Bienfaits d'une saine détente entre frères et sœurs

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*** Texte pour le Mercredi 24 octobre 2012 ***

Il n’y a rien de mieux pour un homme que ceci : qu’il mange, oui qu’il boive et qu’il fasse voir à son âme le bien à cause de son dur travail. — Eccl. 2:24.

Lors des trois fêtes annuelles, les Israélites se rendaient à Jérusalem pour adorer Jéhovah au temple (Ex. 34:23). Quand ils arrivaient au temple, leurs efforts étaient récompensés, car ils ressentaient une “ grande joie ” en voyant ceux qui y “ louaient Jéhovah ”. (2 Chron. 30:21.)

Pareillement, à notre époque, de nombreuses familles ont pu se rendre compte que la visite d’un Béthel procurait une grande joie. Pourquoi ne pas y songer lors de vos prochaines vacances ? Par ailleurs, se retrouver en famille et avec des amis est en général l’occasion de passer un bon moment. Une saine détente fait du bien et permet de mieux se connaître, et donc de resserrer les liens. Cependant, il convient de bien l’encadrer, surtout si de l’alcool est servi, et de limiter le nombre de personnes présentes.


w10 15/6 5:6, 7.

[JORDAN]

Par ailleurs, se retrouver en famille et avec des amis est en général l’occasion de passer un bon moment. Une saine détente fait du bien et permet de mieux se connaître, et donc de resserrer les liens. Cependant, il convient de bien l’encadrer, surtout si de l’alcool est servi, et de limiter le nombre de personnes présentes.

Oui, lorsque se réuni en famille spirituelle c'est le bon moment d'avoir des discussions saines et permet aussi de construire, ce qui ressere nous liens davantage avec nos fréres et soeurs.
Dans le champs c'est trés réconfortant également car cela nous permet d'être avec un frére ou une soeur en particulier
Jésus accomplissait son ministère avec zèle, et il a encouragé ses disciples à en faire autant. C’est ce qui ressort de sa fameuse déclaration : “ La moisson est grande, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson. ” (Mat. 9:37, 38). L’enseignement de Jésus était réconfortant ; c’était une “ bonne nouvelle ”. (Mat. 4:23 ; 24:14.) Il était aux antipodes des règles pesantes que les Pharisiens imposaient au peuple. — Lire Matthieu 23:4, 23, 24.