Mercredi 23 octobre
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Pensant agir avec “ astuce ”, il a essayé de réduire leur nombre en les assujettissant à un esclavage tyrannique : porter des fardeaux, fabriquer du mortier d’argile et satisfaire à un quota quotidien de briques, le tout sous les coups de fouet des chefs de corvée. — Exode 1:8-14 ; 5:6-18.
Ce tableau de l’Égypte dans laquelle Moïse est né correspond bien aux découvertes archéologiques. Des papyrus anciens et les peintures murales d’au moins une tombe décrivent la fabrication de briques crues par des esclaves, au deuxième millénaire avant notre ère, ou même avant. Des fonctionnaires, dont la responsabilité était de fournir des briques, rassemblaient des centaines d’esclaves qu’ils groupaient en bandes de 6 à 18 sous les ordres d’un contremaître ou d’un chef d’équipe. Ces esclaves devaient extraire l’argile et transporter la paille sur le lieu de fabrication. Des ouvriers de différentes nationalités puisaient de l’eau avec laquelle ils malaxaient l’argile et la paille à l’aide de houes. Les briques étaient coulées dans des moules de forme rectangulaire et séchées au soleil. Puis, des hommes de peine les chargeaient dans des paniers fixés à des jougs pour les transporter sur les chantiers, qu’ils atteignaient parfois par une rampe. Des surveillants égyptiens, assis ou déambulant parmi les ouvriers et armés de bâtons, veillaient sur le travail.
Le cas de Betsalel, contemporain de Moïse, est révélateur de l’effet que peut avoir l’esprit de Dieu (Ex. 35:30-34). Betsalel a été chargé de la fabrication du mobilier destiné au tabernacle. Était-il déjà un artisan chevronné avant que ce projet d’envergure lui soit attribué ? Peut-être. Toujours est-il que son dernier travail consistait vraisemblablement à produire des briques pour les Égyptiens (Ex. 1:13, 14). Comment allait-il donc pouvoir s’acquitter de la tâche ardue qui lui était maintenant proposée ? Il a été “ rempli de l’esprit de Dieu en sagesse, en intelligence, en connaissance et en tout genre de savoir-faire, et pour élaborer des projets, [...] afin de faire toutes sortes d’ouvrages d’inventeur ”. Quelles qu’aient été ses aptitudes naturelles, l’esprit saint les a décuplées. Il a agi de la même façon sur Oholiab. Les deux hommes ont dû bien assimiler leurs nouvelles connaissances, car non seulement ils ont mené à bonne fin leur tâche, mais encore ils ont transmis leur savoir à d’autres. Dieu a “ mis dans [leur] cœur d’enseigner ”. w11 15/12 3:6.[Jéhovah] les a remplis de sagesse de cœur pour faire [...] toutes sortes de travaux. — Ex. 35:35.
Pensant agir avec “ astuce ”, il a essayé de réduire leur nombre en les assujettissant à un esclavage tyrannique : porter des fardeaux, fabriquer du mortier d’argile et satisfaire à un quota quotidien de briques, le tout sous les coups de fouet des chefs de corvée. — Exode 1:8-14 ; 5:6-18.
Ce tableau de l’Égypte dans laquelle Moïse est né correspond bien aux découvertes archéologiques. Des papyrus anciens et les peintures murales d’au moins une tombe décrivent la fabrication de briques crues par des esclaves, au deuxième millénaire avant notre ère, ou même avant. Des fonctionnaires, dont la responsabilité était de fournir des briques, rassemblaient des centaines d’esclaves qu’ils groupaient en bandes de 6 à 18 sous les ordres d’un contremaître ou d’un chef d’équipe. Ces esclaves devaient extraire l’argile et transporter la paille sur le lieu de fabrication. Des ouvriers de différentes nationalités puisaient de l’eau avec laquelle ils malaxaient l’argile et la paille à l’aide de houes. Les briques étaient coulées dans des moules de forme rectangulaire et séchées au soleil. Puis, des hommes de peine les chargeaient dans des paniers fixés à des jougs pour les transporter sur les chantiers, qu’ils atteignaient parfois par une rampe. Des surveillants égyptiens, assis ou déambulant parmi les ouvriers et armés de bâtons, veillaient sur le travail.
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Re: Mercredi 23 octobre
Que Betsalel et Oholiab aient été guidés par l’esprit de Dieu, cela est confirmé par la remarquable durabilité de ce qu’ils ont réalisé. Cinq cents ans plus tard, le tabernacle et son mobilier étaient toujours en service. Contrairement aux fabricants modernes, les deux artisans ne se sont pas souciés d’apposer leur marque sur leurs ouvrages ou d’y associer leur nom. Tout le mérite revenait à Jéhovah.
Invité- Invité
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