé aux traditions du jour de l'an. Le Point.fr vous proposera d'ailleurs mardi 31 décembre un tour du monde des us et coutumes des façons de passer d'une année à l'autre, des plats culinaires et des anecdotes qui prévalent en Russie, en Israël, en Inde, et dans quelques autres pays. Un peu partout, une préoccupation affleure : faut-il opter pour le religieux "Joyeux Noel", (ou Joyeuse Hanoucca) ou le plus profane "Joyeuses Fêtes" ? Une querelle byzantine relancée par les débats sur la laïcité...
Noël, Hanoucca, fêtes du solstice, Kwanzaa, les célébrations se succèdent presque sans discontinuer. Petit guide pour y voir plus clair.
Les fins d'années sont propices à toutes les festivités. Qu'elles soient religieuses ou profanes ! En plus de Noël pour les catholiques, il y a Hanoucca pour les hébreux fixée en 2013 du 27 novembre au 5 décembre. Aussi appelée "fête des lumières", c'est une célébration d'institution rabbinique, commémorant la réinauguration de l'autel des offrandes dans le second temple de Jérusalem lors de son retour au culte judaïque, trois ans après son interdiction par Antiochus IV des Séleucides. Son seul rite caractéristique consiste à allumer des lumières (souvent des bougies) le soir.
Moins connu en occident, la fête d'origine africaine Kwanzaa. Elle se tient pedant une semaine du 26 décembre au 1er janvier. Créée en 1966 par l'activiste afro-américain Ron Karenga, son but originel était de promouvoir et réaffirmer les liens entre les Noirs d'Amérique et l'Afrique. D'abord pan-Africaine cette fête a ensuite été adoptée par les noirs américains.
En Chine, le solstice d'hiver compte parmi les fêtes les plus importantes du pays et de l'extrême-orient. Elle est célébrée aux alentours du 21 décembre, quand le jour est le plus court. Traditionnellement, la fête du Dongzhi -son autre nom- est aussi une occasion de réunir la famille. On y déguste des Tangyan, des balles de farine de riz qui peuvent être pleines ou fourrées ainsi que des raviolis.
Un tour du monde des réveillons
Restent le Nouvel an. Compte tenu de leurs calendriers, les Russes, et les Chinois ont longtemps été à l'écart de cette festivité planétaire. La mondialisation, et surtout ses vagues consuméristes ont la plupart du temps eu raison des réticences ou des décalages calendaires. La quasi totalité des populations ont donc cédé aux traditions du jour de l'an. Le Point.fr vous proposera d'ailleurs mardi 31 décembre un tour du monde des us et coutumes des façons de passer d'une année à l'autre, des plats culinaires et des anecdotes qui prévalent en Russie, en Israël, en Inde, et dans quelques autres pays. Un peu partout, une préoccupation affleure : faut-il opter pour le religieux "Joyeux Noel", (ou Joyeuse Hanoucca) ou le plus profane "Joyeuses Fêtes" ? Une querelle byzantine relancée par les débats sur la laïcité...
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Comme d'habitude,
Le pape à célébré cette fête païenne à Rome en prenant dans ses bras une statue représentant Jésus, l'a mise dans le crèche et l'a embrassé comme on peut le voir ici sur cette photo....
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
cela parait anodin, mais cela incite les personnes à se tourner vers des idoles plutôt que d'adorer le vrai Dieu Jéhovah
Lévitique 26:
je retrancherai vos autels à encens et je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos sales idoles ; mon âme vous aura en parfaite aversion.
2 Corinthiens 6:16 Et quel accord le temple de Dieu a-t-il avec les idoles
L'apôtre Paul met en garde ici:
1 Corinthiens 10: 14 C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie
Dans la chrétienté tout est bon pour faire croire aux mensonges, ces personnes n'ont aucune connaissance de la Bible et de Dieu également
Une dévotion sans fin pour les idoles,
Le pape à célébré cette fête païenne à Rome en prenant dans ses bras une statue représentant Jésus, l'a mise dans le crèche et l'a embrassé comme on peut le voir ici sur cette photo....
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
cela parait anodin, mais cela incite les personnes à se tourner vers des idoles plutôt que d'adorer le vrai Dieu Jéhovah
Lévitique 26:
je retrancherai vos autels à encens et je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos sales idoles ; mon âme vous aura en parfaite aversion.
2 Corinthiens 6:16 Et quel accord le temple de Dieu a-t-il avec les idoles
L'apôtre Paul met en garde ici:
1 Corinthiens 10: 14 C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie
Dans la chrétienté tout est bon pour faire croire aux mensonges, ces personnes n'ont aucune connaissance de la Bible et de Dieu également
Une dévotion sans fin pour les idoles,
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
En fait les gens aiment mieux Jésus petit car il ne leur demande rien.
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Hi, hi hi, elle m'a bien fait rire celle là!gédéon22 a écrit:En fait les gens aiment mieux Jésus petit car il ne leur demande rien.
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
LOL moi quant j'étais petite, on me conseillait toujours de prier "le petit Jésus"...parce-que j'ètais petite j'imagine, et que ça évoquait Noêl, la crèche et tout. Mais, un enfant qui prie le "petit Jésus", un enfant comme eux, même divin, comment pourrait-il le voire comme supérieur à lui, comme un guide, comme il voit un adulte? Comme il peut voire Dieu?...C'est la nouvelle reflexion que je viens de me faire. (pour les autres, j'ai posté à ce sujet dans l'autre forum^^)
Cette année, je vais passer de bons moments en famille, le repas et tout, mais uniquement dans un esprit de convivialité, rien de plus, rien de moins. Comme dit dans l'autre forum aussi, je connais la vérité au moins dans ce domaine-je la connaissais même avant d'échanger avec des témoins de Jéhovah, par l'étude de livres évoquant les concordances entre traditions, rites liés au paganisme et traditions catholiques, et cette "étude" en était une quelque part, et écrite par des personnes objectives -d'ailleurs cette année je n'ai pas décoré mon appartement pour l'occasion lol
Il y a un avantage: la plupart de mes forums sont provisoirement fermés ou inactifs en ces périodes de fête, mais pas ceux-ci j'imagine bien^^donc je poste de nouveau ici avec joie!!!
En dehors de tous vœux, bien à vous. Mais je le dirais aussi bien le reste de l'année!
C'est comme quant j'organise un petit dîner romantique pour mon mari et moi, l'effet de surprise pour lui fait plaisir à voire, c'est beaucoup plus amusant et agréable qu'à la Saint-Valentin^^
Amitiés!
Cette année, je vais passer de bons moments en famille, le repas et tout, mais uniquement dans un esprit de convivialité, rien de plus, rien de moins. Comme dit dans l'autre forum aussi, je connais la vérité au moins dans ce domaine-je la connaissais même avant d'échanger avec des témoins de Jéhovah, par l'étude de livres évoquant les concordances entre traditions, rites liés au paganisme et traditions catholiques, et cette "étude" en était une quelque part, et écrite par des personnes objectives -d'ailleurs cette année je n'ai pas décoré mon appartement pour l'occasion lol
Il y a un avantage: la plupart de mes forums sont provisoirement fermés ou inactifs en ces périodes de fête, mais pas ceux-ci j'imagine bien^^donc je poste de nouveau ici avec joie!!!
En dehors de tous vœux, bien à vous. Mais je le dirais aussi bien le reste de l'année!
C'est comme quant j'organise un petit dîner romantique pour mon mari et moi, l'effet de surprise pour lui fait plaisir à voire, c'est beaucoup plus amusant et agréable qu'à la Saint-Valentin^^
Amitiés!
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Genève a boycotté Noël pendant près de deux siècles
Par Antoine Grosjean. Mis à jour le 24.12.2014 8 Commentaires
Aux yeux de Calvin, il fallait être une «bête enragée» pour célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre.
Que dirait Calvin s'il voyait la cohue dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de fêter Noël?
Que dirait Calvin s'il voyait la cohue dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de fêter
Calvin doit se retourner dans son austère tombe du cimetière de Plainpalais! En effet, que dirait le célèbre réformateur genevois s’il voyait la cohue de ces jours dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de célébrer Noël? On a de la peine à l’imaginer aujourd’hui, mais pendant près de deux siècles, cette fête était taboue à Genève. Pourtant, s’agissant de commémorer la naissance du Christ, on aurait pu croire que Calvin ferait une exception à sa hantise de tout événement festif. Mais non! Le 25 décembre 1550, à la Cathédrale Saint-Pierre, il enguirlande - si l’on peut dire, en l’occurrence - les paroissiens venus plus nombreux que d’habitude écouter son prêche. Fâché, il leur demande ce qu’ils font là.
«Vous fabriquez une idole»
On connaît ses paroles aussi précisément que si elles avaient été enregistrées, grâce à Denis Raguenier, un huguenot français qui retranscrivait ses sermons avec une sorte de sténographie inventée par lui. Le professeur genevois d’histoire du christianisme Michel Grandjean a adapté ce texte en français moderne: «Je vois aujourd’hui plus de peuple que d’habitude au sermon», gronde Calvin du haut de sa chaire. «Et pourquoi? C’est le jour de Noël. Et qui vous l’a dit? C’est ce que croient les pauvres bêtes, car voilà comment il faut appeler tous ces gens qui sont venus aujourd’hui au sermon pour l’honneur de la fête de Noël. […] Et quoi? Pensez-vous honorer Dieu par cela? […] Mais si vous pensez que Jésus Christ serait né aujourd’hui, vous êtres des bêtes, je dirais même plus, des bêtes enragées. Ainsi, si vous vous imaginez rendre un culte à Dieu en tel jour particulier, c’est une idole que vous aurez fabriquée. Vous avez beau dire que c’est en l’honneur de Dieu; en réalité, c’est en l’honneur du diable.»
Aux yeux du réformateur genevois, aucun jour n’était meilleur que les autres pour commémorer la naissance de Jésus. «Pour Calvin en somme, il aurait fallu fêter Noël tous les jours… ou pas du tout», résume Isabelle Graesslé, directrice du Musée international de la Réforme.
A en croire René Guerdan, auteur de La vie quotidienne à Genève au temps de Calvin, célébrer Noël était même devenu un délit qui était puni de l’amende, voire de la prison: «Diverses personnes, dont les pauvres de l’Hôpital général, avaient, le 25 décembre 1555, «fait la fête de Noël»: les pauvres sont privés de secours pendant un mois, les autres envoyés pour vingt-quatre heures dans la geôle de l’Évêché», écrit-il. Les explications sur cet interdit varient. Selon Michel Grandjean, c’est parce que Noël n’est pas une fête prescrite par la Bible: «Les Ordonnances ecclésiastiques de Genève préconisent de faire un culte le dimanche et les jours de fêtes mentionnés dans les Ecritures, ce qui n’est pas le cas de Noël. Pour les calvinistes, cette fête catholique n’a pas plus de valeur que l’Assomption de Marie ou l’Immaculée Conception.»
L’historien Bernard Lescaze, lui, assure que Noël fait bien partie des quatre fêtes prescrites par la Bible, avec Pâques, Pentecôte et le premier dimanche de septembre. «Mais ce jour-là, on ne fait que célébrer un culte comme chaque dimanche et jour de fête. Rien de plus. Ce qui déplaisait à Calvin, c’est que les gens organisent des banquets copieux.» C’est pourtant ce que certains font, bravant l’interdit. «Les pasteurs sont embarrassés, raconte Michel Grandjean. Une fois, on apprend qu’à Satigny, il y a eu des festins le 25 décembre. La Compagnie des pasteurs ordonne alors de réprimander les fêtards.»
Première «genevoiserie»
Cette non-célébration de Noël est peut-être la première «genevoiserie» de l’histoire. «Au Moyen Age, Noël prend de plus en plus d’importance, surtout chez les peuples germaniques, explique Michel Grandjean. On fête Noël chez Luther et en Suisse, même dans les cantons protestants. Ces derniers se moquent d’ailleurs des Genevois qui, dès 1603 célèbrent l’Escalade, la libération temporelle de Genève, mais pas la naissance du Christ, la libération spirituelle de l’humanité.» Cette particularité perdure bien après la mort de Calvin, en 1564. Ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle, sous l’influence française, que Genève se remet à fêter Noël.
Une célébration apparue au IVe siècle
Pendant plusieurs siècles, les chrétiens ont fêté la résurrection de Jésus - sa seconde naissance - mais pas sa naissance tout court. Si Pâques a toujours été leur fête la plus importante, ce n’est qu’à partir du IVe siècle qu’on célèbre la Nativité. La plus ancienne mention du 25 décembre comme date de naissance du Christ se trouve dans le Chronographe de 354, un manuscrit romain. Cette date a alors été choisie pour fêter Noël, car c’était ce jour qu’avaient lieu diverses fêtes païennes, dont celle du solstice d’hiver. Toutefois, Noël est longtemps resté une fête purement religieuse, très différente de ce qu’elle est aujourd’hui. Les sapins de Noël apparaissent dans le nord de l’Europe au XVe ou XVIe siècle. Dès l’Antiquité, on offrait des cadeaux - les étrennes - mais à Nouvel-An.
(TDG
Par Antoine Grosjean. Mis à jour le 24.12.2014 8 Commentaires
Aux yeux de Calvin, il fallait être une «bête enragée» pour célébrer la naissance de Jésus le 25 décembre.
Que dirait Calvin s'il voyait la cohue dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de fêter Noël?
Que dirait Calvin s'il voyait la cohue dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de fêter
Calvin doit se retourner dans son austère tombe du cimetière de Plainpalais! En effet, que dirait le célèbre réformateur genevois s’il voyait la cohue de ces jours dans les magasins et les supermarchés, lui qui interdisait de célébrer Noël? On a de la peine à l’imaginer aujourd’hui, mais pendant près de deux siècles, cette fête était taboue à Genève. Pourtant, s’agissant de commémorer la naissance du Christ, on aurait pu croire que Calvin ferait une exception à sa hantise de tout événement festif. Mais non! Le 25 décembre 1550, à la Cathédrale Saint-Pierre, il enguirlande - si l’on peut dire, en l’occurrence - les paroissiens venus plus nombreux que d’habitude écouter son prêche. Fâché, il leur demande ce qu’ils font là.
«Vous fabriquez une idole»
On connaît ses paroles aussi précisément que si elles avaient été enregistrées, grâce à Denis Raguenier, un huguenot français qui retranscrivait ses sermons avec une sorte de sténographie inventée par lui. Le professeur genevois d’histoire du christianisme Michel Grandjean a adapté ce texte en français moderne: «Je vois aujourd’hui plus de peuple que d’habitude au sermon», gronde Calvin du haut de sa chaire. «Et pourquoi? C’est le jour de Noël. Et qui vous l’a dit? C’est ce que croient les pauvres bêtes, car voilà comment il faut appeler tous ces gens qui sont venus aujourd’hui au sermon pour l’honneur de la fête de Noël. […] Et quoi? Pensez-vous honorer Dieu par cela? […] Mais si vous pensez que Jésus Christ serait né aujourd’hui, vous êtres des bêtes, je dirais même plus, des bêtes enragées. Ainsi, si vous vous imaginez rendre un culte à Dieu en tel jour particulier, c’est une idole que vous aurez fabriquée. Vous avez beau dire que c’est en l’honneur de Dieu; en réalité, c’est en l’honneur du diable.»
Aux yeux du réformateur genevois, aucun jour n’était meilleur que les autres pour commémorer la naissance de Jésus. «Pour Calvin en somme, il aurait fallu fêter Noël tous les jours… ou pas du tout», résume Isabelle Graesslé, directrice du Musée international de la Réforme.
A en croire René Guerdan, auteur de La vie quotidienne à Genève au temps de Calvin, célébrer Noël était même devenu un délit qui était puni de l’amende, voire de la prison: «Diverses personnes, dont les pauvres de l’Hôpital général, avaient, le 25 décembre 1555, «fait la fête de Noël»: les pauvres sont privés de secours pendant un mois, les autres envoyés pour vingt-quatre heures dans la geôle de l’Évêché», écrit-il. Les explications sur cet interdit varient. Selon Michel Grandjean, c’est parce que Noël n’est pas une fête prescrite par la Bible: «Les Ordonnances ecclésiastiques de Genève préconisent de faire un culte le dimanche et les jours de fêtes mentionnés dans les Ecritures, ce qui n’est pas le cas de Noël. Pour les calvinistes, cette fête catholique n’a pas plus de valeur que l’Assomption de Marie ou l’Immaculée Conception.»
L’historien Bernard Lescaze, lui, assure que Noël fait bien partie des quatre fêtes prescrites par la Bible, avec Pâques, Pentecôte et le premier dimanche de septembre. «Mais ce jour-là, on ne fait que célébrer un culte comme chaque dimanche et jour de fête. Rien de plus. Ce qui déplaisait à Calvin, c’est que les gens organisent des banquets copieux.» C’est pourtant ce que certains font, bravant l’interdit. «Les pasteurs sont embarrassés, raconte Michel Grandjean. Une fois, on apprend qu’à Satigny, il y a eu des festins le 25 décembre. La Compagnie des pasteurs ordonne alors de réprimander les fêtards.»
Première «genevoiserie»
Cette non-célébration de Noël est peut-être la première «genevoiserie» de l’histoire. «Au Moyen Age, Noël prend de plus en plus d’importance, surtout chez les peuples germaniques, explique Michel Grandjean. On fête Noël chez Luther et en Suisse, même dans les cantons protestants. Ces derniers se moquent d’ailleurs des Genevois qui, dès 1603 célèbrent l’Escalade, la libération temporelle de Genève, mais pas la naissance du Christ, la libération spirituelle de l’humanité.» Cette particularité perdure bien après la mort de Calvin, en 1564. Ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle, sous l’influence française, que Genève se remet à fêter Noël.
Une célébration apparue au IVe siècle
Pendant plusieurs siècles, les chrétiens ont fêté la résurrection de Jésus - sa seconde naissance - mais pas sa naissance tout court. Si Pâques a toujours été leur fête la plus importante, ce n’est qu’à partir du IVe siècle qu’on célèbre la Nativité. La plus ancienne mention du 25 décembre comme date de naissance du Christ se trouve dans le Chronographe de 354, un manuscrit romain. Cette date a alors été choisie pour fêter Noël, car c’était ce jour qu’avaient lieu diverses fêtes païennes, dont celle du solstice d’hiver. Toutefois, Noël est longtemps resté une fête purement religieuse, très différente de ce qu’elle est aujourd’hui. Les sapins de Noël apparaissent dans le nord de l’Europe au XVe ou XVIe siècle. Dès l’Antiquité, on offrait des cadeaux - les étrennes - mais à Nouvel-An.
(TDG
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Merci pour les infos! Je ne connaissais pas cette partie de l'Histoire, concernant Calvin. Oui il devait connaître la vérité concernant ces fêtes, mais c'était surtout le côté banquet, amusement...qui le choquait. C'était peut-être quelqu'un d'austère, mais il avait une volonté de fer apparemment.
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Oui il n'a pas hésiter de faire brûler Michel Servet comme hérétique .Donc il n'était mieux que ceux de l'inquisition catholique qu'il condamnait pourtant fortement. mais c'est un autre sujet.
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
J'ai longtemps pensé que les protestants étaient plus rigoureux (bien qu'un peu trop rigoristes quant même) que les catholiques, qu'ils s'inspiraient moins du paganisme par exemple, mais il est vrai qu'il leur est arrivé d'être cruels eux aussi, la preuve...ce sont les faits. Tu viens de me le reppeler!
Nema- Ami/ie de la vérité
- Messages : 63
Date d'inscription : 31/07/2013
Age : 50
Localisation : Epinal,Vosges
Re: La fête de Noel qu'en est 'il?
Noël : les apocryphes ou l'art de raconter des histoires
On leur doit la crèche de la nativité, le bœuf, l'âne et la couronne des rois mages. Les textes apocryphes ne sont pas sacrés, mais ils ont des idées…
PAR CATHERINE GOLLIAU
Publié le 22/12/2015 à 06:13 - Modifié le 22/12/2015 à 07:16 | Le Point.fr
Sans eux, Jésus ne serait pas né dans une crèche, et Marie n'aurait pas eu un papa qui s'appelait Joachim. Sans eux, pas de Joseph père aimant et cocu magnifique. Sans eux, pas de récit de l'enfance du Christ, pas d'anecdotes, pas de chair, pas de jus, et un christianisme franchement trop sérieux pour plaire aux foules. Bref, sans eux, c'est sûr, Jésus, le fils de Dieu, ne serait pas devenu le héros de la première religion au monde. Pourtant, qui rend grâce à l'Évangile du Pseudo Thomas ou à L 'Histoire de Joseph le charpentier, ces évangiles dits « apocryphes » ? Apocryphe : un nom d'origine grecque (« caché ») pour désigner ces nombreux textes nourris aux évangiles officiels autant qu'aux récits populaires qui, aux premiers temps de l'Église, entendaient donner leur propre version de la vie et du message du Christ. Considérés comme des sornettes par l'Église officielle qui, en 367, les exclut de sa liste de textes « canons », c'est-à-dire reconnus comme inspirés et authentiques, ces ouvrages qui se présentent aussi bien comme des éproprement dits que des épîtres ou des actes continueront néanmoins de nourrir la foi populaire... Et de véhiculer les opinions et les visions dissidentes.
Si l'on se réfère à la liste qu'en dresse le Décret de Gélase (IVe siècle), les apocryphes entrent dans trois catégories : les plus anciens, issus du judéo-christianisme, portent le nom des communautés qui les ont élaborés (É vangile selon les Hébreux, Évangile des Ébionites, traditions de Mathieu, Évangile des Égyptiens…). Ils imitent souvent les Évangiles de Marc, Mathieu et Luc auxquels ils agrègent des idées déviantes. D'eux, il ne reste quasiment plus rien, si ce n'est des bribes ou des citations dans les écrits des pères de l'Église.
« Gnostiques »
Plus romanesques, les apocryphes qui racontent la vie de Jésus et de ses proches. Nous leur devons la crèche de la nativité, le bœuf et l'âne, la couronne des rois mages ainsi que certains miracles. Très riches en anecdotes plus ou moins miraculeuses, certains d'entre eux ont profondément influencé le christianisme populaire. Le Protévangile de Jacques a ainsi joué un rôle déterminant dans l'élaboration du culte marial. Comme le rappelle France Quéré (É vangiles apocryphes, Seuil, 1983), cet ouvrage présenté comme l'œuvre de Jacques le Mineur (qui serait le demi-frère de Jésus) a été rédigé « dans un but apologétique, pour régler, auprès des Grecs et des Juifs, la question délicate de l'incarnation de Dieu. Or, pas d'incarnation sans pureté absolue, pureté de Marie, non seulement verge avant, pendant et après, mais maintenue dès sa conception dans une sorte d'état angélique. » Marie naîtra donc sans péché. Le texte est à l'origine de plusieurs fêtes liturgiques : la célébration d'Anne et de Joachim, les parents de Marie, la fête de La Conception et de la Nativité de Marie, la Présentation de la Vierge, etc.
Troisième catégorie d'apocryphes, plus intellectuels, mais aussi plus dangereux aux yeux des gardiens du dogme : les « gnostiques », comme le célèbre Évangile de Thomas, dont un papyrus a été découvert en 1946 à Nag-Hammadi en Égypte. Écrit en copte au IIe siècle et probablement d'origine syrienne, ce texte contient 114 paroles inédites de Jésus et il est suffisamment riche pour que les chercheurs l'aient considéré un temps comme un cinquième évangile « authentique ».
Textes « cachés »
L'élaboration du Canon au IVe siècle ne débarrassa l'Église ni des hérésies ni des apocryphes. La Réforme apporta au mot lui-même un éclairage nouveau… en en changeant le sens. Les protestants l'utilisèrent en effet pour qualifier les textes les plus récents de l'Ancien Testament, ceux que les juifs avaient écartés comme non-inspirés au Ier siècle après Jésus Christ, et que les réformateurs placèrent à la fin de leurs bibles en langue vulgaire. À partir du XIXe siècle, les textes « cachés » revinrent encore sur le devant de la scène : l'exégèse commençait alors à se vouloir critique et à utiliser la science pour mieux mettre les croyances en perspective. Cette approche montra que les fameux textes « cachés » pouvaient être porteurs parfois d'une part de vérité, et que les textes canoniques n'étaient pas toujours exempts de passages inauthentiques…
De quoi alimenter chez certains le goût pour la théorie du complot, dont les flammes ont rejailli en 2006 avec la publication de l'Évangile de Judas, attribué à l'homme qui a trahi Jésus. Mais les apôtres n'auraient-ils pas dénaturé le message du Christ en faisant un mauvais procès à leur camarade ? Celui-ci, en trahissant ne répondait-il pas au vœu du Christ lui-même ? N'a-t-il pas accepté le sceau de l'infamie pour mieux servir son Dieu ? Vingt-cinq feuilles de papyrus pour changer le sens de l'histoire ? L'éditeur en rêvait, mais la réalité joue comme souvent petit bras. Trouvé dans les années soixante-dix dans une grotte du désert de haute Égypte, passé ensuite de main en main, ce texte en langue copte daté du IIIe ou du début du IVe siècle serait la traduction d'un ouvrage grec aujourd'hui perdu, composé entre 130 et 180 après J.-C. Irénée, premier évêque de Lyon, le dénonce déjà comme une « malfaisance de la secte hérétique des Caïnites » (les héritiers de Caïn) : « Ils déclarent que Judas le traître était bien avisé de ces choses et que lui seul, connaissant la vérité comme aucun autre, a accompli le mystère de la trahison. Ils ont produit une histoire fictive de ce genre, qu'ils ont appelée l'Évangile de Judas. » Les apocryphes, ou l'arme de guerrhttp://www.lepoint.fr/culture/noel-les-apocryphes-ou-l-art-de-raconter-des-histoires-22-12-2015-2004478_3.php#r_e des hérétiques…
On leur doit la crèche de la nativité, le bœuf, l'âne et la couronne des rois mages. Les textes apocryphes ne sont pas sacrés, mais ils ont des idées…
PAR CATHERINE GOLLIAU
Publié le 22/12/2015 à 06:13 - Modifié le 22/12/2015 à 07:16 | Le Point.fr
Sans eux, Jésus ne serait pas né dans une crèche, et Marie n'aurait pas eu un papa qui s'appelait Joachim. Sans eux, pas de Joseph père aimant et cocu magnifique. Sans eux, pas de récit de l'enfance du Christ, pas d'anecdotes, pas de chair, pas de jus, et un christianisme franchement trop sérieux pour plaire aux foules. Bref, sans eux, c'est sûr, Jésus, le fils de Dieu, ne serait pas devenu le héros de la première religion au monde. Pourtant, qui rend grâce à l'Évangile du Pseudo Thomas ou à L 'Histoire de Joseph le charpentier, ces évangiles dits « apocryphes » ? Apocryphe : un nom d'origine grecque (« caché ») pour désigner ces nombreux textes nourris aux évangiles officiels autant qu'aux récits populaires qui, aux premiers temps de l'Église, entendaient donner leur propre version de la vie et du message du Christ. Considérés comme des sornettes par l'Église officielle qui, en 367, les exclut de sa liste de textes « canons », c'est-à-dire reconnus comme inspirés et authentiques, ces ouvrages qui se présentent aussi bien comme des éproprement dits que des épîtres ou des actes continueront néanmoins de nourrir la foi populaire... Et de véhiculer les opinions et les visions dissidentes.
Si l'on se réfère à la liste qu'en dresse le Décret de Gélase (IVe siècle), les apocryphes entrent dans trois catégories : les plus anciens, issus du judéo-christianisme, portent le nom des communautés qui les ont élaborés (É vangile selon les Hébreux, Évangile des Ébionites, traditions de Mathieu, Évangile des Égyptiens…). Ils imitent souvent les Évangiles de Marc, Mathieu et Luc auxquels ils agrègent des idées déviantes. D'eux, il ne reste quasiment plus rien, si ce n'est des bribes ou des citations dans les écrits des pères de l'Église.
« Gnostiques »
Plus romanesques, les apocryphes qui racontent la vie de Jésus et de ses proches. Nous leur devons la crèche de la nativité, le bœuf et l'âne, la couronne des rois mages ainsi que certains miracles. Très riches en anecdotes plus ou moins miraculeuses, certains d'entre eux ont profondément influencé le christianisme populaire. Le Protévangile de Jacques a ainsi joué un rôle déterminant dans l'élaboration du culte marial. Comme le rappelle France Quéré (É vangiles apocryphes, Seuil, 1983), cet ouvrage présenté comme l'œuvre de Jacques le Mineur (qui serait le demi-frère de Jésus) a été rédigé « dans un but apologétique, pour régler, auprès des Grecs et des Juifs, la question délicate de l'incarnation de Dieu. Or, pas d'incarnation sans pureté absolue, pureté de Marie, non seulement verge avant, pendant et après, mais maintenue dès sa conception dans une sorte d'état angélique. » Marie naîtra donc sans péché. Le texte est à l'origine de plusieurs fêtes liturgiques : la célébration d'Anne et de Joachim, les parents de Marie, la fête de La Conception et de la Nativité de Marie, la Présentation de la Vierge, etc.
Troisième catégorie d'apocryphes, plus intellectuels, mais aussi plus dangereux aux yeux des gardiens du dogme : les « gnostiques », comme le célèbre Évangile de Thomas, dont un papyrus a été découvert en 1946 à Nag-Hammadi en Égypte. Écrit en copte au IIe siècle et probablement d'origine syrienne, ce texte contient 114 paroles inédites de Jésus et il est suffisamment riche pour que les chercheurs l'aient considéré un temps comme un cinquième évangile « authentique ».
Textes « cachés »
L'élaboration du Canon au IVe siècle ne débarrassa l'Église ni des hérésies ni des apocryphes. La Réforme apporta au mot lui-même un éclairage nouveau… en en changeant le sens. Les protestants l'utilisèrent en effet pour qualifier les textes les plus récents de l'Ancien Testament, ceux que les juifs avaient écartés comme non-inspirés au Ier siècle après Jésus Christ, et que les réformateurs placèrent à la fin de leurs bibles en langue vulgaire. À partir du XIXe siècle, les textes « cachés » revinrent encore sur le devant de la scène : l'exégèse commençait alors à se vouloir critique et à utiliser la science pour mieux mettre les croyances en perspective. Cette approche montra que les fameux textes « cachés » pouvaient être porteurs parfois d'une part de vérité, et que les textes canoniques n'étaient pas toujours exempts de passages inauthentiques…
De quoi alimenter chez certains le goût pour la théorie du complot, dont les flammes ont rejailli en 2006 avec la publication de l'Évangile de Judas, attribué à l'homme qui a trahi Jésus. Mais les apôtres n'auraient-ils pas dénaturé le message du Christ en faisant un mauvais procès à leur camarade ? Celui-ci, en trahissant ne répondait-il pas au vœu du Christ lui-même ? N'a-t-il pas accepté le sceau de l'infamie pour mieux servir son Dieu ? Vingt-cinq feuilles de papyrus pour changer le sens de l'histoire ? L'éditeur en rêvait, mais la réalité joue comme souvent petit bras. Trouvé dans les années soixante-dix dans une grotte du désert de haute Égypte, passé ensuite de main en main, ce texte en langue copte daté du IIIe ou du début du IVe siècle serait la traduction d'un ouvrage grec aujourd'hui perdu, composé entre 130 et 180 après J.-C. Irénée, premier évêque de Lyon, le dénonce déjà comme une « malfaisance de la secte hérétique des Caïnites » (les héritiers de Caïn) : « Ils déclarent que Judas le traître était bien avisé de ces choses et que lui seul, connaissant la vérité comme aucun autre, a accompli le mystère de la trahison. Ils ont produit une histoire fictive de ce genre, qu'ils ont appelée l'Évangile de Judas. » Les apocryphes, ou l'arme de guerrhttp://www.lepoint.fr/culture/noel-les-apocryphes-ou-l-art-de-raconter-des-histoires-22-12-2015-2004478_3.php#r_e des hérétiques…
Sujets similaires
» La fête des mères
» La fête chiite de l'Achoura
» La fête de l'Aïd el Kébir (le grand pardon)?
» Connaissez-cous la fête de Hanoukka !!
» Rire c'est bon pour la santé
» La fête chiite de l'Achoura
» La fête de l'Aïd el Kébir (le grand pardon)?
» Connaissez-cous la fête de Hanoukka !!
» Rire c'est bon pour la santé
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum