Samedi 27 juillet
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Samedi 27 juillet
Texte pour le Samedi 27 juillet
La connaissance des desseins divins, qui nous procure une véritable espérance, est sans nul doute d’une grande consolation. Jésus, notre modèle, utilisait les Écritures pour enseigner et consoler les autres. Lorsqu’il est apparu à deux de ses disciples après sa résurrection, il leur a ‘ pleinement ouvert les Écritures ’. Ceux-ci en ont été profondément touchés (Luc 24:32). Suivant l’exemple de Jésus, Paul ‘ raisonnait à partir des Écritures ’. À Bérée, ses auditeurs “ reçurent la parole avec le plus grand empressement, examinant soigneusement les Écritures chaque jour ”. (Actes 17:2, 10, 11.) Voilà une bonne habitude à prendre. En ces temps critiques, puisons consolation et espérance dans la lecture quotidienne de la Bible et dans l’étude des publications chrétiennes. w11 15/10 4:13, 14.
Toutes les choses qui ont été écrites jadis ont été écrites pour notre instruction, afin que [...] nous ayons l’espérance. — Rom. 15:4.
La connaissance des desseins divins, qui nous procure une véritable espérance, est sans nul doute d’une grande consolation. Jésus, notre modèle, utilisait les Écritures pour enseigner et consoler les autres. Lorsqu’il est apparu à deux de ses disciples après sa résurrection, il leur a ‘ pleinement ouvert les Écritures ’. Ceux-ci en ont été profondément touchés (Luc 24:32). Suivant l’exemple de Jésus, Paul ‘ raisonnait à partir des Écritures ’. À Bérée, ses auditeurs “ reçurent la parole avec le plus grand empressement, examinant soigneusement les Écritures chaque jour ”. (Actes 17:2, 10, 11.) Voilà une bonne habitude à prendre. En ces temps critiques, puisons consolation et espérance dans la lecture quotidienne de la Bible et dans l’étude des publications chrétiennes. w11 15/10 4:13, 14.
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Re: Samedi 27 juillet
On lit que Paul a prêché dans la synagogue pendant trois sabbats à Thessalonique. Faut-il en déduire qu’il n’y est resté que trois semaines ? Pas forcément. On ignore combien de temps après son arrivée il a fait sa première visite à la synagogue. Par ailleurs, ses lettres révèlent qu’à Thessalonique lui et ses compagnons ont travaillé pour subsister (1 Thess. 2:9 ; 2 Thess. 3:7, . Enfin, pendant son séjour, il a reçu deux fois des provisions des frères de Philippes (Phil. 4:16). Sa présence à Thessalonique a donc sans doute duré plus de trois semaines.
Ayant rassemblé son courage pour prêcher, Paul a pris la parole devant tous ceux qui étaient réunis dans la synagogue. Selon son habitude, “ il raisonna avec eux à partir des Écritures ; il expliquait et prouvait, en citant des passages, qu’il fallait que le Christ souffre et qu’il ressuscite d’entre les morts, et disant : ‘ Celui-ci est le Christ, ce Jésus que je vous annonce. ’ ” (Actes 17:2, 3). Remarquons qu’il n’a pas cherché à émouvoir ses auditeurs ; il a fait appel à leur réflexion. Il savait que les habitués d’une synagogue connaissaient bien les Écritures et les respectaient. Ce qui leur manquait, c’était la compréhension. Il a donc raisonné, expliqué et prouvé à partir des Écritures que Jésus de Nazareth était le Messie, ou Christ, promis.
Paul a suivi le modèle établi par Jésus, qui avait fondé son enseignement sur les Écritures. Ainsi, au cours de son ministère public, Jésus avait expliqué à ses disciples que, selon les Écritures, le Fils de l’homme devait souffrir, mourir et être ressuscité (Mat. 16:21). Après sa résurrection, il était apparu à ses disciples. Cela aurait pu suffire pour prouver qu’il avait dit vrai. Pourtant, il leur avait donné davantage. On lit à propos d’une conversation qu’il eut avec certains disciples : “ Commençant par Moïse et tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures les choses qui le concernaient. ” Qu’en était-il résulté ? Les disciples s’étaient exclamés : “ Notre cœur ne brûlait-il pas lorsqu’il nous parlait sur la route, lorsqu’il nous ouvrait pleinement les Écritures ? ” — Luc 24:13, 27, 32.
Ayant rassemblé son courage pour prêcher, Paul a pris la parole devant tous ceux qui étaient réunis dans la synagogue. Selon son habitude, “ il raisonna avec eux à partir des Écritures ; il expliquait et prouvait, en citant des passages, qu’il fallait que le Christ souffre et qu’il ressuscite d’entre les morts, et disant : ‘ Celui-ci est le Christ, ce Jésus que je vous annonce. ’ ” (Actes 17:2, 3). Remarquons qu’il n’a pas cherché à émouvoir ses auditeurs ; il a fait appel à leur réflexion. Il savait que les habitués d’une synagogue connaissaient bien les Écritures et les respectaient. Ce qui leur manquait, c’était la compréhension. Il a donc raisonné, expliqué et prouvé à partir des Écritures que Jésus de Nazareth était le Messie, ou Christ, promis.
Paul a suivi le modèle établi par Jésus, qui avait fondé son enseignement sur les Écritures. Ainsi, au cours de son ministère public, Jésus avait expliqué à ses disciples que, selon les Écritures, le Fils de l’homme devait souffrir, mourir et être ressuscité (Mat. 16:21). Après sa résurrection, il était apparu à ses disciples. Cela aurait pu suffire pour prouver qu’il avait dit vrai. Pourtant, il leur avait donné davantage. On lit à propos d’une conversation qu’il eut avec certains disciples : “ Commençant par Moïse et tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures les choses qui le concernaient. ” Qu’en était-il résulté ? Les disciples s’étaient exclamés : “ Notre cœur ne brûlait-il pas lorsqu’il nous parlait sur la route, lorsqu’il nous ouvrait pleinement les Écritures ? ” — Luc 24:13, 27, 32.
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